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  • Concert de Médine : Génération Identitaire occupe le toit de la salle l’Aéronef à Lille

    Concert de Médine : Génération Identitaire occupe le toit de la salle l’Aéronef à Lille

    De Marseille à Lille, les Identitaires sont partout. Génération Identitaire occupe actuellement le toit de la salle de spectacle l’Aeronef à Lille pour s’opposer au concert du rappeur islamiste Médine ! Voici leur communiqué :

    https://www.lesalonbeige.fr/concert-de-medine-generation-identitaire-occupe-le-toit-de-la-salle-laeronef-a-lille/

  • Quand Erdogan défie l'Allemagne et l'Europe

    6a00d8341c715453ef022ad36f48ed200c-320wi.jpgLe 28 septembre, porte de Brandebourg, le président turc saluait ses partisans. Quatre doigts levés, le pouce recroquevillé vers la paume : sans ambiguïté le salut de la confrérie al-Ikhwan al-Mouslimoun chassée d'Égypte en 2012, les Frères musulmans.

    Peu lui importaient les protestations d'opposants et les mises en garde de la presse et des bouderies de la classe politique allemande, chancelière y compris : sa feuille de route consistait à inaugurer, le 29 septembre, grande mosquée d'Allemagne, dans un pays qui en compte déjà 900. Cet édifice de 4 500 m2 abritera désormais aussi le siège du Ditib pseudopode outre-Rhin de la tentaculaire Diyanet[1].

    À Cologne, les responsables locaux ont renoncé à participer à la cérémonie d'inauguration : ni Henriette Reker, au nom de la ville, ni le ministre président de Westphalie-Rhénanie-du-Nord n'ont souhaité y prendre part. Frau Reker ne s'est rendu qu'à l'aéroport, pour saluer son départ.

    C'est cependant une image personnelle de dureté et d'intransigeance que le président turc a tenu à montrer à la presse allemande qui entreprenait le bilan de son voyage dans la capitale dès l'issue de la première journée, diplomatiquement décisive.

    Aussi bien lors de la réception officielle au palais Bellevue, que lors de la conférence de presse commune avec la chancelière Merkel, on ne pouvait pas ne pas remarquer le climat glacial et les profondes divergences entre les deux dirigeants. Que recherchait exactement Erdogan, qu'attendait-il de cette visite ?

    Il est venu à Berlin le 27, observent les journaux allemands, en raison de la crise économique qui frappe son pays. Il aura insisté à plusieurs reprises sur la nécessité de liens commerciaux plus étroits et de la relance des investissements des entreprises allemandes, sans être pour autant disposé à renoncer à son agressivité.

    Die Welt considère que personne ne peut désormais retenir la Turquie sur le voie de son effondrement. "Ankara, écrit le commentateur, peut disposer de certains moyens de pression dans la question des réfugiés, mais elle a plus besoin de l'Allemagne que l'Allemagne de la Turquie". On trouve des considérations analogues dans la Stuttgarter Zeitung qui souligne les moyens de chantages, sur l'Otan et, sur la question des réfugiés. Der Spiegel déplore même que Berlin facilite la vie d'Erdogan et "lui accorde une aide symbolique sans contrepartie concrète".

    Le sujet turc prend de plus en plus de place dans les médias. Pour y avoir consacré des dizaines d'articles, de conférences, d'émission, organisé une pétition contre la candidature faussée de ce pays à l'Union européenne, publié un petit livre[2], etc. votre serviteur ne saurait récuser le bien-fondé de cette mode.

    Encore devons-nous souhaiter que le débat se situe sur son vrai terrain. Longtemps les Européens ont cru que l'Anatolie et la Thrace orientale, ayant appartenu à l'empire romain, ayant même abrité une partie du christianisme originel faisaient, donc partie sinon, géographiquement, de leur continent, du moins, historiquement, de leur civilisation.

