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  • Etats-Unis : «Grande victoire» pour Trump, autorisé à user de fonds militaires pour construire le mur

    Le président américain Donald Trump a salué une « grande victoire » après l’autorisation accordée vendredi par la Cour suprême américaine d’utiliser 2,5 milliards de dollars venus du Pentagone pour construire le mur à la frontière avec le Mexique.

    Par 5 voix contre 4, les juges de la Cour suprême -qui a récemment basculé du côté des conservateurs- ont invalidé la décision d’un juge fédéral, estimant que le gouvernement avait démontré que les plaignants n’avaient pas qualité à contester l’attribution de ces fonds […].

    Le mur, censé endiguer l’immigration clandestine d’Amérique centrale, est une promesse phare du président républicain. Durant sa campagne en 2016, il avait assuré vouloir en faire payer la construction par le Mexique. Parallèlement, M. Trump a annoncé vendredi la conclusion d’un accord migratoire avec le Guatemala, aux contours encore très flous, dans le cadre de ses pressions pour contraindre ses voisins du Sud à mieux contrôler les migrants cherchant à gagner les Etats-Unis.

    En juin, 104.000 migrants ont été arrêtés à la frontière, un chiffre en hausse de 142% sur un an, selon les données officielles. En mai, ce chiffre avait grimpé à 144.000, dont 57.000 mineurs, contre une moyenne de 20.000 interpellations par mois au début du mandat de Donald Trump.

    La Libre.be

    http://www.fdesouche.com/1242501-etats-unis-grande-victoire-pour-trump-autorise-a-user-de-fonds-militaires-pour-construire-le-mur

  • Gilets jaunes: une information judiciaire ouverte pour violences policières à Toulon

    police.jpgLe procureur de la République de Toulon a récemment ouvert une information judiciaire après qu'un commandant de police avait été filmé, en janvier, en train de frapper un homme en marge d'une manifestation de gilets jaunes. 
    Un commandant de police avait été filmé en janvier en train de frapper un homme en marge d'une manifestation de gilets jaunes à Toulon: six mois après, une information judiciaire a été ouverte, a indiqué ce vendredi le parquet de Toulon.
    "J'ai saisi un juge d'instruction pour violences volontaires par personne dépositaire de l'autorité publique", a indiqué à Bernard Marchal, procureur de la République de Toulon, confirmant une information du journal Libération.
    Cette saisie "contre X" vise des violences commises le 5 janvier par le commandant de police Didier Andrieux, responsable par intérim des forces de police locales, filmé par des gilets jaunes en train de procéder à l'interpellation musclée d'un homme. Les images, le montrant en train de lui asséner des coups au visage alors que l'individu semblait maîtrisé par ses collègues policiers, avait provoqué la polémique sur les réseaux sociaux.
    [...]
    En savoir plus sur bfmtv.com

  • Mineurs isolés étrangers : le revers des associations pro-immigration

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    Il existerait 40.000 « mineurs » isolés. Selon Valeurs actuelles, chacun coûterait 50.000 euros par an, montant auquel il faut rajouter les frais d’évaluation de la minorité et ceux de l’éventuel contrat d’apprentissage signé quand le « mineur » atteint 18 ans : 30.000 euros en moyenne.

    Alors que la France exsangue ploie sous le déficit, l’accueil des mineurs est devenu une charge intolérable et injuste : si la minorité est reconnue pour 61 % des postulants, le rapport annuel de 2018 sur la situation des mineurs non-accompagnés (MNA) cite René-Paul Savary, sénateur (LR) de la Marne : « Dans mon département, 80 % des personnes se présentant comme mineurs non accompagnés se révèlent, au terme d’une procédure d’évaluation de deux mois ou deux mois et demi du fait de la saturation de la police aux frontières, être en fait majeurs. » En effet, beaucoup de fraudeurs bénéficient du doute pour passer à travers des contrôles, car il est très difficile d’estimer l’âge d’un adolescent ou d’un jeune adulte. L’interrogatoire permet d’écarter nombre de fraudeurs, mais les associations, dans leur délire pro-immigrationniste, conseillent les jeunes pour leur éviter d’être démasqués et révisent avec eux ce qu’ils doivent dire. En outre, il faut passer par le biais de traducteurs, ce qui crée un filtre dommageable. De plus, la Justice autorise les « mineurs » à refuser l’examen radiologique de leurs poignets ; or, malgré l’incertitude réelle que ces clichés induisaient, ils permettaient de trancher dans un grand nombre de cas.

