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  • Allemagne : suppression de l’interdiction de naturalisation pour les étrangers vivant dans des mariages polygames ?

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    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Le projet de « loi modifiant la loi sur la citoyenneté » a été adopté par le Conseil des ministres au début du mois d’avril.

    Il doit maintenant faire l’objet d’un débat parlementaire. Selon un rapport de l’agence de presse dpa, le ministre fédéral de l’Intérieur Horst Seehofer (CSU, droite bavaroise) souhaitait ancrer l’interdiction de la naturalisation pour les étrangers polygames dans cette réforme ce que le ministère de la Justice dirigé par Katarina Barley (SPD, gauche) a refusé d’approuver.

    https://fr.novopress.info/214487/allemagne-suppression-de-linterdiction-de-naturalisation-pour-les-etrangers-vivant-dans-des-mariages-polygames/

  • Réunion publique à Rocquigny (08) : discours de Marine Le Pen

  • Le père de la députée Insoumise Muriel Ressiguier, un amateur des Brigandes ?

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    Lengadoc info cliquez ici

    Lengadoc Info est allé à la rencontre du groupe de musique identitaire Les Brigandes après que l’un de ses membres ai été convoqué par la commission parlementaire contre les « groupuscules d’extrême droite ».

    Lengadoc-info : Antoine, vous êtes le porte-parole du groupe Les Brigandes qui a été convoqué le 25 avril dernier devant la commission parlementaire présidée par Muriel Ressiguier (LFI) dans le cadre de la commission d’enquête sur les « groupuscules d’extrême-droite ». Pouvez-vous nous expliquer comment cela s’est déroulé ?

    Antoine : Nous avons tout d’abord reçu un mail, (même pas un courrier avec accusé de réception, un simple mail !), qui visait à convoquer notre directeur artistique, Joël Labruyère, qui est également l’auteur-compositeur des chansons des Brigandes. Celui-ci étant malade et en incapacité de déplacement, ils se sont tournés vers Marianne, la chanteuse-leader de notre groupe, mais qui, ayant accouché quelques jours auparavant, ne pouvait pas se déplacer non plus. Ils ont lourdement insisté puis se sont finalement reportés sur Irène, l’une des chanteuses que vous pouvez voir dans certaines émissions.

    Lengadoc-info : Quelle a été la teneur des questions auxquelles vous avez dû répondre en tant que groupe de musique ?

    Antoine : Irène nous a rapporté avoir été assez effarée par les questions qui lui avaient été posées et surtout par la façon dont celles-ci avaient été orientées. Représentez-vous cela comme un procès d’idées. Une forme d’interrogatoire mené de façon à ce que les réponses, quelles qu’elles puissent être, finissent toutes dans une seule petite boîte portant l’étiquette ô combien pratique d’ « extrême-droite ». Une caricature grossière qui ne vise aucunement à ouvrir un débat ou à entendre les personnes convoquées mais bien à porter une accusation pure et simple d’illégalité sur elles et leurs propos pour pouvoir dissoudre, sans autre forme de procès, le groupe dont elles font partie.

    Pour vous donner un exemple, parmi nos clips indéniablement provocateurs, il en est un qui s’intitule « On vous emmerde », plusieurs livres interdits y figurent, et à un moment donné, une couverture, certes particulièrement sulfureuse, apparaît à l’écran. Eh bien, l’une des premières questions qui aura été posée à Irène fut : « Lisez-vous Mein Kampf dans votre groupe ? ». (Magistrale illustration d’un reductio ad hitlerum fort convaincante !) Dans la même veine, par rapport à la chanson « Foutez le camp », elle aura eu à essuyer des « Êtes-vous xénophobes ? » ou « Êtes-vous anti-républicains ? »… Autant de clichés reprenant la propagande noire dont notre groupe avait fait l’objet dans les colonnes de journaux peu scrupuleux (voire suffisamment mal intentionnés ou du moins à la déontologie douteuse pour exposer des détails sur nos enfants !).

    En résumé, ils vous convoquent pour pouvoir noter sur leur petite feuille qu’ils vous ont rencontré et accorder à leur mascarade une forme de crédit, de crédibilité, mais les réponses que vous pourrez leur donner ne revêtiront aucune espèce d’importance. Tout ce qui compte, c’est que vous puissiez être jugé pour non-conformité à leur idéologie et donc rentrer dans la case fourre-tout qui s’y oppose dans leur esprit et qu’ils ont construite à cet effet en l’affublant du nom d’extrême-droite.

    Lengadoc-info : A ce propos, on a été assez étonnés d’apprendre que les entretiens lors de la commission parlementaire se soient déroulés pour certains à huis-clos. Alors que certaines séances étaient disponibles en live sur internet, pourquoi vous, et d’autres groupes avez eu droit à ce huis-clos ?

