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  • La presse étrangère démonte Macron : « Les Français ont l’impression d’être pris pour des imbéciles. À juste titre ».

    La presse étrangère démonte Macron : « Les Français ont l’impression d’être pris pour des imbéciles. À juste titre ».

    Même depuis l’intérieur désormais, Macron décrédibilise la France. Mais plus personne n’est dupe, et le personnage en prend pour son grade. De Valeurs actuelles :

    “Serait-ce la fin de la lubie macronienne consistant à dénigrer les Français hors de leurs frontières ? Pas si sûr. Ce qui est plus certain, en revanche, c’est que la presse étrangère, de l’Italie à l’Angleterre en passant par l’Espagne, n’est pas tendre avec Emmanuel Macron, jugé déconnecté des réalités dans le dossier des « gilets jaunes ». Le Parisien a recensé quelques-unes des citations les plus tranchantes” (suite).

    https://www.lesalonbeige.fr/la-presse-etrangere-demonte-macron-les-francais-ont-limpression-detre-pris-pour-des-imbeciles-a-juste-titre/

  • Têtes à Clash n°38 : L’épuration historique est-elle en marche ?

    Franck Tanguy reçoit Gérard Delépine, Samuel Lafont, Valérie d’Aubigny et Jean-Philippe Tanguy de Debout la France. Ils débattent des gilets jaunes, des augmentations de salaires des collaborateurs de certains ministres, de la création d’une armée européenne et de l’épuration historique en marche.

    https://www.tvlibertes.com/tetes-a-clash-n38-epuration-historique

  • Violences sur les Champs-Élysées

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    Un reportage exclusif de Boulevard Voltaire

    Samedi 24 novembre, Boulevard Voltaire était présent sur les Champs-Élysées à l’occasion de la manifestation des gilets jaunes.

  • En France, il est plus facile d'évacuer le peuple français que les migrants.

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  • Castaner prend ses désirs pour des réalités

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    Après avoir annoncé pendant toute la semaine que les manifestations d'aujourd'hui allaient être récupérées par "l'ultra droite", Castaner veut maintenant imputer à celle-ci les incidents qui se sont produits à Paris. Trop facile...

    Ce matin, les 3 000 flics chargés de disperser les 100 "extrémistes de droite" attendus ont laissé les milliers de manifestants venir exprimer leur juste colère sur les Champs-Elysées et les ont ensuite aspergés d'eau et de gaz lacrymogène. Ne voulant pas se laisser faire et s'estimant en état de légitime défense, nombre d'entre eux se sont défendus avec les moyens du bord. Il fallait s'y attendre...

    Lamentablement, l'incapable qui sert de ministre de l'Intérieur veut faire gober aux naïfs que ce serait les nationalistes qui porteraient la responsabilité des événements. Du grand n'importe quoi. 

    Le seul responsable, c'est le gouvernement et sa politique au service de la finance mondialiste qui asphyxie notre peuple. Castaner a voulu monter un stratagème vaseux pour enfumer les Gilets jaunes en les accusant d'être manipulés. Ça n'a pas marché. Les nationalistes ne sont pas là pour casser, ils sont là pour aiguiller nos compatriotes et leur ouvrir les yeux sur les véritables responsables de leurs malheurs.

    Soulignons au passage qu'il n'y a pas eu cet après-midi de scènes de pillages. Ce soir, les racailles de banlieue vont peut-être prendre le relais et se livrer à leurs violences habituelles, mais ceux-ci n'ont pas vraiment, n'en déplaise à Castaner, des têtes de nationalistes français...

    Au-delà de la révolte, c'est une nouvelle révolution qui se prépare. Le peuple français en a assez d'être exploité, il veut retrouver sa liberté et son identité. Cela, Macron, Castaner et leur clique ne l'ont pas encore compris... Il est vraiment temps que ces apprentis sorciers se cassent.

    Synthèse nationale

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/11/24/castaner-prend-ses-desirs-pour-des-realites-6107928.html

  • Natacha Polony et Jean-Michel Quatrepoint : "Halte aux nouveaux inquisiteurs"

  • L'Action Française dans la Grande Guerre [5] L’« affaire des panoplies »

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    Par Rémi Hugues 

    Dans le cadre du centenaire du dénouement de la Grande Guerre, Rémi Hugues a rédigé pour les lecteurs de Lafautearousseau une suite dʼarticles très documentés qui seront publiés au fil des journées en cours. Ils pourront être objets de débats. Au reste, la guerre n'est plus exclue des perspectives mondiales d'aujourd'hui ... 