    Les faux mineurs démasqués n’hésitaient pas, jusqu’alors, à changer de département et à recommencer la procédure. Pour finir, très souvent, ils trouvaient une collectivité pour les héberger. Pour empêcher la poursuite de cette fraude choquante et consternante, les pouvoirs publics ont décidé de créer un fichier pour centraliser les dossiers. Si quelqu’un est refusé par un juge des enfants quelque part en France, il le sera désormais partout dans le pays. Cette mesure est de bon sens et devrait faire consensus. Pourtant, les associations sont vent debout contre ce fichier. Elles n’ont aucun argument valable à donner, si ce n’est celui-ci : toute personne qui souhaite s’installer en France devrait être autorisée à le faire et être aidée financièrement à prendre un nouveau départ. Elles se moquent complètement que cette politique pèse lourdement sur les finances publiques.

    Le Conseil constitutionnel, saisi par plusieurs associations, n’a pu que constater que nos lois fondamentales étaient respectées et que rien ne s’opposait à la création de ce fichier. En fait, aucune autre décision n’était possible. Pourtant, les associations ne désarment pas : elles vont saisir, maintenant, la Cour de cassation. Quinze départements, dont Paris, viennent d’annoncer qu’ils ne transmettront pas les données des mineurs pour qu’elles soient recensées, créant ainsi une faille dont les fraudeurs profiteront.

    Mais pourquoi continuer à recevoir, en France, les mineurs étrangers ? Déjà, la logique voudrait que les mineurs originaires de pays « sûrs » (Algérie, Tunisie, Guinée, Maroc…) soient systématiquement rapatriés ; ils seraient placés jusqu’à leur majorité dans des centres financés par la France. Vu la différence de niveau de vie, un mineur ne coûterait plus que 5.000 euros par an au lieu de 50.000 euros. Politique réactionnaire ? Elle l’est tellement que l’adjoint à la sécurité de Barcelone – une municipalité qui n’est pas spécialement d’extrême droite ! – évoquait la semaine dernière l’éventualité d’un “retour assisté” des mineurs étrangers, comme l’a rapporté El Pais.

    Christian de Moliner

    https://www.bvoltaire.fr/mineurs-isoles-etrangers-le-revers-des-associations-pro-immigration/

  • Quand les médias cachent les violences des migrants, quelqu’un doit en parler

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    Tout comme en France et dans la plupart des pays européens, en Espagne également, des ordres sont donnés afin que les médias en général et plus particulièrement les chaînes de télévision s’abstiennent de fournir des informations sur les identités et, surtout, les origines des auteurs des crimes, agressions violentes, viols, vols, etc. afin de ne pas stigmatiser les migrants clandestins, qu’ils soient mineurs ou adultes, qui représentent un pourcentage très élevé de cette délinquance agressive.

    Ainsi, par exemple, la chaîne espagnole « Telediario 6 » a occulté la nationalité des voyous qui ont violé en groupe, à Manresa (Catalogne) une jeune fille de 17 ans qui elle-même les avait désigné à la police catalane comme étant quatre maghrébins.

    Et ce n’est pas la première fois que cette chaîne, véhiculant une idéologie d’extrême gauche, omet d’informer correctement.

    Cette jeune fille avait commis l’imprudence de se laisser convaincre, par l’un des clandestins rencontré au cours de la soirée, de le suivre dans l’appartement qu’il occupait, 17 rue de Aiguader, et c’est vers trois heures du matin que lui-même et trois complices, âgés de 18 à 25 ans, ont abusé d’elle sexuellement.

    Nombreuses sont les provinces espagnoles qui se trouvent confrontées à cette insécurité à cause des très nombreux mineurs isolés clandestins, d’origine maghrébine, qui sévissent dorénavant en toute tranquillité.

    Le responsable de la police nationale de la province d’Aragon vient d’affirmer qu’entre trois heures et quatre heures vingt du matin ses services ont été alertés à plusieurs reprises pour des vols avec violence, notamment à Zaragosse, dans le quartier de San Pablo.

    Quatre mineurs ont menacé d’un couteau une jeune fille, avenue Goya, pour lui voler son portable. Deux autres mineurs clandestins venaient de commettre plusieurs agressions violentes rue Saint-Vincent de Paul et une patrouille a pu interpeller deux mineurs à l’instant où ils allaient dérober un mobile à un adolescent, rue Aguadores.

    Vers 4 h du matin ce fut une dernière victime, pour cette même nuit, qui a été rouée de coups, également pour lui voler son portable.

    Les policiers recherchaient également cinq mineurs auteurs de nombreuses agressions et vols, sur deux adolescents qui rentraient chez eux.

    Dans la région de Valence, à Jativa, ce sont deux marocains de 25 et 31 ans qui ont été arrêtés par la police nationale après avoir abusé sexuellement d’une jeune fille, après avoir procédé à des attouchements.

    Nous avons déjà eu l’occasion, hélas, d’informer sur cette nouvelle délinquance qui frappe la péninsule ibérique depuis ces cinq dernières années, à Murcia, Llorca, Malaga et dans toute l’Andalousie. A présent cela s’étend à toutes les provinces et notamment dans le nord-est, qui est devenu le chemin le plus direct vers la France.