    Antoine : De notre point de vue, il n’y a pas de huis-clos quand il s’agit du préfet de l’Hérault ou la présidente de la Ligue des droits de l’homme de Montpellier, Sophie Mazas. En gros, des personnes qui vont dans le sens de la commission. Pour eux, c’est filmé et diffusé. Par contre, pour les groupes qui sont accusés, car il s’agit de ça, si on les filme et qu’on diffuse leurs propos, ces derniers peuvent avoir le dessus au niveau des arguments voire même ridiculiser les membres de la commission. A la fin, la commission pourra dire qu’elle a auditionné les groupes en question, elle pourra remettre ses conclusions mais sans que les propos des groupes n’aient été diffusés. Toutes les auditions à charge ont été diffusées et tout ce qui aurait pu être à décharge ne l’a pas été.

    Lengadoc-info : Quel a été le ressenti de votre porte-parole quant à la personnalité de la présidente de la commission Muriel Ressiguier ?

    Antoine : Irène l’a trouvée particulièrement désagréable vu qu’il s’agissait d’un procès d’intention. Il s’agissait d’un tribunal idéologique déguisé en commission d’enquête démocratique. Quant à la présidente, cette dernière a deux ennemis majeurs dans l’Hérault : la Ligue du Midi et les Brigandes. Il faut savoir que Muriel Ressiguier a des intérêts personnels directs ou par personne interposée avec la Ligue du Midi et les Brigandes. La compagne de son père habite à la Salvetat, petit village où nous habitons, son père s’est déjà rendu à une de nos expositions de peinture dans le village de la Salvetat. Nous avons de très bons rapports avec eux et ça, pour elle, ça lui reste en travers de la gorge. Il y a donc un motif personnel qui se rajoute au motif idéologique. On se retrouve donc face à quelqu’un qui n’est pas du tout neutre.

    Lengadoc-info : Votre chaîne YouTube a été supprimée il y a de cela quelques mois alors que c’était votre seul moyen de diffusion sur les réseaux. Pensez-vous qu’une censure est mise en place au-delà de la compétence des Etats ?

    Antoine : C’est évident ! Depuis janvier-février 2019 il y a une augmentation des actes de censure. Des procédures de dissolution ont été entamées par l’Etat, ce qui est préoccupant, mais ce qui est particulièrement alarmant, ce sont les décisions prises par les géants d’internet (YouTube, Facebook…) appelés communément les GAFA. Ces derniers ont des règles propres que l’on ne peut pas attaquer avec la législation nationale. Ils agissent donc comme bon leur semble. Ainsi vous pouvez trouver des clips de rappeurs français qui tiennent des propos clairement racistes et haineux sur YouTube avec des millions de vues alors que certains clips des Brigandes sont considérés par YouTube comme des incitations à la haine raciale alors qu’il n’y a jamais eu aucune condamnation de la part de la justice française. Le rappeur peut donc « Niquer la France » alors que les Brigandes ne peuvent pas dire « Foutez le camp ! ».

    Ce qui est comique avec la présidente de cette commission c’est qu’elle est issue de la France Insoumise, les soi-disants ennemis du grand Capital, mais ils n’hésitent pas à collaborer avec Macron, la marionnette des Rothschild, pour dissoudre le Bastion Social et ils n’hésitent pas à collaborer avec les GAFA pour accentuer la censure sur les réseaux sociaux.

    Lengadoc-info : Etes-vous pessimistes ou optimistes pour l’avenir ?

    Antoine : Plutôt pessimistes. Les Français bougent uniquement quand leur assiette est vide. On ne pense pas que les choses vont s’améliorer de manière spontanée. Le pouvoir d’achat c’est une chose mais il n’y a pas que ça : le Grand Remplacement, la technocratisation du monde, la destruction de la nature, la destruction des genres, peut-être même à terme la destruction de l’espèce humaine. Quand on voit un Trump aux Etats-Unis ou un Orban en Hongrie, ils peuvent réformer tout ce qui s’écroule mais ils ne peuvent pas inverser le courant de l’histoire mondiale. C’est pour ça que nous sommes plutôt pessimistes, surtout en France qui est, depuis la Révolution, le laboratoire de l’oligarchie mondialiste.

    Lengadoc-info : Si vous êtes pessimistes, doit-on s’attendre à l’arrêt de votre production musicale ?

