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Blanquer : la mise en œuvre d’une politique éducative élitiste en faveur des populations issues de l’immigration
Analyse de Claude Meunier-Berthelot pour Le Salon beige :
Le 11 septembre 2018, Blanquer est venu se produire au micro d’un Pujadas, non seulement complaisant mais complice, pour l’aider à justifier ses propos de la veille au micro de JJ.Bourdin sur l’enseignement de l’arabe à l’école et à s’insurger contre les contestations soulevées par cette annonce.
Comme l’a souligné Pujadas, Monsieur Blanquer est un ministre qui pèse au sein du gouvernement et pour cause ! il le sert merveilleusement dans sa visée mondialiste dont l’objectif est de détruire l’identité française, notamment par la mise en œuvre d’une politique éducative élitiste en faveur des populations issues de l’immigration au détriment de nos enfants pour qui l’Ecole devient un simple lieu de vie, et dans le même temps, anesthésiant le public, le bernant en permanence avec des propos mensongers dispensés avec un aplomb et un cynisme dépassant toute mesure * , tout cela, sous des dehors de Monsieur « Propre ».
Les contestations
Monsieur Blanquer perçoit mal les contestations et n’hésite pas à fustiger les opposants qui n’avancent rien de plus que des propos de bon sens :
Ce qui ne l’empêche pas de parler d’ « emballement médiatique, de déformation des propos, de mensonges, de vouloir exciter l’opinion de façon surréaliste, d’exciter les gens les uns contre les autres, d’instrumentaliser le débat pour de petites bassesses politiciennes, de dérive dans le mensonge permanent sur les réseaux sociaux… » réseaux sur lesquels il n’a aucune prise pour l’instant, raison pour laquelle il les attaque tout particulièrement, car c’est précisément là que se fait le rétablissement de la vérité politique que ce gouvernement cherche à camoufler aux Français.
Ce qu’il faut retenir des oppositions à cette décision, ce sont deux choses : D’une part, qu’il vaudrait mieux d’abord apprendre le français à nos enfants, d’autre part, qu’il y a danger d’islamisation de la France.
Sans vouloir entrer dans les détails*, il faut dire qu’il n’y a rien d’excessif dans ces propos :
Apprentissage de la langue française
Pour ce qui est d’apprendre le français à nos enfants, il faut rappeler que malgré les déclarations - celles-là bien mensongères - de Monsieur Blanquer, il n’a nullement procédé – pour nos enfants - au rétablissement des méthodes dites « syllabiques » de lecture - en réalité alphabétiques - qui seules, permettent de maîtriser la langue et les méthodes semi-globales perdurent, ne permettant pas d’appréhender la très riche culture française.
D’ailleurs, à cet égard, nous aimerions que Monsieur Blanquer vienne à un quelconque micro, nous détailler les décisions prises pour la valorisation de la langue française à l’école, du primaire à l’université incluse. Nous l’attendons !
Les méthodes alphabétiques ne sont pratiquées que dans les REP, pour les immigrés, en classes dédoublées.
Danger d’islamisation de la France
C’est d’autant plus cohérent comme propos, que l’arabe est appréhendé à travers la lecture du Coran dont le caractère «religieux » n’échappe à personne et dont le contenu révèle des dangers incalculables, mettant gravement en danger notre société. Vouloir que nos enfants apprennent l’arabe, c’est vouloir les islamiser, il n’y a aucun excès dans ces propos.
Conclusion
Fustigeant également les associations qui se mobilisent contre l’éducation sexuelle à l’école, Monsieur Blanquer n’aspire qu’à une chose : imposer le silence aux opposants, en résumé à tous ceux qui veulent protéger nos enfants et sauver la France, !
C’est cela, la démocratie selon Blanquer, c’est cela un « honnête homme » !
*cf. ouvrage paru le 05/09/2018 :« Blanquer, ce monstre froid »- remède de cheval contre la blanquer-mania–Editions des trianons.
