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  • Voici comment Wikipedia présente maintenant le « grand remplacement »

    Au fil du travail des militants gauchistes et cosmopolites, protégés par la direction de Wikipedia, la notion de Grand Remplacement (simple et évident constat que la population française de souche est en cours de remplacement par des populations immigrées) est présentée sur l’encyclopédie en ligne de façon de plus en plus mensongère.

    C’est une réalité qu’il ne faut pas nommer, pour les cosmopolites : il ne faudrait pas que les Français s’inquiètent tant qu’ils peuvent encore réagir.

    On passe ainsi d’un simple « concept » à, accrochez votre ceinture, « une théorie complotiste d’extrême-droite, raciste et xénophobe, aux origines néo-nazies et antisémites », ce qui est grotesque en tous points.

    Aucune description de photo disponible.

    Sur ce sujet, on peut bien sûr lire le livre de Renaud Camus (celui qui a popularisé cette expression éloquente), le Grand Remplacement, ainsi que le Grand Remplacement, réalité ou intox ? du spécialiste des migrations Jean-Paul Gourévitch.

    http://www.contre-info.com/

  • Mascarade, fantasmagorie et flon flon

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    Par Jarente de Senac

    Faisons un rêve titrait naguère Sacha Guitry. Ceci s’applique désormais aux trois gugusses qui briguent la présidence des Républicains, parti désormais moribond depuis que les électeurs l’ont déserté. Laurent Wauquiez assurant l’échec a regagné ses pénates rhodaniennes. Ce parti n’existe plus désormais que par ses très nombreux élus à l’Assemblée nationale, au Sénat, en région, aux départements, dans les mairies avec ses nombreux conseillers. Depuis Sarkozy, ce parti manque singulièrement de leader. Et encore, Sarko n’était qu’un feu follet qui n’a jamais su donner corps aux propos qu’il tenait. Propos qui avaient réussi à ébranler l’électorat du Front national.  Seulement de la pensée à l’acte Sarko n’a jamais franchi le Rubicon. N’est pas César qui veut.

    Trois candidats se sont donc déclarés à ce jour pour reprendre le flambeau d’un parti qui se consume : Christian Jacob, Julien Aubert et Guillaume Larrivé.

    Christian Jacob, 59 ans, est l’un de ces nombreux sous-produits du chiraquisme totalement dénué d’idée et peu susceptible d’incarner « une certaine idée de la France ». Cet ancien de la FNSEA n’a finalement réussi qu’à être un habile politique, roué à la tambouille parlementaire. Avoir fait de ce gardien de vaches le patron de son groupe à l’Assemblée en dit long sur le niveau intellectuel de ses membres. On en rigole encore. Julien Aubert, 41 ans, énarque, n’est pas mieux loti. Lui, il ambitionne de revenir aux beaux jours de l’UMP, l’alliance impossible entre centristes et vagues droitistes tendance zombi gaulliste. Quant à Guillaume Larrivé, 42 ans, ex-conseiller de Sarko, il veut redonner toute sa place aux militants sur un axe ni République en marche, ni Rassemblement national. Du chiraco-coco-sarkozisme.

    Certes, l’un d’eux sortira du chapeau. Qu’importe d’ailleurs lequel, car tous trois ont un charisme de poisson rouge. Ces tenants d’une droite dite républicaine, tant elle exclue du paysage le poids électoral du Rassemblement national, est vouée à l’échec. Il n’est pas nécessaire d’être grand clerc pour comprendre que se priver de 20% d’un électorat français dont les abstentionnistes sont majoritaires, revient à se coller une balle dans le pied. Cette droite-là n’a toujours pas compris qu’il fallait revoir ses fondamentaux à l’aune d’un paysage sociologique français qui a profondément changé et tout droit issu des erreurs commises par nos politiques - de droite comme de gauche - depuis cinquante ans. Giscard n’avait déjà rien compris au film, ses successeurs encore moins.