    Antoine : Absolument pas ! Pessimistes ne veut pas dire défaitistes. Nous tâchons de voir froidement la réalité en restant lucides et ne pas perdre nos énergies dans des combats qui ne mènent à rien. La nature mène le monde et c’est toujours l’effort qui l’emporte. Nous voulons nous battre pour ce qui est vrai, pour ce qui est juste, pour ce qui est beau. Et ça, ça passe par les chansons des Brigandes pour toucher le cœur des gens. Notre façon de vivre en clan peut aussi servir de modèle pour d’autres personnes. Notre combat ne vise pas à changer le système, on ne s’appelle pas Rothschild ou Goldman Sachs. Notre combat vise à réveiller des gens et à proposer des alternatives de vie, réveiller des sentiments d’identité chez les gens, tout ça ce sont des petites victoires. Et malgré la censure ça continue puisque notre dernier album est sorti il y a maintenant 2 semaines. Nous travaillons déjà sur un neuvième album. L’absence de clip sur YouTube ne nous empêchera pas de produire des chansons et de les diffuser auprès de ceux qui apprécient notre travail.

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  • Escroqueries à la CAF : pourquoi le gouvernement reste-t-il si discret sur les fraudes ?

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    Si vous prétendez que les fraudes aux allocations familiales sont nombreuses et qu’elles peuvent impliquer des étrangers, vous vous ferez traiter aussitôt de fabulateur ou de xénophobe. Et pourtant, les faits viennent parfois vous donner raison. On apprend ainsi, dans Le Parisien, qu’une bande organisée de Roumains vient d’être démantelée : elle avait escroqué la CAF de Valenciennes d’1,7 million d’euros d’aides sociales.

    Une paille, par rapport au chiffre avoué par les responsables de la Caisse nationale d’allocations familiales (CNAF), pour l’année 2018 : plus de 300 millions d’euros, pour 44.897 cas officiellement détectés ! Mais rassurez-vous : si le chiffre a doublé depuis 2013, ce n’est pas parce que les manœuvres illicites augmentent, c’est, selon le directeur général de la CNAF, « le signe d’un meilleur ciblage des contrôles ». Mince consolation, car on se demande combien de fraudes restent encore inconnues.

    La majorité des fraudes (73 %) proviendraient de fausses déclarations ou d’omissions, 8,5 % de faux et usages de faux, 18,4 % de fraudes à l’isolement (ah, qu’en termes galants ces choses-là sont mises !). Mais cela ne représente que 0,35 % des allocataires : « L’immense majorité des personnes qui se trompent ne sont pas des fraudeurs. » D’où le « droit à l’erreur », introduit par la loi intitulée « pour un État au service d’une société de confiance ». On est content de savoir que les Français ne sont pas des fraudeurs – ce dont on ne doutait pas –, mais, alors, quelle est cette minorité qui parvient à escroquer, en un an, plus de 300 millions d’euros ?

    En l’occurrence, dans l’affaire en question, ce sont des Roumains, deux hommes et leurs compagnes, qui sont soupçonnés d’avoir monté, rien qu’en 2017, 1.200 dossiers frauduleux. Sous le statut d’auto-entrepreneur, de jeunes femmes déclaraient qu’elles étaient enceintes pour toucher des indemnités de la CAF. Apparemment, cette bande comptait des faussaires, puisqu’elle fabriquait de fausses cartes d’identité roumaines et de faux certificats de naissance. Mais notre gouvernement ne va tout de même pas faire preuve de discrimination à l’égard de ressortissants de l’Union européenne.

    Selon Le Parisien, au terme de plus de deux ans d’enquête, la police judiciaire de Lille et la police aux frontières de Valenciennes ont pu appréhender une partie de la bande… dans le Bas-Rhin, où ils montaient une autre affaire. Les donneurs d’ordre ont été arrêtés en Roumanie, en attendant leur transfert devant un juge français. Il ne s’agit pas d’être alarmiste, mais force est de constater que ce sont des étrangers – fussent-ils européens – qui sont les auteurs de ces fraudes.

    Ce genre de pratiques ne recouvre qu’une petite partie des fraudes sociales. Selon la sénatrice centriste Nathalie Goulet, la fraude aux numéros de Sécurité sociale, attribués sur la base de faux documents, serait évaluée à 14 milliards par an. Quand Marine Le Pen ou Nicolas Dupont-Aignan ont dénoncé ce chiffre, voici quelques mois, on les a traités de tous les noms. On ne pouvait en faire autant avec une honorable parlementaire centriste. Le secrétaire d’État au Numérique a, d’ailleurs, assuré de la détermination du gouvernement à « lutter massivement contre la fraude documentaire ». On se demande bien pourquoi, en décembre, l’Assemblée nationale a voté contre la remise d’un rapport d’information sur le sujet.