    Mattéo Salvini a sauvé momentanément l’Italie, qui a dû subir une délinquance identique durant des années, mais qui sauvera l’Espagne ? Tous les regards se tournent vers VOX.

    Quant à la France, nous venons de le constater ces derniers jours avec les « supporters » algériens, il est à craindre qu’il ne soit déjà trop tard !

    © Manuel Gomez pour Dreuz.info.

    https://www.alterinfo.ch/2019/07/17/quand-les-medias-cachent-les-violences-des-migrants-quelquun-doit-en-parler/

  • Climat : de grands scientifiques italiens jettent un pavé dans la mare

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    Ce texte, sous forme de pétition, a été initié par le professeur Uberto Crescenti – Professeur titulaire de géologie appliquée à l’Université G. d’Annunzio de Chieti ; Recteur de l’Université G. d’Annunzio de 1985 à 1997, président de la Société italienne de géologie de 1999 à 2005, fondateur et président de l’Association italienne de géologie appliquée et d’environnement de 1999 à 2005, fondateur et président en 2001 de l’Association italienne « géologie et tourisme ».
    Il faut lire ce texte dans son intégralité.
    Nous soussignés, citoyens et hommes de science, invitons avec force les décideurs politiques à adopter des politiques de protection de l’environnement qui soient compatibles avec les connaissances scientifiques.
    En particulier, il est urgent de lutter contre la pollution là où elle se produit, comme l’indiquent les meilleures données scientifiques. 
    A cet égard, il est regrettable que les connaissances mises à disposition par le monde de la recherche soient utilisées trop tard pour réduire les émissions anthropiques de polluants très répandus dans les systèmes environnementaux tant continentaux que marins.
    Cependant, il faut être bien conscient que le dioxyde de carbone lui-même n’est pas un polluant. Au contraire, il est indispensable à la vie sur notre planète.
    Au cours des dernières décennies, s’est répandue une hypothèse selon laquelle le réchauffement de la surface de la terre d’environ 0,9°C observé depuis 1850 serait anormal et dû aux activités humaines, en particulier à l’émission dans l’atmosphère de CO2 venant de l’utilisation des combustibles fossiles.
    C’est là la thèse du réchauffement climatique anthropique promue par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) des Nations Unies, dont les conséquences seraient des changements environnementaux si graves qu’ils feraient craindre des dommages énormes dans un avenir proche, à moins que des mesures drastiques et très coûteuses soient adoptées immédiatement. 
    De nombreuses nations du monde ont adhéré à des programmes de réduction des émissions de dioxyde de carbone et une propagande de plus en plus virulente les invite à adopter des programmes toujours plus exigeants dont la mise en œuvre, très onéreuse pour les économies de ces Etats, serait, prétend-on, nécessaire à la maîtrise du climat et au « salut » de la planète.