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Les 10 ans du Groupe d'Action Royaliste
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Pendant que les plumitifs de la presse du Système s'évertuent à vouloir faire condamner Estéban et ses camarades, les nervis antifascistes veulent faire régner la terreur dans le Quartier Latin et s'attaquent à la Nouvelle Librairie...
Source de l'article suivant : Breizh info cliquez ici
Nous avions évoqué l’ouverture récente, à Paris, de la Nouvelle Librairie, librairie non conformiste, dirigée par François Bousquet, rédacteur en chef de la revue Éléments.
Dans la foulée d’un article plutôt à charge du journaliste Jérôme Dupuis pour L’Express, intitulé « Une librairie d’extrême droite à l’assaut du quartier latin », cette dernière a connu des dégradations de sa devanture, et un employé a été menacé le lendemain, au sein même de la librairie. Une plainte a été déposée.
Un article qui – prémonition ? – se concluait ainsi : « En choisissant de s’afficher publiquement au cœur du Quartier latin, François Bousquet et ses quatre associés sont bien conscients qu’ils offrent une cible de choix aux « antifas » de toutes obédiences. Une nuit de décembre 2013, la librairie Facta, située rue de Clichy, avait subi une attaque d’un genre particulier : des individus avaient brisé la vitre et aspergé de peinture rouge des centaines de livres avec un pistolet compresseur. La proximité immédiate du Sénat, avec ses policiers et ses caméras, dissuadera-t-elle des activistes de vandaliser la librairie de la rue de Médicis ? Le Quartier latin en a vu d’autres. Et le sanglier gaulois veille. »
Sur le blog de la revue Éléments, François Bousquet n’a pas tardé à réagir, dans une lettre à Jérôme Dupuis que nous reproduisons ci-dessous :
Sous la plume de Jérôme Dupuis, Lèchepress a fait paraître un article contre la Nouvelle Librairie intitulé « Une librairie d’extrême droite à l’assaut du Quartier latin ». Sa conclusion se lit comme une menace : la Nouvelle Librairie offre une « cible de choix aux antifas ». Dès le lendemain, un groupe d’individus proféraient des menaces dans la librairie même. Retour sur une opération de manipulation.
Comme disait Georges Darien, vous faites un sale métier, journaliste, mais vous avez une excuse : vous le faites vraiment, mais alors vraiment salement. J’ai accepté de vous rencontrer sur la recommandation d’un ami commun et de vous ouvrir les portes de la Nouvelle Librairie. À la suite de quoi nous avons échangé une heure trente. J’ai eu tout le temps de vous expliquer en détail la nature de notre projet, nos ambitions, la ligne politique qui est la nôtre.Ouvrir, s’ouvrir aux paroles dissidentes, réfractaires, transversales, contre la Sainte-Alliance libérale-libertaire. Extrême droite !
Je vous ai rappelé que, chez nous, beaucoup lisent les livres de Jean-Claude Michéa ; d’autres, comme moi, ceux de Pasolini. Extrême droite !
Je vous ai précisé que la présence de Georges Valois, qui a payé de sa vie ses engagements (mort en déportation à Bergen-Belsen, en 1945) et aura passé toute sa vie militante et intellectuelle à unir gauche conservatrice et droite révolutionnaire, nous inspirait. Extrême droite !
Je sais bien que tous les chemins mènent au point Godwin – Hitler, l’extrême droite –, mais avec vous on n’a pas le temps de s’asseoir qu’il est déjà atteint : « Une librairie d’extrême droite à l’assaut du Quartier latin ». Poum !