    De cette petite révolution à faire, nos trois gugusses en sont totalement incapables, tant ils ont aux pieds le poids des lobbies. L’avenir, pour l’instant, est toujours macronien. Un Macron qui ne fait que gérer, au jour le jour, les emmerdements de la boutique France. Mais de politique, il n’est toujours pas question !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/08/13/mascarade-fantasmagorie-et-flon-flon-6169781.html

  • Le mouvement des Gilets Jaunes, ses causes et ses conséquences

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    Par Michel Leblay, patron d’émission à Radio Courtoisie ♦ Article initialement publié le 10 décembre 2018 La France depuis le 17 novembre dernier est confrontée à une révolte sociale, le mouvement des gilets jaunes. Incontestablement, dans cet ordre, il s’agit de la crise la plus grave depuis les évènements de Mai 1968. Cette révolte a jailli de cette France périphérique, largement analysée, notamment par le géographe Christophe Guilluy. Comme toute forme de convulsion qui naît dans la société, le mouvement présent a ses caractéristiques propres, ses causes profondes et les facteurs circonstanciels qui l’ont engendré.
    L’ampleur du phénomène exige donc des réponses sociales et politiques. Elles emportent, au moins pour les premières, des conséquences majeures quant aux directions économiques suivies jusqu’à maintenant.

    Le mouvement des gilets jaunes et ses caractéristiques

    Ce mouvement en cours dont l’issue est encore à imaginer s’il devait être comparé à d’autres conflits qui touchèrent le pays dans son ensemble, les grèves de 1936, celles de 1947-1948 et mai 1968, dans son aspect social, a pour première caractéristique qu’il n’a pas pour cadre l’entreprise. Il se situe hors de celle-ci. Ce ne sont pas les conditions de travail qui sont directement en cause mais les conditions de vie. Le poids de la fiscalité et sa répartition sont les éléments fédérateurs du mouvement sans qu’ils soient exclusifs d’autres revendications qui touchent au pouvoir d’achat en général. Cette marque explique que le mouvement agglomère des catégories sociales (ouvriers, employés, artisans, petits patrons) aux intérêts apparemment contradictoires. Regroupant diverses catégories sociales, la contestation présente aussi une sociologie, celle d’une France provinciale et rurale, délaissée par une classe dirigeante habituée à ne considérer comme ferment d’une revendication que les minorités telles qu’elles émergent de la pensée d’un Michel Foucault. Seules ces minorités et ce qui s’y attache seraient dignes de l’intérêt commun et donc d’une promotion pour toute une classe intellectuelle et médiatique à laquelle se sont asservis la plupart des dirigeants politiques.

    Les causes profondes d’un mouvement

    Elles tiennent d’abord à la situation économique. Elles ont été largement évoquées ces dernières semaines sans qu’elles soient, s’agissant de beaucoup de commentateurs, suffisamment précisées. Ces causes économiques ont des origines successives qui se sont empilées au fil du temps. Il y a d’abord au sein des grandes économies occidentales le ralentissement structurel de la croissance du produit intérieur depuis le milieu des années soixante-dix. Il s’explique pour une part par la baisse du taux de croissance de la productivité. Ainsi, les gains en termes de valeur ajoutée globale sont insuffisants pour assurer le plein emploi ou des emplois stables et une progression des revenus voire le maintien de leur niveau ces dernières années. A ce premier phénomène, s’est ajoutée le basculement dans une mondialisation économique intégrant des puissances émergentes à faibles coûts de production. Il en est résulté, l’Allemagne mise à part, la disparition d’une part substantielle de l’activité manufacturière amplifiant les conséquences précédemment évoquées. Enfin, l’effet du ralentissement démographique constaté dans les sociétés occidentales ne saurait être négligé car ce qui fut appelé le baby boom a compté parmi les moteurs des Trente glorieuses.

    La France dont la performance au temps de ces Trente glorieuses fut remarquable a mal franchi le tournant économique du milieu des années soixante-dix et la nouvelle donne qui s’en est suivie. Peut-être est-ce là une conséquence de Mai 1968 et la crainte de nouveaux mouvements sociaux. Néanmoins, le pays a connu un certain redressement dans les années quatre-vingt-dix, notamment son commerce extérieur. Or elle s’est imposée à la fin de la décennie une contrainte : la monnaie unique. Celle-ci, par sa conception, a annihilé, surtout après la crise financière de 2007-2008, l’espoir réel d’un redressement. La révolte sociale présente est une retombée de cette situation.