    L’origine anthropique du réchauffement de la planète est cependant une conjecture non prouvée, déduite uniquement de certains modèles climatiques, c’est-à-dire de programmes informatiques complexes, appelés modèles de circulation générale.
    Au contraire, la littérature scientifique a, mis en évidence l’existence d’une variabilité climatique naturelle que les modèles ne sont pas capables de reproduire, variabilité naturelle de mieux en mieux vérifiée.
    Cette variabilité naturelle explique une part importante du réchauffement climatique observé depuis 1850.
    La responsabilité anthropique du changement climatique observée au siècle dernier est donc exagérée de façon injustifiée et les prévisions catastrophiques sont irréalistes.
    Le climat est le système le plus complexe sur notre planète : nous devons donc l’aborder avec des méthodes appropriées et adaptées à son niveau de complexité.
    Les modèles de simulation climatique ne reproduisent pas la variabilité naturelle observée du climat et, en particulier, ne reconstituent pas les périodes chaudes des 10 000 dernières années.
    Celles-ci se sont répétées environ tous les mille ans : on y trouve la période médiévale chaude, bien connue, la période romaine chaude, et généralement de grandes périodes chaudes pendant l’Optimum holocène [Il y a 8000 ans].
    Ces périodes passées étaient plus chaudes que la période actuelle, bien que la concentration de CO2 y ait alors été inférieure à la concentration actuelle ; elles sont liées aux cycles millénaires de l’activité solaire. Ces effets ne sont pas reproduits par les modèles.
    Rappelons que le réchauffement observé de 1900 à nos jours a, en fait, commencé en 1700, c’est-à-dire au minimum du Petit Âge glaciaire, qui est la période la plus froide des 10 000 dernières années, et qu’il correspond à un minimum millénaire de l’activité solaire que les astrophysiciens appellent minimum solaire de Maunder
    Depuis, l’activité solaire, suivant son cycle millénaire, a augmenté et réchauffé la surface de la Terre.
    De plus, les modèles ne parviennent pas à reproduire les oscillations climatiques bien connues de période 60 ans environ. 
    Celles-ci ont été responsables, d’une période de réchauffement (1850-1880) suivie d’une période de refroidissement (1880-1910), puis d’une période de réchauffement (1910-1940), d’une période de refroidissement (1940-70) et d’une nouvelle période de réchauffement (1970-2000) semblable à celle observée 60 ans auparavant.
    Les années suivantes (2000-2019) ont vu non pas l’augmentation prévue par les modèles, d’environ 0,2°C par décennie, mais une nette stabilité climatique sporadiquement interrompue par les oscillations naturelles rapides de l’océan Pacifique équatorial, appelées El Niño Southern Oscillation (ENSO), telles que celle qui a amené un réchauffement temporaire en 2015 et 2016.
    Les médias affirment également que les événements extrêmes, tels qu’ouragans et cyclones, ont augmenté de façon inquiétante. 
    Non ! Ces événements, sont , comme de nombreux systèmes climatiques, modulés par le cycle de 60 ans que l’on vient de signaler. 
    Voyons, par exemple, les données officielles depuis 1880 sur les cyclones tropicaux atlantiques qui ont frappé l’Amérique du Nord : elles montrent une forte oscillation de 60 ans, corrélée à l’oscillation thermique de l’océan Atlantique appelée Atlantic Multi-decadal Oscillation (AMO). Les pics observés pendant dix ans sont comparables pour les années 1880-90, 1940-50 et 1995-2005. De 2005 à 2015, le nombre de cyclones a diminué, suivant le cycle susmentionné.
    Ainsi, sur la période 1880-2015, il n’y a pas de corrélation entre le nombre de cyclones, qui oscille et le CO2 qui augmente de façon monotone.
    Le système climatique n’est pas encore suffisamment bien compris. 
    S’il est vrai que le COest un gaz à effet de serre, la sensibilité du climat à son augmentation dans l’atmosphère est, selon le GIEC lui-même, encore extrêmement incertaine. 
    Un doublement de la concentration atmosphérique de CO2, d’environ 300 ppm avant l’ère industrielle à 600 ppm, pourrait, dit-on, faire monter la température moyenne de la planète d’au moins 1°C à au plus 5°C.
    Cette incertitude est énorme. 
    Cependant, de nombreuses études récentes fondées sur des données expérimentales estiment que la sensibilité du climat au COest nettement moindre que celle estimée par les modèles du GIEC.
    Il est donc scientifiquement irréaliste d’attribuer à l’homme la responsabilité du réchauffement observé de 1900 à nos jours.
    Les prédictions alarmistes ne sont donc pas crédibles, puisqu’elles sont basées sur des modèles dont les résultats sont en contradiction avec les données observées.
    Tout porte à croire que ces modèles surestiment la contribution anthropique et sous-estiment la variabilité climatique naturelle, en particulier celle induite par le soleil, la Lune et les oscillations océaniques.
    Enfin, les médias ont fait passer le message qu’ il y aurait un consensus quasi unanime parmi les scientifiques sur la cause anthropique de l’actuel changement climatique et que le débat scientifique serait donc clos. 
    Et pourtant, nous devons tout d’abord être bien conscients que la méthode scientifique exige que ce soient les faits, et non le nombre de croyants qui d’une conjecture font une théorie scientifique consolidée.
    Quoi qu’il en soit, même ce supposé consensus n’existe pas. 
    Les opinions des spécialistes – climatologues, météorologues, géologues, géophysiciens, astrophysiciens – sont très variables et nombre d’entre eux reconnaissent l’importance de la contribution naturelle au réchauffement planétaire observée depuis la période préindustrielle et même au réchauffement de l’après-guerre à aujourd’hui.
    Il y a également eu des pétitions signées par des milliers de scientifiques qui ont exprimé leur désaccord avec l’hypothèse du réchauffement climatique anthropique. 
    Notamment celle lancée en 2007 par le physicien F. Seitz, ancien président de l’American National Academy of Sciences, et celle lancée par le Groupe d’experts International Non Gouvernemental sur l’évolution du climat (NIPCC), dont le rapport 2009 conclut que  » la nature, et non l’activité humaine, gouverne le climat « .
    En conclusion, vu l’importance cruciale des combustibles fossiles pour l’approvisionnement énergétique de l’humanité, nous suggérons de refuser d’adhérer à des politiques de réduction des émissions de dioxyde de carbone dans l’atmosphère sous le prétexte illusoire de gouverner le climat.
    COMITÉ DE LANCEMENT