Dupuis déclenche les menaces des « antifas »
Vous n’êtes pas un bon enquêteur, mais vous êtes un bon indic de la police de la pensée. La conclusion de votre article le montre : « La proximité immédiate du Sénat, avec ses policiers et ses caméras, dissuadera-t-elle des activistes de vandaliser la librairie de la rue de Médicis ? »
Les « antifas », qui sont les chiens de garde du Système – sans quoi ils ne bénéficieraient pas d’une telle impunité – n’en attendaient pas plus pour se déchaîner. Vous les connaissez bien : ce sont des gens comme vous qui les ont dressés à la manière des chiens de Pavlov. Ils salivent à l’évocation des mêmes mots « fasciste », « extrême droite », etc. Rabattre, comme dans une chasse à l’homme, la meute des « antifas » sur la proie. Cela s’appelle dans les écoles de journalisme la dé-on-to-lo-gie. J’y vois pour ce qui me concerne une « incitation à la violence ». Et un panneau devant notre librairie: « À abattre » !
Et vous avez réussi au-delà de toute mesure. Dans la nuit même de la publication de votre article, des dégradations contre la devanture de la librairie ont eu lieu ; le lendemain, des menaces physiques à l’intérieur même de la librairie. Elles nous ont conduits à déposer plainte. Souhaitons que nous en restions là, sans cela votre pusillanimité aura été funeste.
François Bousquet
Annonce parue sur Synthèse nationale en juillet lors de l'ouverture de la Nouvelle Librairie
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Zoom – Viktor Orbán veut remplacer les élites de 68
Chaque année, à la période de l’été, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán se rend au festival de Tusványos en Transylvanie (Roumanie), région où vit une importante minorité hongroise. Il y prononce un discours qui sort des formats habituels des discours d’un chef de gouvernement et se livre à un exercice de philosophie politique où il analyse les événements de l’année passée, prédit ceux de l’année à venir et donne des éléments importants sur les moteurs philosophiques de son action politique. C’est à cette occasion qu’il a en 2014 énoncé le concept d’illibéralisme, ou en 2016 été le premier chef de gouvernement européen à exprimer son souhait de voir Donald Trump remporter l’élection présidentielle américaine.
Lors de son discours de 2018, Orbán a évoqué les élections européennes de 2019, dont il considère qu’elles auront pour la première fois un véritable enjeu. Pour l’homme fort de Budapest, l’enjeu est de rebâtir l’Europe sur les bases des valeurs de la chrétienté, en opposition à celles du libéralisme et de la société ouverte.
Par ce discours, Viktor Orbán a ainsi posé les bases de l’affrontement idéologique qui l’oppose à Emmanuel Macron, dans une césure qui désormais traverse de nombreux pays européens.
Extraits du discours et analyses de Ferenc Almássy (rédacteur en chef du Visegrád Post), János Dénes Orbán (poète transylvain, éditeur), Tibor Toró (ancien député au parlement roumain).
Le discours complet, traduit en français, peut être retrouvé sur le site du Visegrád Post
https://www.tvlibertes.com/2018/09/13/25730/zoom-viktor-orban-veut-remplacer-elites-de-68
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En Allemagne le salafisme est devenu hégémonique
Les autorités ont tenté d’en minimiser la valeur, mais les chiffres donnés et les conclusions tirées sur le terrorisme, et plus généralement sur la sécurité à l’intérieur des frontières allemandes, n’ont pas peu contribué à cette révolte populaire contre Merkel, et ceux, à gauche et au centre, qui la soutiennent encore.
Ce rapport a appris aux Allemands que le nombre de salafistes avait doublé dans le pays en cinq ans. Les salafistes, noyau dur de l’islamisme le plus radical, sont plus de 10 000 à présent, au sein d’une mouvance fanatisée de plus de 25 000 djihadistes, dont 2 000 qui sont des terroristes prêts à passer à l’acte.