    De plus une illusion a été entretenue par les Jeunes Turcs d'abord, par le Kémalisme ensuite[3] sur la force et la laïcité du pays. Il est trompeur de situer en 1928 en Egypte, avec la naissance des Ikhwan, la fonction identitaire du fanatisme musulman contre l'Europe moderne. Elle a été exposée dès le vizirat de Saïd Halim Pacha premier ministre du sultan de 1913 à 1916.

    L'Europe officielle actuelle, c'est-à-dire ces institutions de l'Union européenne, ficelée par le document appelé Charte des Droits fondamentaux, 54 articles, 22 pages, signé le 18 décembre 2000 dans le cadre de la conférence de Nice, s'interdit de constater que l'islam ne fait pas partie de notre famille de nations. Elle tient au contraire à l'y inclure, sans doute pour ne pas désespérer Garges-les-Gonesse.

    L'occupation d'une partie de l'Espagne de 711 jusqu'en 1492, la bataille de Poitiers de 732, la prise de Constantinople en 1453, l'invasion d'une partie de l'Europe centrale et danubienne jusqqu'au siège de Vienne de 1683, l'oppression sur les Balkans jusqu'au XIXe siècle, etc, loin de créer un droit de l'envahisseur sur notre terre d'Europe, droit que n’hésite pas à proclamer la tradition mahométane, désigne au contraire cet agresseur pour un danger potentiel permanent.

    Et c'est aujourd’hui le régime d’Ankara et son dirigeant mégalomane qui l’incarnent.

    JG Malliarakis  

    Apostilles

    [1] Cette administration turque, Présidence des affaires religieuses, Diyanet isleri baskanligi, rappelons-le, gère la vie religieuse en l'alignant exclusivement sur l'islam sunnite. Les alévis, bektachis et autres chiites duodécimians ou djafaris n'y ont aucun droit. Elle compte plus de 100 000 fonctionnaires en Turquie. Son activité est couverte par l'article 136 de la constitution. Son budget est supérieur de 60 % environ à celui du ministère de l'Intérieur. Depuis 2016, Ankara l'utilise pour surveiller et poursuivre ses adversaires à l'étranger. Le procureur fédéral allemand enquête actuellement sur 19 imams soupçonnés d'avoir espionné le mouvement libéral de bienfaisance Hizmet dirigé par Fetullah Gülen et persécuté par le régime Erdogan.

    [2] cf. "La Question Turque et l'Europe"

    [3] On lui doit quelques fortes formules telle que "le glaive de la justice frappe parfois les innocents, le glaive de l'histoire frappe toujours les faibles" que n'aurait pas désavouées Adolf Hitler, grand admirateur de la Turquie et de l'islam.

    http://www.insolent.fr/2018/10/quand-erdogan-d%C3%A9fie-lallemagne-et-leurope.html

  • Contre le règne des partis, quelles institutions ?

    Les partis politiques sont épuisés, si l'on en croit le nombre d'adhérents à jour de leur cotisation, et l'opposition, sous ses diverses étiquettes, ne semble pas mieux se porter que le mouvement du président actuel : la seule évocation du cas du parti des Républicains, qui est censé regrouper les restes des formations qui se réclamaient du gaullisme et de la droite conservatrice ou libérale, est éloquent, comme le démontre un article paru dans le quotidien L'Opinion ce lundi 24 septembre 2018, sous le titre « A Paris, à peine 6 % des adhérents LR ont moins de 30 ans » : sur 6.099 adhérents parisiens (pour une métropole de plus de 2 millions d'habitants...), certains arrondissements comptent moins d'une dizaine de membres anté-trentenaires ! Et pourtant, ce parti est considéré comme le parti modéré le plus représentatif de la Droite et celui qui peut être appelé à diriger à nouveau le pays dans quelques temps. Mais que dire, aussi, du Parti Socialiste, encore au pouvoir il y a deux ans, ou des autres partis dits de gouvernement ? Quant aux partis contestataires, leurs effectifs ont fortement diminué depuis leurs échecs respectifs de l'année 2017, année durant laquelle le « dégagisme » a porté M. Macron à la présidence de la République, sans troupes véritables mais avec des ambitions certaines. 