    1. Uberto Crescenti, Professeur émérite de géologie appliquée, Université G. D’Annunzio, Chieti-Pescara, ancien Recteur magnifique et Président de la Société italienne de géologie.
    2. Giuliano Panza, Professeur de sismologie, Université de Trieste, Académicien du Lincei et de l’Académie Nationale des Sciences, connu comme le XL, Prix International 2018 de l’Union Géophysique Américaine.
    3. Alberto Prestininzi, professeur de géologie appliquée, Université La Sapienza, Rome, ancien rédacteur scientifique en chef de la revue internationale IJEGE et directeur du Centre de recherche sur la prévision et le contrôle des risques géologiques.
    4. Franco Prodi, professeur de physique atmosphérique, Université de Ferrare.
    5. Franco Battaglia, professeur de chimie physique, Université de Modène ; Movimento Galileo 2001.
    6. Mario Giaccio, professeur de technologie et d’économie des sources d’énergie, Université G. D’Annunzio, Chieti-Pescara, ancien doyen de la faculté d’économie.
    7. Enrico Miccadei, Professeur de Géographie, Physique et Géomorphologie, Université G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
    8. Nicola Scafetta, professeur de physique atmosphérique et d’océanographie, Université Frédérico II de Naples

    SIGNATAIRES 

    1. Antonino Zichichi, Professore Emerito di Fisica, Università di Bologna, Fondatore e Presidente del Centro di Cultura Scientifica Ettore Majorana di Erice.
    2. Renato Angelo Ricci, Professore Emerito di Fisica, Università di Padova, già Presidente della Società Italiana di Fisica e della Società Europea di Fisica; Movimento Galileo 2001.
    3. Aurelio Misiti, Professore di Ingegneria Sanitaria-Ambientale, Università la Sapienza, Roma.
    4. Antonio Brambati, Professore di Sedimentologia, Università di Trieste, Responsabile Progetto Paleoclima-mare del PNRA, già Presidente Commissione Nazionale di Oceanografia.
    5. Cesare Barbieri, Professore Emerito di Astronomia, Università di Padova.
    6. Sergio Bartalucci, Fisico, Presidente Associazione Scienziati e Tecnologi per la Ricerca Italiana.
    7. Antonio Bianchini, Professore di Astronomia, Università di Padova.
    8. Paolo Bonifazi, già Direttore Istituto di Fisica dello Spazio Interplanetario, Istituto Nazionale Astrofisica.
    9. Francesca Bozzano, Professore di Geologia Applicata, Università Sapienza di Roma, Direttore del Centro di Ricerca CERI.
    10. Marcello Buccolini, Professore di Geomorfologia, Università Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
    11. Paolo Budetta, Professore di Geologia Applicata, Università di Napoli.
    12. Monia Calista, Ricercatore di Geologia Applicata, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
    13. Giovanni Carboni, Professore di Fisica, Università Tor Vergata, Roma; Movimento Galileo 2001.
    14. Franco Casali, Professore di Fisica, Università di Bologna e Accademia delle Scienze di Bologna.
    15. Giuliano Ceradelli, Ingegnere e climatologo, ALDAI.
    16. Domenico Corradini, Professore di Geologia Storica, Università di Modena.
    17. Fulvio Crisciani, Professore di Fluidodinamica Geofisica, Università di Trieste e Istituto Scienze Marine, Cnr, Trieste.
    18. Carlo Esposito, Professore di Telerilevamento, Università La Sapienza, Roma.
    19. Mario Floris, Professore di Telerilevamento, Università di Padova.
    20. Gianni Fochi, Chimico, Scuola Normale Superiore di Pisa; giornalista scientifico.
    21. Mario Gaeta, Professore di Vulcanologia, Università La Sapienza, Roma.
    22. Giuseppe Gambolati, Fellow della American Geophysica Union, Professore di Metodi Numerici, Università di Padova.
    23. Rinaldo Genevois, Professore di Geologia Applicata, Università di Padova.
    24. Carlo Lombardi, Professore di Impianti nucleari, Politecnico di Milano.
    25. Luigi Marino, Geologo, Centro Ricerca Previsione e Controllo Rischi Geologici, Università La Sapienza, Roma.
    26. Salvatore Martino, Professore di Microzonazione sismica, Università La Sapienza, Roma.
    27. Paolo Mazzanti, Professore di Interferometria satellitare, Università La Sapienza, Roma.
    28. Adriano Mazzarella, Professore di Meteorologia e Climatologia, Università di Napoli.
    29. Carlo Merli, Professore di Tecnologie Ambientali, Università La Sapienza, Roma.
    30. Alberto Mirandola, Professore di Energetica Applicata e Presidente Dottorato di Ricerca in Energetica, Università di Padova.