Ce rapport – pour semi-confidentiel qu’il soit – est considéré par les experts internationaux comme l’état des lieux le plus fiable de la situation allemande. Selon ce rapport, il y aurait donc en Allemagne, se considérant comme des guerriers d’Allah, et mandatés à ce titre pour combattre les mécréants par tous moyens, une armée de 25 800 combattants. Ces combattants se répartissent entre les salafistes (10 800 hommes), les fondamentalistes turcs (10 000 militants), un millier de membres du Hezbollah, un millier de Frères musulmans, plus de 300 adeptes du Hamas, sans compter les affiliés d’autres groupes terroristes, dont Al-Quaïda. C’est pourquoi le chiffre de 25 800 est une fourchette très basse, selon les propres aveux du BfV.
Le salafisme progresse plus vite que les autres organisations, de l’ordre de 20 % par an, et il commence à générer une attractivité sur les autres groupes.
« Un recours inspiré à la violence »
Longtemps une distinction a été faite entre salafistes et terroristes. Les salafistes seraient certes des islamistes purs et durs, préférant toutefois le prosélytisme au terrorisme. Mais, note le rapport, cette distinction est de plus en plus artificielle. Officiellement les salafistes ne font pas d’appels à la violence, mais ils affichent une très grande tolérance à l’égard de ceux qui, « ne supportant plus les turpitudes des mécréants, se laissent aller à quelques coupables agissements », du moins coupables aux yeux de la loi desdits mécréants. Ils prônent en fait ce que le rapport du BfV appelle « un recours inspiré à la violence ». Le salafisme, conclut le rapport, « est le principal agent recruteur du djihad. Presque sans exception, toutes les personnes […] qui ont rejoint le djihad ont été en contact avec le courant salafiste ».
Le rapport souligne encore la place des Tchétchènes dans le salafisme, le cloisonnement de cette communauté désormais tout entière acquise au djihad ; et il établit un lien direct entre la vague antisémite qui secoue actuellement l’Allemagne, et la place du salafisme dans la société allemande, ainsi que la place du Millî Görüs turc, et de ses 10 000 guerriers. Désormais ce sont ces courants-là, les plus durs, qui encadrent l’énorme masse de migrants arrivés récemment en Allemagne, une situation que n’avait pas prévue madame Merkel.
Francis Bergeron
Article repris du quotidien Présent
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La connivence entre la macronie et l'extrême gauche continue... [Add.]
Après la rencontre "fortuite" entre Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon à Marseille, cela commence à faire beaucoup de signes d'apaisement entre la macronie et l'extrême gauche.
Le président de la république aurait décidé de reconnaître la responsabilité de la France dans la mort de Maurice Audin, un militant communiste complice des terroristes du Parti communiste algérien, arrêté par l'armée française en 1957 durant la bataille d'Alger et porté disparu
Et Emmanuel Macron choisit la veille du début de la fête de l'Huma pour cette nouvelle repentance à sens unique. L'Humanité jubile !
Addendum : réaction courageuse de Marine le Pen
"Maurice Audin a caché des terroristes du FLN qui ont commis des attentats. Macron commet un acte de division, en pensant flatter les communistes. Quel est l’intérêt pour le président de la République de rouvrir des blessures, en évoquant le cas de Maurice Audin ? Il souhaite surfer sur la division des Français, au lieu de les réunir dans un projet "
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On détient enfin la preuve d’une ingérence dans les élections américaines
Et ce n'est pas la Russie constate Olivier Bault dans Présent :
"Si ingérence il y a eu, et de taille, c’est de la part du géant de l’internet Google.Et il ne s’agit pas ici de l’accusation portée le 28 août dernier par le président Donald Trump contre la société californienne. Trump s’insurgeait alors contre le fait que la quasi-totalité des informations le concernant, affichées dans les résultats des recherches Google, provenaient des médias de gauche et il promettait qu’il allait s’attaquer à ce grave problème. [...]