    Jusqu’à maintenant la dégradation de la situation économique depuis plusieurs décennies et les déconvenues face aux promesses électorales n’avaient conduit qu’à des changements de majorité presque systématiques à chaque échéance, présidentielle ou législative. Hormis des conflits sociaux localisés, il s’agissait là de la seule marque de défiance à l’égard du politique si ce n’est l’émergence au début des années quatre-vingt d’un vote qualifié maintenant de populiste. Observant son électorat traditionnel l’abandonner pour une part, la gauche, délaissant la question sociale car ralliée dans les années quatre-vingt aux conceptions libérales qui prédominaient, s’est faite le relais d’une idéologie mondialiste en accord avec son tropisme européen. Tout en restant fidèle à l’idée de progrès à la base de sa pensée, la gauche l’a fait basculer de la question sociale aux questions sociétales compatibles avec le néo-libéralisme économique en cours. Elle s’est ralliée ainsi un nouvel électorat au détriment du précédent. Cette évolution est parfaitement illustrée par les analyses et les conclusions du cercle de réflexion Terra Nova.

    Les facteurs circonstanciels

    Fruit d’une campagne électorale marquée par des épisodes qui ont altéré la sérénité du débat, l’élection d’Emmanuel Macron à la présidence de la République est apparue comme la victoire de cette société ouverte qui s’appuyait sur la minorité la plus bienveillante à l’égard de la mondialisation dans ses différents aspects. Comme programme, il s’agissait de l’adapter à celle-ci en abaissant les protections et en poursuivant l’intégration européenne dans l’objectif du fédéralisme.

    Au-delà de son électorat, la jeunesse du nouveau président et le fait qu’il se distinguait de la classe politique traditionnelle ont engendré un espoir de renouveau dans une partie de la population. Les prémices de la défiance sont apparues à la fin du printemps. Puis il y eut l’affaire Benalla engageant le processus de défaveur. Devait-il aboutir inéluctablement à la situation présente ?

    Face à cette France où les grandes concentrations ouvrières d’autrefois ont pour beaucoup disparu, les modes de travail dans l’industrie ayant aussi profondément changé, où les groupes sociaux sont beaucoup plus parcellisés il était possible possible que la politique entreprise ne rencontre guère d’oppositions sinon mouvements ponctuels ou catégoriels.

    Mais la maladresse de l’action et la provocation dans les propos ont provoqué une réaction inattendue. Par le jeu des réseaux sociaux une conscience collective s’est réveillée agglomérant les lassitudes et les détresses individuelles. Quoique certains puissent en penser, les eaux qui ont débordé ne rentreront pas naturellement dans leur lit.

    Les réponses à la contestation exprimée

    L’état du pays oblige à des mesures économiques et politiques exceptionnelles de la part du Président de la République. S’il faut saluer la tenue des forces de police et de gendarmerie qui exercent leur mission dans les plus grandes difficultés au regard de violences inacceptables, le maintien de l’ordre qui est une nécessité impérative n’est pas la solution par rapport à l’étendue de la révolte et ses causes.

    Certes, le Président et son gouvernement n’ont aucunement les marges économiques dont disposaient l’exécutif en 1968. Pourtant, il leur sera difficile d’échapper à la satisfaction de revendications matérielles qui iront à l’encontre des politiques d’austérité prônées au sein de la zone euro. Plutôt que de chercher l’onction des autorités allemandes, un rapprochement avec le nouveau pouvoir italien et d’autres pays de l’Europe du sud doit être envisagé afin de définir de nouveaux modes de fonctionnement de cet espace monétaire qui ouvriraient la voie d’un redressement économique. Ce redressement impliquera aussi de définir une stratégie industrielle qui visera avec les appuis, les outils et les protections nécessaires à reconstituer un tissu d’entreprises compétitives. Sans rompre avec l’Union européenne qui ne serait probablement pas le choix des Français, le gouvernement doit desserrer l’étau que lui imposent la Commission européenne et certains de ses partenaires en n’hésitant pas à s’opposer à ceux-ci.

    La révolte sociale à laquelle le gouvernement français est confrontée met en évidence le caractère absolu de la responsabilité politique qui lie un peuple et ses gouvernants. La Commission européenne, irresponsable politiquement devant les peuples, ne saurait décider en laissant à un gouvernement qu’elle astreindrait la charge des conséquences induites par ses décisions. Par le biais de la situation présente en France et par les répercussions qu’elle pourrait engendrer le caractère illégitime de la Commission en tant qu’autorité supranationale apparaît bien.