    31. Renzo Mosetti, Professore di Oceanografia, Università di Trieste, già Direttore del Dipartimento di Oceanografia, Istituto OGS, Trieste.
    32. Daniela Novembre, Ricercatore in Georisorse Minerarie e Applicazioni Mineralogichepetrografiche, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
    33. Sergio Ortolani, Professore di Astronomia e Astrofisica, Università di Padova.
    34. Antonio Pasculli, Ricercatore di Geologia Applicata, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
    35. Ernesto Pedrocchi, Professore Emerito di Energetica, Politecnico di Milano.
    36. Tommaso Piacentini, Professore di Geografia Fisica e Geomorfologia, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
    37. Guido Possa, Ingegnere nucleare, già Vice Ministro Miur.
    38. Mario Luigi Rainone, Professore di Geologia Applicata, Università di Chieti-Pescara.
    39. Francesca Quercia, Geologo, Dirigente di ricerca, Ispra.
    40. Giancarlo Ruocco, Professore di Struttura della Materia, Università La Sapienza, Roma.
    41. Sergio Rusi, Professore di Idrogeologia, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
    42. Massimo Salleolini, Professore di Idrogeologia Applicata e Idrologia Ambientale, Università di Siena.
    43. Emanuele Scalcione, Responsabile Servizio Agrometeorologico Regionale Alsia, Basilicata.
    44. Nicola Sciarra, Professore di Geologia Applicata, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
    45. Leonello Serva, Geologo, Direttore Servizi Geologici d’Italia; Movimento Galileo 2001.
    46. Luigi Stedile, Geologo, Centro Ricerca Revisione e Controllo Rischi Geologici, Università La Sapienza, Roma.
    47. Giorgio Trenta, Fisico e Medico, Presidente Emerito dell’Associazione Italiana di Radioprotezione Medica; Movimento Galileo 2001.
    48. Gianluca Valenzise, Dirigente di Ricerca, Istituto Nazionale di Geofisica e Vulcanologia, Roma.
    49. Corrado Venturini, Professore di Geologia Strutturale, Università di Bologna.
    50. Franco Zavatti, Ricercatore di Astronomia, Univesità di Bologna.
    51. Achille Balduzzi, Geologo, Agip-Eni.
    52. Claudio Borri, Professore di Scienze delle Costruzioni, Università di Firenze, Coordinatore del Dottorato Internazionale in Ingegneria Civile.
    53. Pino Cippitelli, Geologo Agip-Eni.
    54. Franco Di Cesare, Dirigente, Agip-Eni.
    55. Serena Doria, Ricercatore di Probabilità e Statistica Matematica, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
    56. Enzo Siviero, Professore di Ponti, Università di Venezia, Rettore dell’Università e- Campus.
    57. Pietro Agostini, Ingegnere, Associazione Scienziati e Tecnolgi per la Ricerca Italiana.
    58. Donato Barone, Ingegnere.
    59. Roberto Bonucchi, Insegnante.
    60. Gianfranco Brignoli, Geologo.
    61. Alessandro Chiaudani, Ph.D. agronomo, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
    62. Antonio Clemente, Ricercatore di Urbanistica, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
    63. Luigi Fressoia, Architetto urbanista, Perugia.
    64. Sabino Gallo, Ingegnere nucleare.
    65. Daniela Giannessi, Primo Ricercatore, Ipcf-Cnr, Pisa.
    66. Roberto Grassi, Ingegnere, Amministratore G&G, Roma.
    67. Alberto Lagi, Ingegnere, Presidente di Società Ripristino Impianti Complessi Danneggiati.
    68. Luciano Lepori, Ricercatore Ipcf-Cnr, Pisa.
    69. Roberto Madrigali, Metereologo.
    70. Ludovica Manusardi, Fisico nucleare e Giornalista scientifico, Ugis.
    71. Maria Massullo, Tecnologa, Enea-Casaccia, Roma.
    72. Enrico Matteoli, Primo Ricercatore, Ipcf-Cnr, Pisa.
    73. Gabriella Mincione, Professore di Scienze e Tecniche di Medicina di Laboratorio, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
    74. Massimo Pallotta, Primo Tecnologo, Istituto Nazionale Fisica Nucleare.
    75. Enzo Pennetta, Professore di Scienze naturali e divulgatore scientifico.
    76. Nunzia Radatti, Chimico, Sogin.
    77. Vincenzo Romanello, Ingegnere nucleare, Centro Ricerca, Rez, Repubblica Ceca.
    78. Alberto Rota, Ingegnere, Ricercatore presso Cise e Enel.
    79. Massimo Sepielli, Direttore di Ricerca, Enea, Roma.
    80. Ugo Spezia, Ingegnere, Responsabile Sicurezza Industriale, Sogin; Movimento Galileo 2001.
    81. Emilio Stefani, Professore di Patologia vegetale, Università di Modena.
    82. Umberto Tirelli, Visiting Senior Scientist, Istituto Tumori d’Aviano; Movimento Galileo 2001.
    83. Roberto Vacca, Ingegnere e scrittore scientifico.