    Emmanuel Macron et son gouvernement, si sensibles à la lutte contre les fausses nouvelles, ne contribuent-ils pas eux-mêmes à la désinformation en n’exigeant pas une transparence totale sur ces pratiques frauduleuses ?

    Philippe Kerlouan

    https://www.bvoltaire.fr/escroqueries-a-la-caf-pourquoi-le-gouvernement-reste-t-il-si-discret-sur-les-fraudes/

  • « On va tous mourir sauf si on subventionne les poulets et que l’on taxe les vaches !!» L’édito de Charles SANNAT

    Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,
    Nous sommes en pleine hystérie collective environnementale, et je me méfie toujours des hystériques et des idéologues qui savent tout mieux que tout le monde.
    Les goulags du monde entier et les fosses communes sont pleins des vestiges et des dégâts occasionnés par les hystériques des idées.
    Il faut s’en méfier et les combattre.
    La protection du climat qui n’est qu’une toute petite partie de la problématique environnementale et de l’écologie est devenue une religion totalitaire et totalement délirante.
    Elisabeth Levy dira très justement qu’en science être « sceptique » c’est la base. 
    Le doute est un concept scientifique. 
    Etre climato-sceptique est un non-sens et une expression bien pratique pour faire taire la raison et les pensées différentes.
    Revenons à la religion du climat.

    Cette religion a ses grandes prêtresses!

    Par exemple la jeune Greta Thunberg dont j’ai acheté (et lu) le petit opuscule pathétique et aussi creux qu’inintéressant calqué en termes marketing sur le célèbre « Indignez-vous » de Stéphane Hessel.

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  • « Ces milliardaires qui veulent… plus de socialisme pour survivre !!» L’édito de Charles SANNAT

    Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,

    C’est un article du site financier américain Barron’s que je vous propose en ce lundi pour bien démarrer cette semaine. Un article en anglais intitulé « Ray Dalio and Other Billionaires Bemoan Broken System, Prep For Coming Class War » ce qui donne en traduction littérale:

    Ray Dalio et d’autres milliardaires déplorent le système brisé, se préparent à la guerre des classes à venir

    En France nous ne parlons pas tant de « guerre des classes » que de « lutte des classes », sauf que cette fois, c’est l’expression américaine qui semble le plus appropriée à la situation.

    Il y a un peu plus d’un siècle en 1917, lorsque survient la révolution russe, c’est tout simplement, parce que quelques nantis de l’époque ont souhaité conserver leurs privbilèges à tout prix, qu’ils n’ont rien souhaité partager, qu’ils ont excédé les populations et qu’au bout d’un moment, les gamelles vides et la misère poussent au désespoir et le désespoir à la violence, et la violence… fait les révolutions.

    Dans un tel contexte, les riches du moment terminent presque toujours la tête au bout d’une pique, sauf ceux, qui sentant le vent tourner prennent la poudre d’escampette avant que cela ne tourne au vinaigre pour eux.

    Ces leçons historiques ont été parfaitement retenues par les moins crétins de nos milliardaires, je dis les moins crétins, parce que c’est une évidence de bon sens qu’il faut savoir, pour faire tenir sa fortune la partager au minimum! A défaut de la faire par humanité, il faut savoir le faire par intérêt bien compris!

    Et bien même ainsi, si les milliardaires les plus futés dressent le constat du nécessaire partage (ne serait-ce encore une fois que par réflexe de survie) d’autres, persistent dans leur égoïsme le plus aveugle.

    Voici la traduction de cet article concernant Ray Dalio… 

    Pour information Ray Dalio, est tout, mais alors tout sauf un imbécile, c’est un homme brillant qui a créé, monté, développé et géré le plus gros fonds obligataire de tous les temps. C’est un peu le Warren Buffet des obligations, alors que le Warren, lui s’occupe d’actions. Ce n’est rien les actions. Tout le monde peut vivre sans action. Personne n’épargne sans obligation, car les obligations c’est la dette et la dette… c’est la monnaie! Moins flamboyant, plus discret et moins connu que le Warren, Ray Dalio, mérite largement que l’on écoute ce qu’il a à dire. Vraiment!

    « Le fondateur milliardaire de fonds spéculatifs, Ray Dalio, pense que le capitalisme est brisé et que nous devons le réformer de toute urgence. Mais cette semaine, la Conférence mondiale du Milken Institute a clairement montré que, parmi ses pairs ultra riches et puissants, il est en bonne compagnie.

    « Chaque système a besoin d’être rénové, d’être amélioré. Pouvons-nous convenir que nous devons le faire ? a-t-il dit lors de la clôture de la conférence, avant d’ajouter :  » Si nous ne sommes pas d’accord, nous aurons une certaine forme de révolution ; cela pourrait être d’abandonner le capitalisme ou d’aller à un autre extrême « .