    L’ampleur et la profondeur de la contestation exigent aussi des réponses politiques. Sans entrer dans le jeu des actes immédiats, changement de gouvernement ou dissolution de l’Assemblée nationale, des évolutions des institutions paraissent nécessaires. Après l’instabilité gouvernementale observée sous la IVè République le scrutin majoritaire mis en place sous la Vè République à assurer la stabilité nécessaire à l’action des gouvernements. Deux ensembles l’un de droite, l’autre de gauche prétendaient au pouvoir et depuis 1981 jusqu’à 2017 se le sont successivement partagés. Avec le temps et les évènements, ces deux ensembles ont progressivement convergé sur le fond des choses dans leur conception politique. De nouvelles forces politiques ont émergé, principalement le Rassemblement national et plus récemment la France insoumise qui ne disposent d’une représentation à hauteur de leur poids électoral. S’agissant de la première formation citée, il faut remarquer que son discours sur l’immigration est frappé d’ostracisme malgré le fait qu’il rencontre un large écho dans l’opinion. Dans les circonstances présentes, le rétablissement de la proportionnelle intégrale pour les élections législatives constitue une ouverture nécessaire même s’il présente d’indiscutables inconvénients.

    Le champ du référendum devra aussi être élargi afin de permettre par rapport à des questions essentielles que la voix du peuple puisse s’exprimer.

    Michel Leblay 13/08/2019

    https://www.polemia.com/mouvement-gilets-jaunes-causes-consequences-rediff/

  • Greta Thunberg promeut aussi les antifas et les LGBT

    La suédoise Greta Thunberg, oracle du réchauffement climatique, a enregistré une chanson avec le groupe The 1975. A cette occasion, elle a posé en portant un t-shirt de la mouvance antifa, extrême gauche connue pour ses violences répétées.

    Dans un tweet, Greta Thunberg promet que tous les revenus tirés de l’enregistrement de cette chanson iront à l’organisation d’extrême gauche Extinction Rebellion.

    En avril, ces extrémistes environnementalistes ont semé le chaos dans les rues de Londres. Cette organisation prévoit également de forcer à fermer l’aéroport d’Heathrow cet automne, à l’aide de drones venant perturber le trafic aérien.

    Avec le groupe The 1975, Greta Thunberg prêche la fin du monde en affirmant que toutes les solutions à la crise climatique ont échoué.

    Un suédois condamné pour des émeutes et n’excluant pas le meurtre
    La section suédoise de Extinction Rebellion est dirigée par le militant d’extrême gauche Jonathan Pye, qui a participé aux émeutes de Göteborg en 2001 , lors d’un sommet européen dans la ville.

    Jonathan Pye a été condamné à quatre ans de prison pour avoir jeté des briques et des pierres sur la police et incendié des meubles de restaurant dans la rue principale de Göteborg, Kungsportsavenyn.

    À l’époque, Pye était un membre actif de l’AFA, une section antifa suédoise. Il n’a regretté aucun de ses actes, a-t-il déclaré à Sveriges Radio en 2006.

    Il a confirmé qu’il utilisait consciemment la violence comme outil de lutte politique. «Si je commets des actes de violence, c’est comme une partie d’échecs. Ensuite, je réfléchis froidement et tactiquement », a-t-il déclaré lors de l’entretien. Cela ne le dérangeait pas non plus d’attaquer des policiers avec des briques et des pierres. Pye a également déclaré qu’il pourrait envisager un meurtre si cela convenait.
    “Cela ne vaut pas la peine pour le moment, pas pour des raisons morales, mais avant tout pour des raisons pratiques”, a déclaré Jonathan Pye.

    Suite à la controverse que cela suscite en Suède, le tweet de Greta Thunberg est maintenant effacé, de même que l’image de celle-ci portant le t-shirt antifa.

    Par ailleurs, une autre photo de Greta Thunberg la montre arborant un drapeau LGBT. Décidément, cette adolescente est de tous les combats subversifs.

    https://www.medias-presse.info/greta-thunberg-promeut-aussi-les-antifas-et-les-lgbt/111271/

  • États-Unis : Donald Trump interdit l’octroi de visas et de cartes vertes aux immigrés bénéficiant des aides publiques

    Mise au point par un conseiller du président américain Donald Trump, la mesure visant à interdire aux migrants pauvres l’octroi d’un visa et de la carte verte a été présentée ce lundi 12 août. Une mesure qui s’inscrit dans une politique ayant comme objectif de limiter l’immigration légale et illégale.