    La Lettre Patriote

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/07/climat-de-grands-scientifiques-italiens.html

  • Sylvain Tesson contre la "starbuckisation" du monde

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    Le quotidien Le Monde, qui n'est pas notre tasse de thé comme chacun sait, a parfois des moments de lucidité quand il ne cherche à nous imposer sa "moraline" droit de l'hommesque. Entreprenant une série sur l'état écologique du monde (physique et intellectuel), il a donné la parole - ô stupeur ! - à ce merveilleux écrivain-voyageur et fort peu progressiste  qu'est Sylvain Tesson (dernier ouvrage, Un été avec Homère).

    Pour télécharger l'entretien, cliquez ICI

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

     
  • Impôts : 1,7 million de foyers vont devoir rendre de l’argent

    Les contribuables ont jusqu’au 15 septembre pour rembourser le fisc.

    Ce n’est pas parce que Gérald Darmanin avait prévenu les Français en janvier que la pilule passera plus facilement. Au début de l’année, en même temps que le prélèvement de l’impôt sur le revenu à la source entrait en vigueur, l’État avait fait une avance de 60% des crédits et réductions d’impôts. Plusieurs millions de foyers avaient alors reçu un virement conséquent sur leur compte en banque; l’avance moyenne était de 627 euros.

    Le ministre de l’Action et des Comptes publics mettait alors en garde ceux qui auraient eu l’idée de dépenser totalement cet argent. Car il affirmait alors que certains devraient rendre l’argent, ou au moins une partie.

    Et ce moment est arrivé pour 1,7 million de foyers fiscaux. L’avis d’imposition que Bercy envoie ce mercredi 24 juillet (ou jeudi 25) contient en effet pour eux une demande de remboursement.

    Une bonne nouvelle pour 3,5 millions de foyers

    Il s’agit des personnes qui avaient un crédit d’impôt récurrent en 2017 (frais de garde d’enfants, investissement locatif, dons à des associations, emploi à domicile…), mais qui ne l’ont plus (ou n’ont pas donné autant) en 2018. En janvier, le fisc avait fait comme s’ils avaient continué d’avoir ce crédit, mais la déclaration de revenus remplie en avril a marqué l’arrêt de cette ristourne fiscale. Conséquence, l’avance versée en janvier doit être remboursée.

    En moyenne, cela fait 400 euros à rendre par foyer. Une somme à rembourser d’ici au 15 septembre, soit environ 600 millions d’euros dans les caisses de l’État.

    “Mais il y a plus de personnes qui vont toucher de l’argent que de foyers qui vont devoir en rendre”, assure-t-on à Bercy. Plus de 3,5 millions vont recevoir les 40% restant; ce sont 2,5 milliards d’euros qui vont ainsi être versés au milieu de l’été. Le versement devrait avoir lieu ce mercredi.

    Source : Huffingtonpost

    https://www.patriote.info/actualite/economie/impots-17-million-de-foyers-vont-devoir-rendre-de-largent/

  • NOTRE FEUILLETON ESTIVAL : UN ETE AVEC JACQUES BAINVILLE... ( 5)

    Aujourd'hui : 5. Réformer l'orthographe ?...

    Journal, Tome I (années 1901 à 1918), Plon, pages 37/38. Note du 20 juillet 1906. Somme toute, que reproche-t-on à l'orthographe usuelle ? D'être difficile à apprendre ? Que propose-t-on de lui substituer ? Une orthographe simplifiée et mise à la portée des instructions les plus négligées ? 
    C'est ici que réside ce qui n'est pas seulement une erreur mais une sottise. Qui ne voit aussitôt que, si l'on raisonne pour les paresseux ou pour les pauvres d'esprit, il n'y aura jamais de simplification suffisante ? 
    Il faut aller tout de suite à l'extrémité, et l'extrémité c'est l'orthographe phonétique, le droit donné à chacun d'écrire comme son oreille entend. Du moment qu'il y a une orthographe, elle sera toujours trop compliquée, il faudra toujours l'apprendre. 
    On voit mal où est l'avantage. Pour le voir, pour soutenir qu'il existe et que les simplifications proposées abrégeraient des études inutiles, il faut admettre que les enfants ont un mal considérable à retenir la figure de chaque mot. Les réformateurs proposent, par exemple, de terminer uniformément par les lettre èle tous les mots qui contiennent ce son. On écrira hirondèle, èle, quèle, èle, je me rappèle comme stèle et fidèle. 
    Vous souvenez-vous d'avoir eu la moindre peine à retenir qu'on devait mettre : hirondelle, aile, quelle, elle, rappelle ? Tel n'est pas mon cas. Et j'imagine qu'on apprendrait fort vite à ne pas confondre l'èle de l'oiseau avec èle, pronom personnel. Mais il faudrait l'apprendre encore, et je ne vois donc pas trop où est l'avantage, sinon de rendre obscure et lointaine l'origine du second mot et difficilement compréhensibles les dérivés (je ne sais en ce moment s'il en existe de très usuels, mais il y en a à coup sûr) où se retrouve la forme originale du latin ala.
    S'il s'agit d'apprendre pour apprendre, mieux vaut continuer d'enseigner ce qui est conforme à la fois aux habitudes et à l'étymologie. Aile, c'est ala, comme ellle c'est illa. S'il y a difficulté, au moins est-elle logique et permet-elle de se débrouiller, tant bien que mal, dans la forêt des mots savants. L'orthographe actuelle est, à y bien regarder, plus utile que nuisible aux personnes médiocrement instruites : son accord, même quelquefois un peu lâche, avec l'étymologie, ce sont les humanités du pauvre, c'est le latin des études primaires. L'orthographe compliquée est par là plus "démocratique" que l'orthographe simplifiée. 
    Il est surprenant que les réformateurs n'aient pas pensé à cela.