    Et pourtant ! La démocratie représentative contemporaine accorde aux partis une place prépondérante, au point que l'on peut supposer que, dans ce système, la démocratie est bel et bien, et uniquement, le règne des partis et de leurs servants, mais aussi de leurs financiers et commanditaires. Cela peut pourtant sembler exagéré et illogique au regard de la faible adhésion à ces partis et de la vacuité de leurs programmes, réécrits à la veille de chaque élection, au gré d'une adaptation permanente qui apparaît plus comme une nécessité électorale que comme un engagement vraiment politique... Il y a de quoi être perplexe devant les réunions d'avant-campagne durant lesquelles il est fait appel aux propositions des militants, celles-ci étant, en définitive, supplantées par des textes rédigés par des comités d'experts ou des technocrates, voire par des communicants pour lesquels la forme importe plus que le fond : en fait, il s'agit de conquérir le pouvoir, parfois sans idée précise de son exercice, ce que signalait, en son temps, François Mitterrand dont le livre fameux (et terriblement bien écrit tout autant qu'injuste pour le fondateur de la Cinquième République...) « Le coup d’État permanent » trouvera sa meilleure illustration durant le double septennat (1981-1995) de l'ancien lecteur de L'Action Française et rédacteur du bulletin royaliste L'Action angoumoise des années 30...

    Le ras-le-bol français s'exprime souvent par une forme, plus verbale qu'active, d'antiparlementarisme et d'antipartisanisme qui, pour être compréhensible, n'en est pas moins proprement inefficace, et cela depuis fort longtemps, ne trouvant pas de débouché politique et confinant à une forme de désespérance qui, en définitive, permet au système d'éternellement perdurer sans trop d'inquiétude... L'abstention, que certains revendiquent comme une forme d'action politique de désaveu du système politicien, si elle peut être parfois fort sympathique et légitime, reste désespérément sans effet sur les politiques menées et les institutions : elle est juste révélatrice du malaise, et elle est évoquée en début de soirée électorale pour être totalement oubliée la minute d'après... Constatons qu'elle représente presque 60 % aux élections européennes sans que cela n'empêche ni la légitimation des élections ni les déclarations de victoire des partis, ni les élus de se déclarer les seuls représentants de la Vox populi, ceux ne votant pas (ou plus) étant renvoyés à leur « absence » et au silence.

    La tradition royaliste ne refuse pas les partis, mais elle s'inquiète du règne de ceux-ci sur l’État, règne consubstantiel à la démocratie représentative : c'est une des raisons fortes de la nécessité royale pour la magistrature suprême de l’État, ainsi libérée des jeux de partis et des alliances politiciennes par la transmission héréditaire, la naissance ne s'achetant pas et le nouveau-né ne se choisissant pas plus que le jour de la mort de son prédécesseur n'est connu, a priori, de celui-ci et des autres... Cette « incertitude temporelle » qui est bien encadrée par des lois fondamentales de succession tout en restant profondément liée à la nature de l'homme elle-même, est sans doute une manière simple, la plus naturelle qui soit, de ne rien devoir aux partis et d'être le recours à ceux-ci lorsque la situation leur échappe et que le pays est menacé.

    Ainsi, au regard de l'histoire tragique de la France au XXe siècle, s'il y a bien eu un de Gaulle en juin 1940 pour dépasser la défaite, il a manqué un roi en novembre 1918 pour gagner cette paix qui aurait permis d'éviter les malheurs du printemps 1940, malheurs dont les partis se sont vite exonérés en refilant le pouvoir défait à un vieux maréchal qu'ils étaient allés chercher dans son ambassade de Madrid...

    Bien sûr, la Monarchie n'est pas un « sceptre magique », mais elle autorise à penser à une forme de démocratie qui ne doive pas tout aux partis, et qui n'en soit pas la prisonnière et, parfois, la victime expiatoire.

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1512:contre-le-regne-des-partis-quelles-institutions-&catid=52:2018&Itemid=63

  • Honte à l’Union européenne, qui n’a pas le courage de commercer en euros avec l’Iran !