    L’administration américaine a présenté ce lundi 12 août une mesure visant à refuser l’octroi de visas et de carte de résident temporaire aux personnes ne disposant pas de revenus suffisants ou bénéficiant d’aides sociales, de bons d’alimentation, d’aide au logement ou de la couverture Medicaid.

    Plusieurs centaines de milliers de personnes concernées

    Cette mesure, qui a été mise au point par Stephen Miller, conseiller de Donald Trump, entrera en vigueur le 15 octobre et concernera plusieurs centaines de milliers de personnes défavorisées. Le Centre national immigrant justice (NILC) a immédiatement annoncé qu’il allait contester cette mesure devant les tribunaux, affirmant que cette dernière était motivée par la discrimination raciale.

    La mesure fait partie de la politique engagée par Donald Trump afin de limiter l’immigration légale et illégale, question qu’il entend placer au centre de la campagne pour sa réélection en 2020. Selon des experts, ce document de 837 pages est le plus draconien de toutes les mesures prises par l’actuelle administration américaine depuis son entrée en fonction en matière d’immigration. […]

    ouest-france.fr

    http://www.fdesouche.com/1248279-etats-unis-donald-trump-interdit-loctroi-de-visas-et-de-cartes-vertes-aux-immigres-beneficiant-des-aides-publiques

  • La carte bancaire offerte aux demandeurs d’asile coûte 42 millions d’euros par mois aux contribuables français

    C’est donc au détour d’une réforme de la carte bancaire des demandeurs d’asile gérée par l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII) qu’il est possible d’avoir enfin confirmation de quelques éléments concernant la générosité de la République avec les immigrés qui affluent.

    Chaque mois l’Allocation pour demandeurs d’asile (ADA) est allouée à chaque immigré demandeur d’asile pendant la procédure de traitement de sa demande. Cette Allocation pour demandeurs d’asile peut aller d’environ 7 euros par jour, soit quelque 210 euros par mois pour un célibataire, à beaucoup plus pour un couple avec enfants.

    Actuellement, 151.000 personnes bénéficieraient de l’Allocation pour demandeurs d’asile, pour un coût mensuel d’environ 42 millions d’euros.

    Les immigrés demandeurs d’asile reçoivent pour cela une carte bancaire.

    En marge, on apprend aussi que se profile un débat parlementaire sur l’immigration suite, notamment, aux problèmes de campements de rue rencontrés par les élus locaux.

    A suivre.

    https://www.medias-presse.info/la-carte-bancaire-offerte-aux-demandeurs-dasile-coute-42-millions-deuros-par-mois-aux-contribuables-francais/111409/

  • Les radars tourelles arrivent : quelle sera la réaction des Gaulois réfractaires au changement ?

    radars.jpgUn nouveau modèle de radar est en cours de déploiement en France. Il s’agit des radars tourelles (MESTA FUSION 2). Leur nombre devrait s’élever à 400 pour la fin de l’année et à 1.200 fin 2020.
    Ils sont actuellement homologués pour les contrôles de vitesse et le respect des feux rouges. Toutefois, ils ont la possibilité d’identifier le défaut de port de la ceinture, le non-respect des distances de sécurité, le dépassement par la droite ou l’utilisation d’un téléphone portable.
    Ce radar est capable de contrôler simultanément 32 véhicules sur 8 voies de circulation. Une autre particularité des nouveaux radars est l’installation de structures vides. Les radars devraient être installés dans 1 tourelle sur 4 ; les 3 autres serviront de leurre. Les radars pourront être déplacés d’une tourelle à une autre et, ainsi, les automobilistes ne sauront pas avec certitude si le radar est opérationnel.
    Des radars tourelles sont testés dans les départements des Bouches-du-Rhône, du Tarn-et-Garonne, de Dordogne, de Gironde, de l’Allier, du Rhône, des Vosges, du Nord, du Bas-Rhin, de Moselle, de Seine-et-Marne, des Yvelines, du Loiret, du Loir-et-Cher et en Côte-d’Or. Ils sont parfois montés en remplacement de radars dégradés volontairement : environ 60 % des radars seraient actuellement hors d’usage.
    Les prétextes avancés sont toujours les mêmes : lutter contre la mortalité routière, la pollution ou le réchauffement climatique. La propagande opposera les gentils bobos circulant dans les transports en commun ou en trottinette aux méchants automobilistes qui roulent avec de vieux diesels. Mais la véritable raison est fiscale : le gouvernement français est tenu de respecter un taux de déficit budgétaire limité à 3 % du PIB. Il est régulièrement rappelé à l’ordre par la Commission de Bruxelles. Les recettes provenant des contraventions sont un petit complément nécessaire pour limiter le déficit budgétaire.
    Cependant, une question reste en suspens : quelle sera la réaction des Gaulois réfractaires au changement ?
    Jean-Luc Tari pour bvoltaire.fr
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  • Ca, c'est la meilleure ! Avec Erdogan, qui nous fait la leçon, plus c'est gros, plus ça passe (croit-il) !