    L'affaire des panoplies  

    Alors que la guerre a placé républicains et royalistes dans le même camp, on a vu que ces derniers nʼont pas pour autant arrêté de professer un discours critique, pour ne pas dire hostile, à la République. Et les tenants de celle-ci nʼen sont pas restés moins méfiants vis-à-vis de lʼAction Française. Car il est vrai que le mouvement de Charles Maurras considérait que la restauration, ou contre-révolution, avait pour préalable la victoire contre lʼempereur Guillaume II. Et les soldats proches de lʼAction Française, en particulier les régiments de cavalerie, de se mettre à croire que le coup de force est possible. Ce qui oblige, à partir de 1917, les autorités de lʼÉtat à devoir exercer une surveillance étroite des troupes soupçonnées dʼêtre contre le régime. 

    La même année, alors que Léon Daudet (photo)continue de sʼen prendre aux traîtres et aux espions avec zèle, lʼAction Française est rappelée à lʼordre par le pouvoir républicain. Celui-ci, en menant une intervention musclée contre le mouvement royaliste, entend taper un bon coup sur la table pour calmer les ardeurs des maurrassiens, avec qui la coopération ne peut être que provisoire. Cette opération visant lʼAction Française a pris le nom d’ « affaire des panoplies ». 

    Elle sʼest produite dans le contexte dʼune campagne de presse lancée par le « Procureur du Roi » autoproclamé Daudet contre le journal Le Bonnet Rouge. Cʼest le 9 septembre 1916 quʼelle est déclenchée par lʼAction Française. Le périodique visé, affublé du sobriquet « Le Torchon » par Maurras, est de tendance radicale. 

    Son directeur, Michel Vigo-Almereyda, serait en collusion avec le président du Parti radical Joseph Caillaux et le ministre de lʼIntérieur Louis Malvy, radical lui aussi. Tous trois feraient acte dʼintelligence avec lʼennemi. Lʼadministrateur du journal, Raoul Duval, ramènerait de Suisse des fonds allemands, en échange dʼune ligne éditoriale clairement défaitiste. 

    Le président du Conseil Paul Painlevé prend au sérieux ces accusations, avec, notons-le, un certain temps de latence. En août 1917 la rédaction du Bonnet Rouge est arrêtée. Une semaine plus tard Vigo est « retrouvé mort dans sa cellule, étranglé au moyen dʼune cordelette ou dʼun lacet de soulier, assassiné, qui sait, pour lʼempêcher de parler ».[1] Cela suggère que les accusations portées par lʼAction Française étaient véridiques, dʼautant plus quʼEugen Weber, qui ne peut être soupçonné de déformer la réalité au profit du mouvement maurrassien, affirme que « Malvy avait subventionné Vigo sur les fonds secrets »[2]. Acculé, le « 4 octobre, Malvy, sous prétexte de défendre son honneur, demanda à Painlevé lecture dʼune lettre de Léon Daudet, directeur de LʼAction Française, à Poincaré, lettre où Daudet affirmait : ʽʽM. Malvy, ex-ministre de lʼIntérieur, est un traîtreʼʼ et prétendait en donner la preuve. On devine lʼagitation qui sʼensuivit. Malvy se défendit, applaudi par les radicaux et les socialistes. Painlevé, Steeg et Raoul Péret (garde des Sceaux) avaient reçu Maurras et Daudet. Painlevé fit perquisitionner dans les bureaux de lʼAction Française où lʼon ne trouva que de vieux fleurets et de vieux pistolets, et nullement les indices de subversion contre la République (dʼoù le nom de ʽʽcomplot des panopliesʼʼ que la presse de droite donna à cet incident. »[3] 

    La perquisition a lieu le 27 octobre, un samedi soir. Les locaux Action Française de Paris, Bordeaux, Lyon, Nîmes et Montpellier sont investis par la police. Les domiciles de Maurras, Daudet et Maxime Réal del Sarte, notamment, sont aussi perquisitionnés. Le butin, comme le souligne plus haut lʼhistorien Jean-Baptiste Duroselle, est maigre : de rares armes-à-feu, des cannes plombées, des coups-de-poing américains et des nerfs de bœuf. Le plus intéressant pour la Sûreté fut probablement de mettre la main sur le dossier contenant les plans dʼun coup d’Etat ; mais aux dires de beaucoup, il était obsolète. De toute façon pour lʼAction Française, la priorité était à la guerre non contre la République mais contre lʼenvahisseur germanique.      