    Journal, Tome I (années 1901 à 1918), Plon, pages 37/38. Note du 20 juillet 1906.

    Tiré de notre Album "Maîtres et témoins"... (II) : Jacques Bainville" (186 photos)

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/07/23/notre-feuilleton-estival-un-ete-avec-jacques-bainville-6165977.html

  • Immigration. Le groupe de Visegrád s’organise face au pacte « le plus dangereux du monde »

    bateau migrants.jpgDes États du groupe de Visegrád dont la Hongrie et la Pologne mais aussi l’Estonie ont uni leurs forces pour mettre en place un mécanisme d’alerte contre le Pacte mondial des Nations Unies sur la migration.
    Souvenez-vous l’été dernier. Le 13 juillet 2018, le Pacte sur la migration était entériné par 192 pays membres de l’ONU (Organisation des Nations unies) et devait ensuite être signé au mois de décembre à Marrakech.
    En désaccord, les États-Unis avaient alors refusé de se joindre au concert international. Dans la foulée, la Hongrie de Viktor Orbán s’était retirée de ce pacte le 18 juillet et faisait ainsi entendre une voix opposée à l’immigration extra-européenne sur le Vieux Continent.
    Si le texte ne contenait pas, à proprement parler, de contraintes juridiques pour les États le ratifiant, il alignait toutefois 23 objectifs conformes à l’idéologie immigrationniste. Comme le projet de faciliter une migration par des voies sûres et légales ainsi que l’accès à des documents d’identité pour tous les migrants.
    Pour rappel, 118 pays ont voté en faveur du document, cinq contre, avec 13 abstentions et 57 pays ne votant pas.
    La France à l'ONU
    @franceonu

    Le :

    ▶️ représente un instrument non-contraignant
    ▶️ encourage les Etats à gérer de manière coordonnée ce défi
    ▶️ ne crée pas nvelle politique migratoire, qui reste une prérogative de souveraineté nationale

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    Marrakech : le groupe de Visegrád s’organise
    Revenant sur le sujet, le ministre des Affaires étrangères Péter Szijjártó a déclaré à MTI (NDLR : Hungarian Telegraphic Office, une agence de presse hongroise) que les pro-migrants veulent faire du Pacte mondial des Nations Unies sur les migrations un instrument obligatoire.
    Il a également précisé que la Hongrie, les États-Unis, la Pologne et Israël avaient rejeté le document en décembre dernier et que l’Estonie s’était jointe à eux lors du vote le plus récent. Péter Szijjártó a aussi souligné l’unité et la force du groupe de Visegrád en rappelant qu’aucun des pays du V4 n’a soutenu la mise en œuvre du pacte, la République tchèque s’étant abstenue et la Slovaquie s’étant abstenue lors du vote le plus récent.
    « Le document le plus dangereux du monde en matière d’immigration »
    Le ministre hongrois des Affaires étrangères a affirmé que tout ce qui est approuvé par l’ONU devient partie intégrante du droit international et de la jurisprudence, soulignant la nécessité de lutter contre les « propositions pro-immigration ».
    Par ailleurs, Péter Szijjártó a déclaré qu’il était parvenu à un accord avec le ministre polonais des affaires étrangères et son homologue estonien sur la mise en place d’un mécanisme d’alerte permettant à leurs pays de « s’opposer à de telles propositions immigrationnistes dans leurs premières phases, que celles-ci soient élaborées à l’ONU ou à Bruxelles ».
    Une initiative qui se justifie par le fait qu’il considère le Pacte de Marrakech comme « le document le plus dangereux du monde en matière d’immigration », car il encourage l’immigration extra-européenne. Une lucidité qui n’est pas à l’ordre du jour en Europe de l’Ouest.
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