    Il a demandé à l’auditoire s’il était d’accord avec son évaluation ; la plupart des membres de la salle bondée ont levé la main.

    L’anxiété au sujet du capitalisme a sous-tendu l’ensemble de la conférence, y compris le thème choisi,  » Driveving Shared Prosperity « . Mark Attanasio de Crescent Capital a cité l’inégalité, Sir Michael Hintze, fondateur du fonds de couverture, a parlé de Karl Marx et de nombreux milliardaires, dont Dalio, ont cité une peur largement partagée de la véritable guerre des classes!!

    Le groupe réuni à Los Angeles cette semaine comprenait certains des dirigeants et chefs d’entreprise les plus influents et les plus riches des États-Unis et du monde, et leur « remue-méninges » (brainstorming en anglais) sur les moyens de réparer ce système était sincère.

    C’est en partie dans leur propre intérêt : ils veulent soutenir le système qui a si bien fonctionné pour eux, et ne veulent pas qu’on leur enlève leur richesse. Mais dans les sondages et les interviews, ils ont aussi dit clairement qu’ils pensent que c’est un système qui peut fonctionner pour la plupart des gens : le capitalisme a sorti les gens de la pauvreté et a contribué à favoriser les progrès technologiques, comme en médecine, qui ont permis d’économiser des millions.

    Certains n’étaient pas convaincus que le « système » avait besoin d’être réparé ; Ken Griffin de Citadel a dit que le marché libre avait fonctionné pour lui et ses employés. En effet, c’est le cas : le classement annuel « Rich List » de l’Institutional Investor, publié le même jour que son exposé, classe Griffin au troisième rang des gestionnaires de hedge funds les mieux rémunérés, avec 870 millions de dollars l’an dernier. Et l’ancien gouverneur de Virginie Terry McAuliffe et le conférencier Niall Ferguson ont rejeté l’intérêt croissant des jeunes pour le « socialisme » comme un manque d’éducation ou de conscience historique… ( NDLR Là je pense qu’ils se trompent lourdement, dans un monde où tout se voit les mensonges aussi, l’injustice devient encore mois supportable par les peuples et le degré d’exigence augmente considérablement). 

    Plus d’accord avec Dalio, Robert Smith, fondateur de la société de capital-investissement Vista Equity Partners et l’homme noir le plus riche d’Amérique, a déclaré : « Il est temps de ré-architecturer ce qu’est ce tissu » qui constitue le rêve américain, rappelant au public qu’à 56 ans, il est le premier dans sa famille à « jouir pleinement de ses droits dans ce pays », du droit de vote, à la possibilité de vivre où il veut.

    « Les possibilités économiques qui m’étaient offertes ont changé, elles se sont rétrécies, a-t-il dit. « Nous avons eu une période de temps, une fenêtre ouverte – grâce à la chance de la vie, j’étais l’un de ces enfants qui a réussi à passer à travers cette fenêtre « , dit-il. Mais aujourd’hui, ces mêmes écoles et communautés  » sont aussi ségréguées qu’elles l’étaient dans les années 50 « .

    Même parmi ceux qui voient un problème avec le capitalisme sous sa forme actuelle, il y avait peu d’accord ou d’idées réalisables sur ce qu’il fallait faire à ce sujet. M. Smith a cité le travail qu’il a fait pour créer des stages et mettre les gens en contact avec les possibilités qui s’offrent à eux. Dalio a proscrit les partenariats public-privé  examinant le retour sur investissement du système carcéral et l’amélioration de l’éducation, citant son propre don récent aux écoles du Connecticut.

    Dalio a également suggéré qu’un groupe se constitue et fasse un remue-méninges : si nous pouvions  » se calmer et ne pas être en colère les uns contre les autres  » et aborder le problème comme des ingénieurs, réunir un groupe bipartisan compétent  » et presque les enfermer dans une pièce, ou les enfermer quelque part pendant assez longtemps, sans sortir, ils s’entendront sur quoi faire, nous serions beaucoup mieux  » dit-il.

    Alan Schwartz, président exécutif de Guggenheim Partners et ancien directeur général de Bear Stearns, a également suggéré la création d’une commission bipartisane qui pourrait s’attaquer à des problèmes tels que la réduction du nombre de permis professionnels, qui, selon certains, restreint la mobilité professionnelle.