Les dirigeants de Google ont toujours prétendu ne pas user de leur pouvoir pour favoriser un camp contre un autre même si leur penchant à gauche n’est un secret pour personne. Un nouveau rapport publié par le Washington Examiner montre d’ailleurs que90% des donations faites par les employés de Google vont aux Démocrates. Mais il y a bien pire. Une longue chaîne de mails internes divulguée par la chaîne Fox News lundi soir apporte la preuve que la direction de Google a cherché à faire gagner Hillary Clinton aux dernières élections. Au centre du scandale, il y a un long message envoyé le 9 novembre 2016, au lendemain des élections, par Eliana Murillo, la responsable du département de Marketing multiculturel du géant de l’internet. Ce message semble impliquer directement le PDG de Google, Sundar Pichai, qui a la double nationalité indienne (va-t-on parler d’ingérences indiennes ?) et américaine, ainsi que Philipp Schindler, un des principaux vice-présidents de la compagnie, puisque Eliana Murillo affirme les avoir tenus au courant.
L’effort mené par l’équipe de la responsable du Marketing multiculturelle consistait, en manipulant les résultats des recherches sur internet et aussi dans le cadre d’un partenariat avec des ONG gauchistes, à inciter les Latino-américains citoyens des Etats-Unis à aller voter. Et il ressort clairement du long mail de Mme Murillo que la direction de Google pariait sur le fait que ces Latino-américains voteraient massivement pour Hillary Clinton. Dans le bilan de l’opération dressée par la responsable du département du Marketing multiculturel de Google, la stupeur et la déception ressentie par le fait que 29% des Latinos aient finalement voté pour Donald Trump n’est pas masquée, et Mme Morillo reconnaît explicitement que certaines des actions menées étaient des « donations secrètes » en faveur de la campagne de la candidate démocrate. Ce pourrait aussi être un angle d’attaque possible pour Donald Trump et ses partisans, car c’est illégal et ils disposent désormais des aveux involontaires d’une dirigeante de Google."
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Alain Bauer : « Pour les déséquilibrés, il est plus à la mode de crier Allahu Akbar qu’autre chose… »
Les attaques au couteau se multiplient de façon troublante : Paris, Montpellier, Villeneuve-Saint-Georges… Qui sont les agresseurs ? Islamistes ou déséquilibrés ? Le criminologue Alain Bauer livre son analyse au micro de Boulevard Voltaire.
Une attaque au couteau a eu lieu aujourd’hui dans le 11e arrondissement, une autre dans le 19earrondissement. Autant de faits qui font écho à la mort de ce jeune sapeur-pompier au cours d’une opération. Qui sont ces gens qui frappent au couteau de manière aléatoire ?
Historiquement, l’attaque au couteau, le surinage, est une vieille affaire. En relisant simplement les œuvres de Louis Chevalier sur les apaches à Paris, on découvre que les batailles au surin et les attaques au couteau sont une des traditions des bandes et des gangs de l’époque. Il n’y a donc pas de nouveauté.
Ce qui est intéressant, c’est la diversité des acteurs, des modes d’actions et le contexte.
Il y a dans ces affaires de vrais attentats commis par des gens qui se retrouvent dans l’idéologie de l’État islamique et qui suivent les instructions qui ont été données il y a déjà longtemps par feu le ministre des attentats de l’État islamique, Al-Adnani. Il était aussi l’organisateur des attentats de novembre 2015 à Paris. Ce dernier demandait, si l’on ne pouvait pas venir défendre le califat sur place, d’attaquer au plus près avec les moyens du bord, au couteau, à la voiture, etc. Cette catégorie-là existe et, en général, elle se proclame, se réclame, s’identifie et indique le pourquoi de ce qu’elle fait.
Une deuxième partie de ces acteurs relève d’éléments de circonstance. Ce sont des gens plutôt dérangés d’un point de vue clinique et qui simplement aurait pu faire cela pour n’importe quelle autre raison. Ils crient « Allah Akbar » car c’est plus à la mode que de crier autre chose.
Ensuite, d’autres n’ont pas de revendications. Ils le font simplement parce qu’ils ont eu une folie passagère, une volonté de tuer ou toute une série d’explications qui ne pourront être données que par le psychiatre de service au moment des poursuites, s’il y en a.