    Lʼhistorien Olivier Forcade indique que « cette opération est lancée par le gouvernement pour détourner lʼopinion publique du seul Bonnet rouge. »[4] Lequel gouvernement, face aux protestations, doit reculer. Alors que le 31 août 1917 Malvy, ce « misérable par qui la France a été livrée, morceau par morceau, à lʼennemi »[5], a dû démissionner – les 19 et 20 juillet 1918 se tiendra son procès en Haute-Cour –, Clemenceau sort grand gagnant de cette « affaire des panoplies », qui a fragilisé le président du Conseil Painlevé, et que remplace le « Tigre » en novembre 1917. Érigé en Père-la-victoire par la République, Clemenceau devrait en réalité partager cette auguste place avec Philippe Pétain – même Macron, en son for intérieur ne le renierait point ! – et aussi avec le « Maître de Martigues ». 

    Lʼun au front et lʼautre à lʼarrière ont pleinement contribué à la victoire de 1918, dans lʼhonneur. Et au sujet de lʼAction Française, Olivier Forcarde ne renierait pas que son pouvoir sʼest renforcé avec lʼirruption de la Grande Guerre : 

    « Lʼintransigeance à mener la guerre jusquʼau bout et sans faiblesse vaut à lʼAction Française un lectorat accru. Depuis septembre 1916, les campagnes contre Le Bonnet rouge, les réticences contre les tentatives de paix du Vatican, puis contre Caillaux et Malvy en 1917 (photo) attirent la sympathie des milieux de droite et de nombreux officiers dʼactive. Le journal de Charles Maurras, Maurice Pujo, Bainville, Léon Daudet et Henri Vaugeois (mort en avril 1916), au ton souvent doctrinal, est auréolé du prestige de ses campagnes contre les traîtres en 1917. »[6] 

    Lʼexpression affaires des panoplies, inventée par la presse de droite, est là pour le souligner : elle place lʼAction française dans le bon camp, ce qui pour le journal de Maurras est une première. À ses débuts en effet le monde de la presse nʼétait aucunement élogieux à son égard, cʼest le moins que lʼon puisse dire. (A suivre)  ■ 

    [1]  Eugen Weber, LʼAction Française, Paris, Stock, 1964, p. 124.

    [2]  Ibid., p. 126.

    [3]  Jean-Baptiste Duroselle, La Grande Guerre des Français, Paris, Perrin, 2002, p. 304-5.

    [4]  Olivier Forcade, La censure en France pendant la Grande Guerre, Paris, Fayard, 2016, p. 233.

    [5]  Lettre de Daudet à Poincaré, lue par Painlevé à la Chambre, cité par Eugen Weber, ibid., p. 126.

    [6]  Olivier Forcade, ibid., p. 229.

    Articles précédents ...
    L'Action Française dans la Grande Guerre [1] La guerre sans l'aimer
    L'Action Française dans la Grande Guerre [2] Un prescripteur d’opinion de plus en plus important 
    L'Action Française dans la Grande Guerre [3] L’Union Sacrée : un ralliement ?
    L'Action Française dans la Grande Guerre [4] L’Union Sacrée : un ralliement ?

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2018/11/24/l-action-francaise-dans-la-grande-guerre-4-6107921.html

  • Manipulation médiatique : le témoignage de Jean-Yves Le Gallou

    Manipulation médiatique : le témoignage de Jean-Yves Le Gallou

    Il était sur place et il n’a pas vu d’ultra-violence :

    Aujourd’hui, il y avait également des mobilisations de gilets jaunes partout en province. La réponse du gouvernement à la France qui se sent reléguée et oubliée par Paris c’est d’instrumentaliser des incidents à Paris et de reléguer et oublier les mobilisations qui se sont déroulées au quatre coins du territoire.

    Même dans la révolte la France périphérique reste périphérique…

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  • Castaner, toute honte bue…

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    Il n’aura pas fallu un mois pour confirmer ce dont on se doutait : Castaner n’est pas au niveau. Cet homme, qui n’aurait jamais dû dépasser les fonctions de secrétaire de mairie, ce rescapé du socialisme qui faisait rire même ses petits camarades de la rue de Solférino, s’est retrouvé, après des semaines de contorsions macroniennes, au poste de ministre de l’Intérieur. Ce poste occupé, autrefois, jadis et naguère, par Clemenceau, Mitterrand, Edgar Faure, Chirac, Poniatowski, Pasqua, Chevènement, Sarkozy… On se pince.