    Quelle que soit la solution qu’ils préfèrent, les participants de Milken peuvent la faire connaître à des personnes influentes. Les participants à la conférence ont pu côtoyer des représentants du gouvernement de Jared Kushner et Ivanka Trump au secrétaire au Commerce Wilbur Ross. Mercredi, Milken a dévoilé les plans d’un nouveau « Center for the American Dream », un musée et le siège de son Institut, juste en face du département du Trésor à Washington D.C. – un hommage physique à l’influence de Milken dans la politique américaine, et représentatif de la capacité croissante des ultra riches à peser sur les idées politiques et réglementaires.

    Mais malgré toute la consternation et le poids de la conversation, certains considèrent que la question est simple. Comme l’a dit Sir Hintze : « Si vous n’avez pas de capital, pourquoi être capitaliste ? »

    Comment réparer le système?

    Vaste question n’est-ce pas?

    Voici non pas quelques pistes mais quelques éléments de bon sens sur l’évolution des choses.

    Même lors de rupture brutale nous parlons toujours de « mouvement », de « processus ». Une révolution dure de 20 à 50 ans pour permettre l’émergence de nouveaux équilibres plus durables.

    La révolution russe verra le pouvoir de Staline stabilisé qu’à l’issue de la Seconde Guerre mondiale.

    Pour la révolution française ce fut nettement plus long puisque 1789 enfanta… plus de Napoléon que de la république! Je peux multiplier les exemples à l’infini.

    Alors le point d’arrivée pourrait sembler presque connu. Un système plus égalitaire avec des incitations positives capitalistiques mais un socle de droit et de confort minimum le tout dans un système économique plus vertueux en termes environnementaux et de soutenabilité. Comprendre par là, que c’est la fin de la consommation de masse telle que nous l’avons connue.

    Pour arriver à cela il faut démondialiser (ce que fait Trump) mais c’est un processus lent et long sinon, drames, pénuries, manques, etc… La mondialisation actuelle a mis 30 ans à se faire. Elle mettra autant ou presque à être défaite!

    Pour rendre supportable tout cela, il y aura des phases intermédiaires où par exemple, il faudra bien imprimer plus de billets!

    Ray Dalio veut réparer le système. C’est plutôt une bonne idée. Le problème est plutôt le suivant: le système est-il réparable avant son effondrement?

    Je n’ai pas la prétention d’avoir la réponse avec certitude. Mais je préfère me préparer au pire en espérant le meilleur.

    La logique immédiate veut que le système va vouloir survivre par tous les moyens, parce que, au fond, personne ne veut vraiment qu’il s’arrête même ceux qui le contestent. Personne ne veut se remettre à laver les couches des marmots, ou à nettoyez des mouchoirs plein de morve au lavoir du village!!

    La phase intermédiaire de l’économie administrée est le modèle… chinois!

    C’est parce que cette logique immédiate de survie du système est très forte que le système a tenu jusqu’à maintenant alors qu’il est objectivement totalement défaillant et dysfonctionnel. Il a tenu parce que l’on a imprimé ce qu’il fallait de billets pour faire croire que tout allait bien, et tout le monde a eu la gentillesse de croire à ces fadaises.

    La logique immédiate veut donc, que nous allions encore plus loin dans la fiction imaginaire et partagée par tous que tout va bien dans le meilleur des mondes. Même les milliardaires seront les premiers à signer pour plus de monnaie, plus d’impression, plus de TMM et au bout du compte pour ce qui aboutira à la mise en place d’une économie administrée que nous voyons tous les jours se développer au niveau mondial.

    Le futur immédiat, c’est l’évolution des économies occidentales vers le système chinois. Une économie administrée où l’Etat contrôle la monnaie, le crédit, les lois et la force policière, tandis que le privé peut s’amuser à créer ce qu’il veut ou presque tant que cela ne menace pas l’Etat. Un système sans droit, avec une dictature politique réelle mais feutrée jusqu’à certaines limites et la mise en place d’un autoritarisme numérique.

    Voici notre futur immédiat, une économie totalement administrée, plus de monnaie, plus de répression, moins de liberté, mais aussi plus de miettes pour les gueux pour les faire taire, mais certainement pas la baguette!

    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

    Charles SANNAT

    « Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
    Pour m’écrire charles@insolentiae.com
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    Vous pouvez également vous abonner à ma lettre mensuelle « STRATÉGIES » qui vous permettra d’aller plus loin et dans laquelle je partage avec vous les solutions concrètes à mettre en œuvre pour vous préparer au monde d’après. Ces solutions sont articulées autour de l’approche PEL – patrimoine, emploi, localisation. L’idée c’est de partager avec vous les moyens et les méthodes pour mettre en place votre résilience personnelle et familiale.

    « À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)

    « Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »

    https://insolentiae.com/ces-milliardaires-qui-veulent-plus-de-socialisme-pour-survivre-ledito-de-charles-sannat/

  • Familles nombreuses : malheureuses peut-être, écolos sûrement !