Le contexte de la demande de l’attentat conduit à ce que ces attentats de basse intensité par leurs moyens (ce qui ne veut pas dire qu’ils ne font pas de victimes) créent les conditions d’un rapprochement mécanique et d’un doute sur la motivation réelle des auteurs et, en tout cas, d’une surmédiatisation provisoire. Cela n’enlève rien ni à la gravité ni parfois à la sauvagerie de l’acte.95 % des faits divers sur ce sujet sont recensés par la presse. Nous sommes toujours en présence de personnes d’origine ou en tout cas de religion arabo-musulmane ou afghane. On hésite toujours entre le déséquilibré et le radicalisé religieux, deux notions qui ne s’opposent d’ailleurs pas forcément.
On peut en effet être radicalisé et déséquilibré. Mais comme je l’ai déjà indiqué, c’est plus un effet d’opportunité et non un effet d’adhésion.
Je ne sais pas d’où sortent vos chiffres et surtout sur quelle période. Dans le dispositif actuel, il est vrai que le climat général et le contexte font ressortir plutôt cela. Mais si je prends l’ensemble des quelques milliers d’agressions par arme dite « blanche » de l’année, alors vous découvrirez que le pourcentage se dilue mécaniquement.
Par ailleurs, il y a une assez grande différence entre originaires, pratiquants, récemment arrivés sur le territoire et connus pour leurs problèmes psychiatriques avant même que l’État islamique ait existé.
Le principe de la complexité est un des éléments clés de l’analyse criminologique. Il faut reconnaître la réalité : le contexte existe et il serait fou de nier la motivation des attaques lancées par ce qui reste de l’État islamique. Il y a également toute une série d’opérateurs dont la diversité est telle que l’on peut difficilement les mélanger. Et notre appareil statistique n’est malheureusement pas en mesure de le faire de manière sérieuse.Sommes-nous condamnés à essuyer systématiquement les pots cassés ?
Il faut regarder toujours plus en détail. Dans les attentats, pour ne prendre que cette catégorie-là, une grande partie aurait pu être empêchée ou perturbée par une interprétation analytique sérieuse de la nature des opérateurs.
J’ai longtemps expliqué que le problème dans le renseignement n’était pas la collecte de l’information, où nous étions plutôt très bons, mais la qualité de l’analyse de l’information. Dans ce domaine, nous aurions été, pour reprendre la formule d’un ancien Premier ministre, plutôt défaillants.
Cette situation s’est beaucoup améliorée. Alors qu’il y a eu moins d’une demi-dizaine d’opérations préventives avant juillet 2016 et l’attentat de Nice, il y en a eu dix fois plus depuis. Évidemment, l’efficacité à 100 % est difficile à imaginer. Il faudrait analyser cas par cas et faire le tri dans ce qui se produit. Probablement qu’une analyse plus approfondie et des moyens plus importants en matière d’analyse permettraient d’améliorer l’efficacité du dispositif.
Mais, pour avoir été extrêmement critique avec ceux-ci jusqu’à l’été 2016, je me dois de reconnaître une forte amélioration de l’efficacité des services. Ce n’est pas une garantie pour l’avenir, mais en tout cas, sur le passé récent, c’est assez sensible.Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, entretiens et videos, immigration, insécurité, islamisme, lobby 0 commentaire -
Les Brigandes attaquées pour la chanson Promenade des Anglais : retard pour la sortie du nouvel album !
Dans cette vidéo, nous voyons s’exprimer Patrick Jardin, père de Nathalie Jardin, tuée lors de l’attentat du Bataclan. Mais les personnes comme Patrick Jardin, qui se réveillent et partent en croisade contre la politique d’immigration incontrôlée, sont rares. La plupart des parents de victimes d’attentats s’écrasent, se mettent des œillères, se réfugient dans un faux « amour » aveugle qui devrait tout résoudre à coup de bougies et de slogans comme « Vous n’aurez pas notre haine ! ».