    Vraiment. Castaner n’est pas au niveau. Il est même en dessous de tout. Et il le montre en direct au moment même où ces lignes sont écrites.

    Sur les Champs-Élysées, cela se passe mal. Très mal. Ça casse, ça castagne. Des agitateurs de l’ultra-droite, de l’ultra-gauche ? Qui sait ? La police, on l’espère. Il n’empêche qu’on voit des drapeaux rouges avec la silhouette du Che…

    Et lorsque, à midi, le ministre fait son point de situation, entouré des plus hautes autorités de la sécurité de ce pays (le préfet de police de Paris, le général, directeur de la gendarmerie nationale), comme s’il lui fallait des béquilles pour assumer sa fonction, il ne trouve pas mieux que de mettre en cause Marine Le Pen. Citons Castaner : « À Paris, on voit une évolution. À l’appel de Marine Le Pen, qui avait invité les manifestants à venir sur les Champs-Élysées. Effectivement, près de 5.000 personnes sont mobilisées. Mais ce qu’on constate, c’est qu’aujourd’hui, l’ultra-droite s’est mobilisée et est en train de dresser des barricades sur les Champs-Élysées. Les séditieux ont répondu à l’appel de Marine Le Pen. » En clair, Marine Le Pen, députée de la République, chef d’un grand parti, candidate à l’élection présidentielle et sur laquelle près de onze millions de Français ont porté leur suffrage est responsable de la casse sur les Champs-Élysées. Et, n’ayons pas peur des mots, elle est assimilée aux « séditieux ». Le mot est très fort. La sédition est un appel préparé contre l’autorité établie.

    M. Castaner connaît-il, au moins, le poids des mots ? Au mieux, non. Et l’on sera conforté dans l’idée qu’il est en dessous de tout. Au pire, oui. Et, dans ce cas, le ministre de l’Intérieur révèle que ce pouvoir est dos au mur. Il n’a pas vu venir la colère du « petit peuple » de province. Il n’a pas compris cette colère. Il est incapable de répondre à cette colère, enfermé dans ses certitudes : « C’est comme ça, c’est pas autrement. » Alors, il tente de faire porter les responsabilités de son impéritie sur ses adversaires politiques, notamment à droite. L’ultra-droite (ce qui reste à prouver) casse à l’occasion de cette manifestation ? Or, Marine Le Pen soutient la manifestation, donc, etc. Castaner s’offre ainsi un 6 février 34 à bon compte. Histoire de diaboliser le Rassemblement national et de se donner le beau rôle du garant de l’ordre. Par ses propos, le ministre de l’Intérieur s’est non seulement définitivement décrédibilisé mais aussi déshonoré. De plus, en prononçant des mots aussi tendancieux, flanqué de hauts fonctionnaires, le ministre a mis à mal la neutralité qui sied aux grands serviteurs de l’État, civils et militaires.

    En tout cas, on aura compris que, dans cette interdiction de manifester sur les Champs-Élysées, le « petit peuple » de province n’est pas le bienvenu en ces lieux prestigieux. Les Champs-Élysées ? C’est fait pour être vidé de tout peuple un matin de 11 novembre afin qu’un président hors-sol fasse le beau devant soixante-dix chefs d’État. Pour les racailles de banlieue, un soir de match de foot. Mais les Champs-Élysées, c’est pas fait pour les ploucs, les gueux, les beaufs. Ils devraient savoir ça. Tous les ronds-points qu’il veulent dans leur bled, mais pas celui des Champs-Élysées.

    PS : on lira avec intérêt ce tweet. « J’avais trouvé @CCastaner assez minable comme adversaire aux régionales, il l’est encore davantage comme ministre de l’Intérieur en réprimant violemment les @giletsjaunes. Du jamais vu contre les casseurs black bloc, les prières de rue, les étudiants bloqueurs ou les zadistes. » Un tweet signé de Marion Maréchal qui, pour le coup, est sortie de sa réserve.

    Georges Michel

    http://www.bvoltaire.fr/castaner-toute-honte-bue/

  • [Vidéo] Libertex 2018 : indice de la liberté d’expression

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