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    Sabine de Villeroché Boulevard Voltaire

    Plutôt le moral en berne, ces familles de trois enfants et plus ; à lire cette enquête de l’UNAF, c’est « 62 % des familles nombreuses qui jugent leur image négative ». Elles avouent se sentir assimilées à « des gens qui profitent»« qui vivent des allocations au lieu d’aller travailler ». Leurs concitoyens les jugent, dans l’ensemble, « bruyantes »« trop envahissantes » et « encombrantes ». Quel triste bilan !

    Mais ce n’est pas tout. Au regard négatif de certains, on pourrait rajouter le mépris officiel du président de la République qui, avec cette petite phrase assassine, « Présentez-moi une femme parfaitement éduquée qui ait 7, 8 ou 9 enfants », aurait un peu tendance à prendre les mères de familles nombreuses pour des demeurées.

    Ne parlons pas de ces écologistes pour qui les parents sont, à la limite de la délinquance, coupables de procréation. Un nouveau modèle vertueux d’individus est né : les « No Kids », ceux qui renoncent à avoir des gosses pour sauver la planète Terre.

    En toute logique, dans leur grande majorité, les familles interrogées par l’UNAF ont le sentiment d’être de moins en moins soutenues par la politique familiale. Plus qu’une impression, c’est la réalité : depuis 2012, les baisses du quotient familial, la modulation de leurs allocations et la disparition des dispositifs locaux (gratuité des transports scolaires, tarifs préférentiels dans la restauration scolaire…) n’ont fait qu’appauvrir les familles. La première de leurs difficultés est d’ordre matériel : 73 % des familles de quatre enfants ont du mal à boucler leurs fins de mois.

    Sans encouragement financier, c’est inéluctable : « Le niveau de vie des familles nombreuses est très inférieur à celui des familles de un ou deux enfants. Celles ayant 3 enfants à charge perdent 14 % de leur niveau de vie médian par rapport à celles qui n’en ont que 2. »

    Et pourtant, contre toute attente, malgré l’abandon et le mépris des politiques, « les familles nombreuses, loin d’être une population marginale ou résiduelle, sont un phénomène massif et durable ». Plus d’un enfant sur trois, en France, vit en famille nombreuse. Malgré les écolos, malgré les gouvernements successifs, envers et contre tout ; quel héroïsme ! Selon l’UNAF, « avoir 3 enfants demeure l’idéal personnel d’un tiers de la population ». Mystère et grandeur de l’âme humaine qui ne se contente pas d’un bonheur purement matériel vanté par une société consumériste à souhait ?

    Osons le mot : la famille n’est pas une espèce nuisible. Elle est même utile : à son prochain, à la société dans son ensemble. Ça vaudrait vraiment le coup de s’en préoccuper. Ne serait-ce que pour penser au renouvellement des générations… et pour plein d’autres raisons : le paiement des retraites, la dynamique d’un pays, la transmission des savoirs, de la culture, de l’identité, l’éducation des citoyens de demain, la solidarité gratuite, l’apprentissage et la consolidation du lien social, la prise en charge des aînés, le refuge des plus fragiles… Tout cela mérite bien d’alourdir un peu la facture la carbone, non ?

    Encore que… en matière d’écologie, justement, la famille n’a pas attendu Emmanuel Macron pour avoir des idées : qui dit famille nombreuse dit niveau de vie diminué, choix à l’économie, non-gaspillage, recyclage des vêtements… Dans une famille nombreuse, on « fait attention » à ce que l’on possède, on ne gâche pas, on ne brûle pas beaucoup le kérosène des compagnies d’aviation. Pour Jean-Philippe Vallat, responsable des études à l’UNAF, « avoir une famille nombreuse n’est pas forcément antinomique avec un comportement écolo, au contraire ». N’aurait-on pas sous les yeux le premier cercle vertueux où le geste écologique se pratique et se transmet ?

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  • La Petite Histoire : Quand la guerre de Sécession faisait rage… à Cherbourg !

     

    La guerre de Sécession est un conflit ayant opposé, de 1861 à 1865, les états du nord des États-Unis à ceux du sud. Jusqu’ici, tout va bien… Ce qui est en revanche très peu connu, outre l’aspect maritime de cette guerre qui a pourtant révolutionné le combat naval, c’est que l’un de ses épisodes s’est déroulé au large des côtes françaises, à Cherbourg. Un affrontement en règle entre deux navires corsaires, le 19 juin 1864, sous les yeux ébahis de plus de 15.000 Français venus assister au spectacle.

    https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-quand-la-guerre-de-secession-faisait-rage-a-cherbourg

  • Aveuglement des «bien-pensants» face à l’islam

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    La tuerie anti-musulmane de Christchurch en Nouvelle-Zélande, survenue il y a six semaines environ, le 15 mars dernier, a causé cinquante morts et des dizaines de blessés
    Elle a suscité un élan d’horreur planétaire.