    A Constantinople, en cette triste année 1453 qui vit la ville (et, après elle, une bonne partie de l'Europe du sud-est) tomber aux mains des Turcs, il y avait 100% de chrétiens comme habitants de la ville.

    Aujourd'hui, le chiffre "tend vers zéro" comme disent les professeurs de mathématique.

    De ce point de vue-là, si on compare les Turcs avec les nazis (la Turquie a été alliée de l'Allemagne durant les deux guerres mondiales...) on peut se dire qu'au fond les Turcs sont des nazis qui ont réussi : là où Hitler a échoué, lui qui voulait une Allemagne sans juifs, les Turcs ont réussi, eux qui voulaient une Constantinople sans chrétiens : c'est fait.

    Moyennant quoi l'actuel maître des lieux se permet de nous donner des leçons : alors que chez lui, en Turquie, en 18 mois d’état d’urgence, 160 000 personnes ont été arrêtées, 152 000 fonctionnaires licenciés, des enseignants, juges et avocats ont été renvoyés ou poursuivis, des journalistes arrêtés, des médias fermés et des sites web bloqués etc... etc... Erdogan a critiqué les pays européens au motif qu'ils étaient présents en Egypte, en février dernier, cautionnant ainsi le régime du maréchal Sissi, qu'Erdogan juge dictatorial !

    Il a tenu ces propos en juillet dernier - hier... - lors du Sommet du Processus de coopération de l'Europe du Sud-est, à Sarajevo, la capitale de la Bosnie-Herzégovine.

    Il vaut mieux entendre ça que d'être sourd, certes, mais elle est quand même bien grosse, cette grossière "hénaurmité". Mais Erdogan s'en fiche : pour lui, comme pour Goebbels, "plus c'est gros, plus ça passe" (croit-il) !...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/08/01/ca-c-est-la-meilleure-avec-erdogan-plus-c-est-gros-plus-ca-p-6167773.html

  • NOTRE FEUILLETON ESTIVAL : UN ETE AVEC JACQUES BAINVILLE... (22)

    Aujourd'hui : 26. Un Empire colonial francais ? Bismarck est "pour"...

    Un Empire colonial francais ? Bismarck est "pour".

    De "L'Histoire de trois générations", pages 206/207 :"...Aux hommes prudents qui dirigeaient la République et qui continuaient la pensée de Thiers, Bismarck avait montré la voie. Bientôt Jules Grévy fut élu à la Présidence. Toute une politique y entrait avec lui, et elle consistait à chercher des dérivatifs à l'idée de revanche, à ne plus "s'hypnotiser sur la trouée des Vosges". Le monde est vaste, avait suggéré Bismarck. En Afrique, en Asie, l'Allemagne vous donne carte blanche. Il calculait qu'il aurait les mains libres en Europe, que l'humeur inquiète des Français serait employée au loin, leur créerait des embarras, si même elle ne les mettait pas en conflit avec l'Angleterre. 
    Et, de leur côté, plusieurs chefs républicains trouvaient l'offre séduisante. L'expansion coloniale, la constitution d'un vaste domaine africain et asiatique, ne serait-ce pas une compensation honorable au Traité de Francfort ? 
    Il ne suffisait pas d'être résolu à éviter les complications européennes ni de rassurer l'Allemagne sur les intentions du régime. Il fallait encore donner des satisfactions à l'amour-propre national, un emploi aux activités, ouvrir des perspectives aux esprits. Une nation comme la nation française ne peut pas vivre dans l'immobilité. Il semblait à Jules Ferry que la politique de l'expansion coloniale fût propre à concilier tout..." Illustration : l'Empire français en 1945. Si, individuellement, les Français peuvent être légitimement fiers de ce qu'ils ont fait en Afrique et en Asie, où ils ont - de fait - éduqué, soigné, nourri, développé des populations à qui ils ont apporté prospérité et progrès en tous domaines, il n'en demeure pas moins que l'aventure coloniale a été infiniment plus profitable aux peuples de l'Empire qu'à la France. 
    Et que, conformément à l'intuition de Bismarck, la France a dépensé au loin une quantité considérable d'énergies, qui ont été détournées de l'objectif premier : son propre développement, et son achèvement territorial du côté du Rhin...