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    L’Union européenne, protectorat de l’Amérique, a fait le bon diagnostic sur le scandale des sanctions américaines à l’égard de l’Iran, mais elle n’a pas la volonté politique d’une Europe puissance des nations pour commercer en euros avec l’Iran et le monde entier. « Il est absurde que l’Europe paie 80 % de sa facture énergétique de 300 milliards d’euros par an au total, en dollars alors que 2 % seulement de notre énergie provient des États-Unis », a déploré M. Juncker, jugeant également « ridicule » que les entreprises européennes achètent des avions européens en dollars plutôt qu’en euros.

    La majorité des hommes politiques européens qui parlent du problème du règlement international en euros ne comprennent pas ce qui se passe et les raisons exactes ne sont jamais expliquées d’une façon claire, technique et précise dans les médias. L’une des raisons est qu’en fait, l’euro, monnaie unique, contrairement à ce que l’on nous raconte, n’existe pas !

    L’euro est monnaie unique en apparence seulement car les euros italiens ne peuvent pas dévaluer vis-à-vis des euros français ou allemands mais, en fait, les banques centrales des pays européens sont toujours techniquement indépendantes les unes des autres et présentent toutes les symptômes d’une monnaie propre à chaque pays avec leurs propres réserves physiques en or. Elles pourraient reprendre immédiatement, chacune, leur indépendance vis-à-vis des autres banques centrales. La BCE n’est, en fait, que la consolidation comptable des bilans des différentes banques centrales européennes. La zone euro peut se défaire techniquement en une nuit, si elle explose !

    La preuve en est le « système Target 2 » de règlement entre les banques centrales qui fait qu’aujourd’hui, dans la zone euro, la Bundesbank détient 1.000 milliards d’euros de créances bancaires sur les autres banques centrales alors que la Banque centrale d’Italie est débitrice de 460 milliards d’euros, principalement vis-à-vis de l’Allemagne.

    Et comme il n’y a pas, techniquement, une véritable zone euro, la BCE et l’Union européenne ont été incapables, jusqu’à ce jour, de mettre en place un système européen interbancaire européen indépendant du système international SWIFT (Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunication) sous l’emprise de Washington, de la Fed, des banques américaines et du roi dollar. La volonté de mise en place de ce système est en paroles seulement. « Nous devons augmenter l’autonomie et la souveraineté de l’Europe en matière économique, commerciale et financière », a déclaré le ministre des Affaires étrangères allemand Heiko Maas, le mois dernier, à Berlin. Un système interbancaire de paiement européen indépendant, conforme au droit européen, avec l’euro comme moyen de paiement international pour commercer avec le monde entier est urgent.

    L’Europe impuissante face aux sanctions américaines contre l’Iran souhaite mettre en place seulement un système de troc sophistiqué à partir de la vente de pétrole iranien. L’Union européenne sera amenée à créer, comme du temps du rouble dans les pays satellites de l’ancienne URSS, une chambre de compensation sans transactions financières dans la zone euro. Si l’Iran vend du pétrole à l’Espagne, ces euros serviront à régler pour un même montant directement l’exportateur allemand des machines-outils à l’Iran en évitant les transactions en dollars qui pourraient exposer les acheteurs et les vendeurs européens à des sanctions américaines.

    L’impérialisme américain est odieux, scandaleux, inacceptable. Les grands groupes tels que Total, Peugeot, Renault, Airbus, Siemens, suite aux menaces de représailles sur le marché intérieur américain, ont déjà tous renoncé. Mais la malheureuse chambre européenne « croupion » de compensation s’attire, cependant, les foudres du conseiller à la sécurité nationale de la Maison-Blanche John Bolton. Il a osé déclarer :

    « Les États-Unis seront “agressifs et inflexibles” dans l’application des sanctions […] L’Union européenne est forte dans sa rhétorique, mais faible pour l’appliquer. Nous allons surveiller le développement de cette structure qui n’existe pas encore et pour laquelle aucune date de création n’a été fixée. Nous n’avons pas l’intention de permettre à l’Europe ou quiconque d’éviter nos sanctions. »

    Debout, l’Europe puissance des nations anti-Macron à construire !  