    Le tueur, a-t-on lu, était un être abject, abominable, à éliminer au plus vite.

    Il incarnait des idées à rejeter et à éliminer.

    Quand bien même il se disait écologiste, rejetait explicitement le conservatisme, et se disait surtout hostile aux migrations et à la surpopulation, il a été présenté comme un «conservateur».
    Nombre de juifs et de chrétiens ont affirmé aussitôt leur solidarité avec les musulmans.

    La tuerie anti-chrétienne qui s’est produite le 21 avril au Sri Lanka a été bien plus meurtrière, puisqu’il y a plus de trois cents morts et plus de cinq cents blessés, certains dans un état très grave, mais l’élan d’horreur a été moins important.

    Les tueurs (car, cette fois, il y en avait plusieurs) n’ont pas été insultés et traînés dans la fange.

    Leurs idées n’ont pas été fustigées, mais traitées avec précautions: pendant plusieurs heures, alors qu’il était absolument flagrant, au vu du mode opératoire, qu’il s’agissait d’une tuerie islamique, le mot «islam» n’a pas même été prononcé.

    Lorsqu’il l’a été, il a été accompagné de circonlocutions évoquant un groupe bien particulier lié à l’État islamique.

    Dire que cela a été une attaque anti-chrétienne, alors que c’était tout aussi flagrant, ne s’est fait qu’avec réticence.

    Des dirigeants politiques ont même publié des communiqués désignant des «gens qui célébraient Pâques».

    D’autres ont parlé d’attaques «contre des églises et contre des hôtels», comme si c’étaient surtout les bâtiments qui avaient été visés.

    Le moins qu’on puisse dire est que les autorités religieuses musulmanes sont restées très discrètes.

    Cette différence est terriblement significative.

    La tuerie de Christchurch attaquait des musulmans sur un territoire occidental, et elle ne pouvait qu’être immédiatement condamnée par tous les «bien-pensants» du monde occidental.

    Elle ne pouvait qu’être utilisée pour s’en prendre à tous ceux que les «bien-pensants» du monde occidental ciblent en général, fût-ce en pratiquant des amalgames abusifs.

    La tuerie du Sri Lanka était gênante pour les «bien-pensants» du monde occidental: elle donnait le très mauvais rôle à des musulmans, et les victimes étaient des gens envers qui les «bien-pensants» éprouvent de l’indifférence, voire du dédain.

    Elle donnait une image très négative de l’islam et montrait que des musulmans pouvaient tuer des gens pour la seule raison qu’ils ne sont pas musulmans.
    Cette différence est effroyable et inquiétante.

    La «bien-pensance» qui sévit dans le monde occidental propage un aveuglement qui permet à l’islam de se répandre sur la planète.

    Elle ment sur l’islam dans le cadre de cet aveuglement, en dépeignant celui-ci comme imprégné d’un esprit de paix et de fraternité, alors qu’il est un dogme guerrier incitant au meurtre et au massacre, et que ses victimes chaque année se comptent par milliers sur toute la surface de la terre.

    Elle se fait ainsi complice des crimes et des massacres déjà commis et de ceux qui se produiront dans le futur.

    Elle fait tout pour occulter ce qui devrait alarmer. Les chrétiens sont aujourd’hui le groupe religieux le plus persécuté du monde. Ce qui s’est passé au Sri Lanka est une horreur, mais des scènes d’horreur semblables se produisent sans cesse dans plusieurs pays d’Afrique subsaharienne, en particulier au Nigéria. Les Coptes, dont la présence en Égypte préexiste à l’émergence de l’islam, sont fréquemment massacrés.

    Des pays tels que l’Irak et la Syrie ont subi une véritable épuration ethnico-religieuse anti-chrétienne. En Europe, églises, basiliques et cathédrales sont saccagées, profanées, incendiées par centaines chaque année. Tous les pays d’Europe où des communautés musulmanes nombreuses se sont implantées ont vu émerger des zones de non-droit qui sont en réalité des zones musulmanes autonomes.

    Il est difficile de ne pas penser que la «bien-pensance » qui sévit dans le monde occidental cherche le pire et est imprégnée d’un amour vénéneux pour la haine et la destruction. L’arrêter dans ses basses œuvres relève maintenant de l’extrême urgence.

    Guy Milliere

    Tribune reprise de les4verites.com

    https://fr.novopress.info/214495/aveuglement-des-bien-pensants-face-a-lislam/