    Tiré de notre Album "Maîtres et témoins"... (II) : Jacques Bainville" (186 photos)

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/08/13/notre-feuilleton-estival-un-ete-avec-jacques-bainville-6168697.html

  • Milliardaire, délinquant sexuel et ami des puissants, Jeffrey Epstein est mort en prison

    Je me dois de citer ma source principale, le Néerlandais Robert Jensen, qui officiait sur la chaîne néerlandaise RTL 5 avant d’être débarqué pour des raisons politiquement correctes : l’Europe médiatique politique(ment) correcte semble une réalité, cependant que l’Europe politique patauge dans ses limbes.
    Dans l’une des ses récentes productions (12 juillet), Jensen souleva un lièvre concernant le milliardaire américain Jeffrey Epstein. 
    Les médias ne manquent pas une occasion se souligner la proximité du milliardaire (accusé de pédophilie) avec Donald Trump : cousu de fil blanc, lorsque l’on sait la nature de la guerre livrée à l’encontre de ce dernier par ses adversaires. 
    Epstein, l’ami de nombreux grands noms… 
    À Palm Beach, tout le monde le connaît : l’un de ses plus grands amis est l’ancien président Bill Clinton. 
    Un conte de fées, donc, jusqu’en 2005 : le FBI s’intéresse à lui et les rumeurs de pédophilie surgissent. 
    Il se servait, selon le FBI, de rabatteurs pour débusquer de très jeunes filles qu’il rétribuait. 
    En 2008, il reconnut la pédophilie, mais très bizarrement, la très puritaine Amérique ne le condamna qu’à 18 mois, dont treize effectués. 
    Quelque chose ne collait pas : connaissant peut-être trop de choses sur des gens puissants, bénéficiait-il de protections haut placées ? 
    Certaines anciennes victimes, choquées par la légèreté de la peine, poursuivirent les procédures jusqu’à ce qu’un juge rouvre récemment le dossier. 
    C’est ainsi que le milliardaire fût arrêté à la descente de son B727 privé en provenance de Paris, le 6 juillet 2019, et qu’il croupissait depuis en prison. 
    Suite à de nouvelles perquisitions, de nouvelles preuves de pédophilie furent trouvées.
    Robert Jensen note qu’à l’évocation de l’affaire, les médias de gauche américains évitent soigneusement le nom de Clinton, pour ne retenir que celui de Trump… 
    À noter que le journal néerlandais de gauche Volkskrant évoque, le 10 août, les amis « riches et puissants » d’Epstein, parmi lesquels « Bill Clinton et Donald Trump », alors que le quotidien français Le Figaro, plus royaliste que le roi apparemment, évoque, lui, « l’ancien proche de Donald Trump »
    Ce dernier déclara, récemment, ne plus avoir de contact depuis une quinzaine d’années.
    Toujours est-il que Bill Clinton, si l’on en croit une enquête de la journaliste Conchita Sarnoff citée par Jensen, semble avoir été plus proche d’Epstein, et ce, jusqu’à une date bien plus récente : apparemment, il voyagea jusqu’à 27 reprises dans l’avion d’Epstein, surnommé aussi « Lolita Express », et on vous laisse deviner pourquoi… 
    L’on se souvient d’un président Clinton soutenant mordicus n’avoir jamais eu de relations sexuelles avec une certaine assistante Lewinsky… 
    Il peut donc aisément soutenir aujourd’hui n’avoir emprunté qu’à quatre reprises le « Lolita Express », dans lequel voyageaient aussi de nombreuses jeunes filles.. 
    Or, la journaliste d’investigation Conchita Sarnoff, témoignages et documents prouvant les mensonges de Clinton, soutient publiquement le chiffre de 27 voyages…
    Mais voici qui règle définitivement les soucis éventuels de certains amis, dont Clinton : ce samedi 10 août 2019, Epstein a été retrouvé pendu dans sa cellule. 
    On n’ira pas jusqu’à dire « fort à propos ». 
    Silvio Molenaar