    Économiste

    Ancien haut dirigeant d'entreprise

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2018/10/02/honte-a-l-union-europeenne-qui-n-a-pas-le-courage-de-commerc-6094049.html

  • Témoignage explosif contre Hillary Clinton

    Témoignage explosif contre Hillary Clinton

    James Baker, un ancien haut responsable du FBI, a livré un témoignage explosif sur la façon dont la police fédérale avait géré l’enquête sur la supposée collusion entre Donald Trump et la Russie. Un témoignage fait à huis clos à l’occasion d’une enquête diligentée par le Congrès, mais dont le député républicain Mark Meadows, présent au moment de la déposition, a confié à Fox News les grandes lignes, tout en restant suffisamment vague pour des questions légales.

    L’enquête ouverte reflétait un parti pris politique certain contre Donald Trump. Si ces informations ne sont pas vraiment nouvelles, elles se voient ainsi confirmées par l’ex-bras droit de l’ancien directeur FBI, James Comey, et prennent donc un poids considérable. D’autant que d’après Mark Meadows, James Baker s’est largement confié sur la genèse de l’enquête sur la supposée collusion entre Donald Trump et la Russie, ainsi que sur la mise sous surveillance par l’agence d’un des responsable de la campagne électorale du milliardaire, dès 2016. C’est là que l’histoire prend une tournure à même de sérieusement mettre à mal l’état-major du parti démocrate (DNC). D’après le site d’information The Hill, l’enquête menée par le Congrès a permis de déterminer que James Baker avait rencontré avant l’élection présidentielle au moins un responsable de Perkins Coie, le cabinet d’avocats privé avec lequel travaille le DNC.

    Or, c’est à travers Perkins Cole que le DNC, ainsi l’équipe de campagne d’Hillary Clinton, ont secrètement payé (via l’entreprise Fusion GPS) Christopher Steele, un ancien agent du renseignement britannique. Ce dernier a alors compilé un dossier de renseignements bruts non corroborés, alléguant que Donald Trump et Moscou étaient de connivence pour détourner le déroulement normal de l’élection présidentielle. Le dossier en question, bien que comprenant des informations non vérifiées, a ensuite été utilisé par le FBI comme élément principal afin de requérir un mandat en vertu de la loi FISA (Foreign Intelligence Surveillance Act), pour pouvoir mettre sur écoute l’équipe de campagne de Donald Trump.

    Le FBI a donc utilisé un dossier qu’il savait partisan, douteux et destiné à vaincre Donald Trump – car financé par le DNC – pour mettre sur écoute l’un des responsable de la campagne électorale du milliardaire. Une information que l’agence a omis de transmettre à la Cour FISA, lorsqu’elle lui a demandé un mandat pour pouvoir mettre en œuvre sa surveillance.

    «C’est une révélation explosive, qui montre sans équivoque que la véritable collusion pour détourner l’élection s’est déroulée entre le FBI et l’opposition à Donald Trump – le DNC, Hillary [Clinton] et un agent du renseignement britannique haïssant Donald Trump – plutôt qu’une conspiration entre Poutine et Trump».

    A quelques semaines des élections capitales de mi-mandats, cette information vient affaiblir le camp démocrate, déjà passablement décrédibilisé.

    https://www.lesalonbeige.fr/temoignage-explosif-contre-hillary-clinton/

  • Matteo Salvini prêt à porter le sweat (interdit) de La Manif Pour Tous

    Matteo Salvini prêt à porter le sweat (interdit) de La Manif Pour Tous

    Le patron de la Manif Pour Tous Italie a offert un sweat de La Manif Pour Tous à Matteo Salvini en lui disant :

    “Vous savez qu’en France des gens ont été arrêtés parce qu’ils portaient ce sweat?”

    Réponse de Matteo Salvini :

    “Vraiment? … c’est une raison de plus pour le porter! Je le mettrai pour faire mon footing!”