C’est le cas des parents de la petite fille dénommée Léana, tuée à deux ans, lors de l’attentat du 14 juillet 2016, à Nice.
Nous avions pris l’exemple de Léana pour notre chanson Promenade des Anglais. Cette chanson est une indignation face à la publicité faite lors de l’Eurovision pour la chanson Mercy, déplorant la naissance d’un migrant sur un bateau, alors que des enfants tués lors d’attentats islamistes n’ont jamais eu droit à un tel hommage culturel. Le refrain de la chanson Promenade des Anglais était donc « Léana, pour toi pas de chanson à l’Eurovision ». On y ajoutait plus loin : « On fait pleurer les cœurs, sur le sort de nos envahisseurs. » Bref, tout était dit, le but était de mettre en relief l’inversion du bon sens que nous vivons quotidiennement dans la France d’aujourd’hui.
La chanson a d’abord été censurée par YouTube pendant toute la durée de l’Eurovision, avant d’être miraculeusement ré-autorisée à la fin du concours au mois de mai. Hasard ?
Entre temps, nous avions reçu des courriels de la part des parents de ladite Léana, nous demandant de ne pas utiliser le nom de leur fille pour notre « propagande ». Ces courriels n’avaient pour nous aucune valeur, puisque le nom de Léana était sorti dans la presse et était donc de notoriété publique. Nous aurions fait un clip pour le vivre-ensemble, le pardon et l’assimilation du « bon Islam », la famille n’aurait jamais bronché pour l’utilisation du nom de Léana (sorti dans la presse, insistons là-dessus). Nous nous sommes alors dit : « Basta les autruches, si vous ne voulez pas ouvrir les yeux et vous battre, on le fait à votre place ! C’est un devoir. »
Il y a quelques jours, la famille est revenue à la charge avec un avocat pour nous sommer de censurer la chanson. Quelle surprise lorsque nous avons vu le nom de l’avocat : il s’agit de Philippe SOUSSI, qui n’est pas seulement avocat, mais aussi Conseiller départemental des Alpes-Maritimes pour La République en Marche, ainsi qu’adjoint à la mairie… de Nice ! Mairie de Nice qui est tenue par le célèbre Christian Estrosi, lequel fut au cœur de nombreuses polémiques après l’attentat du 14 juillet 2016, notamment à cause du sulfureux « selfie » pris un an avant les faits avec Mohamed Lahouaiej Bouhlel, l’auteur de l’attentat (Estrosi parlera de « photo involontaire »).
Le maire de Nice Christian Estrosi avec Mohammed Lahouaiej Bouhlel, le conducteur du camion criminel (86 morts). Souriez monsieur le Maire, vous êtes filmé…
On comprend donc les motivations de Philippe Soussi, représentant de la municipalité de Nice, pour faire censurer notre chanson Promenade des Anglais. Professionnelles, certes, mais aussi très politiques…
Soussi, qui tient à nous apporter un maximum de soucis, nous a aussi demandé de censurer la chanson sur notre nouvel album à paraître, qui était déjà parti pour le pressage. Un retard est donc à prévoir quant à la parution de notre album « Aidez la France », initialement prévu pour ce mois-ci.
Conclusion :
La version originale de Promenade des Anglais a donc été retirée de YouTube pour le moment. Étant donné la puissance de tir que doit avoir monsieur Soussi, bien qu’il ne soit pas dans son bon droit selon nos avocats puisque le nom de Léana est public, nous éviterons de prendre des risques et nous graverons donc une version censurée de la chanson Promenade des Anglais sur notre nouvel album.
La prochaine fois, on fera une chanson sur les enfants qui meurent de faim en Somalie, ça fera moins d’embrouilles. Et peut-être qu’on aura une chance de passer à l’Eurovision à la suite de Mercy…
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