    Matteo SALVINI@SalviniFrance

    Le leader de la Manif Pour Tous Italie offre un sweat à Salvini !
    “Vous savez qu'en France des gens ont été arrêtés parce qu'ils portaient ce sweat?”
    Matteo Salvini : "Vraiment? ... c'est une raison de plus pour le porter! Je le mettrai pour faire mon footing!"

    https://www.lesalonbeige.fr/matteo-salvini-pret-a-porter-le-sweat-interdit-de-la-manif-pour-tous/

  • Justice et forces de l’ordre : la condamnation de trop ?

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    Voilà une nouvelle décision de justice qui ne risque pas de participer à l’amélioration des relations entre l’institution judiciaire et les forces de l’ordre.

    Ainsi que le rapporte L’Essor, le journal de la gendarmerie nationale, un gendarme de 53 ans a été condamné, ce mercredi 3 octobre, à trois mois de prison avec sursis, six mois d’interdiction d’exercer sa profession et inscription de ladite condamnation au bulletin n° 2 de son casier judiciaire. L’adjudant-chef dont il est question comparaissait, en effet, devant le tribunal correctionnel de Charleville-Mézières pour avoir giflé un mineur qui s’en était pris son épouse. À noter que les représentants de « la victime » n’ont pas estimé nécessaire de se porter partie civile à l’occasion de ce procès. C’est dire l’importance qu’eux-mêmes attachent à ce fait divers qui, pourtant, est tout a fait révélateur de la société dans laquelle nous vivons aujourd’hui.

    À une époque où, plus que jamais, notre jeunesse est en perte de repères, et où même le président de la République estime utile et pertinent de s’afficher aux yeux du monde avec des racailles, des hommes et des femmes font le choix de s’exposer jours et nuits, dimanches et jours fériés, afin de tenter de maintenir un ordre public minimum pour que notre pays ne sombre pas dans le chaos. Ces serviteurs de la République, qu’ils soient gendarmes, policiers, pompiers ou appartenant aux services de secours, paient, chaque année, un lourd tribut. Le nombre de tués et de blessés dans leurs rangs se comptant par centaines. Ce travail, ils le font avec dévouement. Ils sacrifient souvent leur propre vie de famille pour répondre aux exigences de missions de plus en plus difficiles et dangereuses. Mais, parfois aussi, sous l’emprise de la colère, de la fatigue, du stress ou de la peur, ils peuvent se fourvoyer et sortir du cadre légal qui leur est assigné. Mais pour eux, qui ne sont ni président de la République, ni ministre, ni élu, ni caïd médiatique, ni star du show-business, il n’y aura pas de pardon. Pas de tolérance. Et, pour cela, on pourra toujours compter sur quelques magistrats qui, du fond de leur fauteuil, sauront exiger une sanction exemplaire à l’encontre du fautif.

    La décision du tribunal correctionnel de Charleville-Mézières est tout à fait symptomatique du décalage qui existe, désormais, entre la Justice et les forces de l’ordre. Elle est également révélatrice de ce même décalage qui s’est installé dans notre société, et du renversement total des valeurs qui affecte maintenant les relations interindividuelles dans notre pays.

    Aurait-on pu imaginer, il n’y a pas si longtemps, un gendarme être mis au ban de la société pour avoir voulu défendre son épouse des agissements d’un gamin dont l’éducation laisse manifestement à désirer ? Aurait-on envisagé de créer, au sein des écoles, des unités d’intervention, tant les enseignants sont complètement dépassés par une violence qui devient endémique ? Aurait-on vu, au plus haut niveau, une classe politique se donner en spectacle et fouler aux pieds les valeurs de la République dont le peuple lui a donné la garde ?

    Alors, continuons comme ça. Condamnons les gendarmes et les policiers pour des vétilles. Sanctionnons les quelques enseignants et agents de l’État qui assument encore leurs responsabilités. Encourageons, en les élisant et les réélisant, les politiques dans la voie de la médiocrité et du déshonneur. Et, sous peu, notre pays sera à ramasser dans la fange. Reste à espérer que, d’ici là, ceux qui ont notre sécurité entre leurs mains n’auront pas définitivement baissé les bras.

    Olivier Damien

    http://www.bvoltaire.fr/justice-et-forces-de-lordre-la-condamnation-de-trop/

  • Les antispécistes s’en prennent aux boucheries traditionnelles

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    Arnaud Raffard de Brienne

    Sale temps pour les bouchers dont plusieurs dizaines de magasins font l’objet d’actes de vandalisme depuis quelques mois. Vitrines caillassées, aspersion de faux sang, tags et autocollants se multiplient dans le but évident d’intimider les 18 000 professionnels de la viande en France et de frapper les esprits de leurs clients. Les délicats défenseurs de la cause animale, les végans – nous n’en sommes plus à un anglicisme près -, responsables de ces destructions, prétendent agir au nom de l’antispécisme, une idéologie réfutant toute hiérarchisation et domination d’une espèce sur une autre, tout animal, dont l’homme, se valant sans distinction selon eux. La folie égalitaire proclamée met ainsi sur un strict plan d’égalité l’homme et le moucheron ou le ouistiti. Diffusant en boucle des slogans gratinés, tels « bouchers assassins », « la viande est un meurtre » ou « viande = massacre universel à grande échelle », les militants de cette cause n’ont rien inventé et ne constituent en fait que les caisses de résonance de courants philosophiques anglo-saxons déjà anciens.

    Contre toute attente, parmi les dizaines de commerces traditionnels dégradés, on ne recense pas une seule boucherie halal. Surprenant lorsque l’on connait la méthode d’abattage rituelle, particulièrement cruelle, qui consiste à égorger l’animal sans le moindre étourdissement. Idem pour les boucheries casher fort opportunément épargnées.

    Prévenance et prudence envers les boucheries halal

    Courageux mais pas téméraires, nos militants végans semblent vouloir éviter soigneusement la confrontation avec les bouchers halal dont la patience n’égalerait sans doute pas celle de nos bouchers traditionnels condamnés à supplier les pouvoirs publics de leur accorder une protection. La clef de cette prévenance nous est révélée par une militante végan avouant à un média suisse : « nous excluons l’abattage halal de notre champ de protestation car nous ne voulons pas stigmatiser une population déjà souffrante ». Pour satisfaire plus encore aux exigences de la pensée unique et de la soumission à l’air du temps, notre militante insistait par ailleurs sur les risques d’alimenter l’islamophobie et que leur message ne soit relayé par les mouvements racistes. Toujours cette prison mentale du « pasdamalgam ». D’autres militants, sans doute un peu exaltés, évoquent un parallèle entre la consommation de viande et la Shoah. Ce parallèle hasardeux avait quand même été originellement osé par Isaac Bashevis Singer, Prix Nobel de littérature en 1978 et grand défenseur devant l’Éternel de la cause animale. Le brillant esprit avait résumé la situation par une formule pour le moins lapidaire : « Tous les gens sont des nazis ; pour les animaux, c’est un éternel Treblinka ».

    C’est vraisemblablement ce conformisme qui a aussi fait passer sous silence l’horrible massacre animalier de la seconde quinzaine du mois d’août à l’occasion de la fête musulmane de l’Aïd-el Kébir : environ 150 000 moutons égorgés à vif, en France, dans des conditions souvent abominables. Pas un mot, ni une ligne de nos délicats végans au sujet de ce sacrifice de masse contemporain. Ces considérations ôtent, s’il en était besoin, toute crédibilité à aux campagnes par lesquelles des représentants autoproclamés de la population végétalienne - végane comme ils disent – tentent d’imposer leurs lubies aux 99% restants.

    Il reste à la filière viande française – abattoirs, grossistes et détaillants - à s’interroger sur son indifférence et les raisons du silence dont elle a couvert l’inquiétante expansion de l’abattage halal en France.

    Article paru dans Présent cliquez ici

    NDLR :

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