Macron fait l'impasse sur les deux problèmes principaux de l'Union Européenne.
Immigration et sécurité.
Alors, canicule, changement climatique, sont les leurres qui évitent de parler des vrais problèmes. Tous les moyens sont bons pour distraire l'opinion publique. On a même fait appel à sainte GRETA qui du haut de ses 16 ans nous menace des pires fléaux. Certains députés Français l'ont appelée au secours. Greta Thunberg invitée d’honneur des QAG : l’Assemblée se couvre de ridicule. L’écologie a besoin de savants, pas d’une ado manipulée et manipulatrice. Pourtant le constat fait à l'échelle européenne est évident. Pour les états de l’U.E la réponse est massive et sans ambiguïté. Le problème N°1 est l'immigration et cela depuis 3 ans consécutifs dans les enquêtes.
L'« enquête Eurobaromètre standard de l'automne 2018 » (EB90) s'est fondée sur des entretiens individuels menés entre le 8 et le 22 novembre 2018. 32.600 personnes ont été interrogées dans les États membres de l'UE et dans les pays candidats.
Constat non partagé par Macron, silence total ou presque sur le sujet. 4 mois de débat, ou plutôt de show de campagne, et ces deux problèmes essentiels sont occultés. Ces inquiétudes, et la politique immigrationniste des technocrates de l'U.E avec l'aval de certains dirigeants sont la cause de la vague populiste qui ne cesse de grandir.
De nombreux dirigeants comme en France Macron, ne sont pas en phase avec le peuple. Dernier sondage, seulement 28% des français approuvent sa politique. Ces dirigeants tenants de la mondialisation, du multiculturalisme, font en sorte que ces discussions disparaissent des débats. Préoccupation première des états européens pour l’Europe, loin devant toute autre préoccupation ' L'immigration '
La population Française comme d'autre pays de l'U.E vit donc très mal cette immigration massive incontrôlée, elle craint une issue comme celle prévue par l'ancien ministre de l'intérieur, G. Collomb, le face à face entre communautés ou le partage du territoire dont parlait Hollande.
L'immigration telle qu'elle se pratique depuis quelques années est un problème crucial pour les Français !
On n'a pas pu ni su intégrer les immigrations antérieures et on continue à augmenter le flot d'immigrés. Le seuil de saturation est atteint et l'intégration devient une gageure, Blanquer en est conscient
« Ne pas voir la dérive identitaire et communautariste, c’est comme s’aveugler sur la montée du fascisme dans les années 1920 »
C'est bien de faire des constats Monsieur Blanquer, mais on fait quoi ?
Alors deux interrogations, pourquoi le problème de l'immigration non contrôlée ressenti par les populations de l'UE comme un problème essentiel est mis sous le tapis ? Pourquoi cette montée des populismes, et ce rejet massif de l'immigration dans l'U.E ? A la première interrogation, on peut répondre que Mondialistes et Populistes ont deux visions antagonistes du monde. Pour les mondialistes de l'U.E comme pour Macron, la nation, la culture, l'identité n'existent pas et le migrant interchangeable et malléable à merci est la variable d'ajustement, c'est cela la projection de leur monde nouveau.
Rien n'est fait chez nous et dans l'U.E pour renouveler les générations de manière endogène. Contrairement à nous, certains pays comme la Hongrie prennent des mesures contre la dénatalité. La France elle, fait de l'immigration la variable d'ajustement avec les conséquences que l'on connaît. Pour stimuler sa natalité, entre autres mesures, la Hongrie offre 30.000 euros aux couples faisant trois enfants
http://www.lefigaro.fr/international/pour-stimuler-sa-natalite-la-hongrie-offre-30-000-euros-aux-couples-faisant-trois-enfants-20190731
Le profit, unique objet des préoccupations des mondialistes. Merkel, ce n'est pas une folle générosité qui l'a incitée à faire venir un million de migrants, ânerie dont elle paye les conséquences politiques, et son peuple les conséquences sociales et sécuritaires. Elle aussi a fait le constat que le multiculturalisme était un échec.
A la seconde interrogation sur les populistes et le rejet de ce projet, on peut dire que le populiste a une réaction de survie, il ne veut pas mourir, être sacrifié sur l'autel du mondialisme.
Il se rend compte tous les jours que plus le migrant est éloigné de nos cultures, plus son nombre est important et incontrôlé, plus son intégration devient difficile, voire impossible.
Les populistes sont uniquement dans un raisonnement de bon sens, ni dans la xénophobie, le racisme, ou autres balivernes ânonnées par les bobos et les mondialistes qui veulent culpabiliser tous ceux qui ne pensent pas comme eux et qui sont aujourd'hui la majorité.
Le multiculturalisme devient multi conflictuel c'est ce que les français constatent dans leur quotidien. C'est une évidence pour tous les pays de l'U.E Tout cela pour une raison évidente, nous n'avons pas respecté une règle d'or <On ne peut recevoir plus d'immigrés qu'on ne peut intégrer.>
Dans l'intérêt de ceux qui arrivent et celui de ceux qui reçoivent.
Ce n'est que du bons sens !
Si cette règle d'or n'est pas appliquée, alors, le résultat est celui que nous connaissons en France. Le communautarisme gagne du terrain, des ghettos, des rivalités entre ethnies se multiplient, le vivre ensemble devient impossible.
Nous continuons de recevoir des gens dans des conditions inhumaines. Le seuil de tolérance est déjà atteint et le rejet est majoritaire, alors qu'une immigration contrôlée, choisie est et a toujours été positive.
La France a toujours été un pays d'accueil, d'immigration, mais pas de submersion migratoire incontrôlée formant des archipels communautaires.
Aucun pays ne peut y résister il y perd son âme et son identité.
On se rend compte que les communautés fonctionnent en autarcie, certaines communautés ne se sentent pas impliquées dans les drames nationaux.
Elles ne se sentent pas plus Notre dame, ou Gilets Jaunes qu'elles ne se sentaient Charlie. Elles brandissent des drapeaux de pays qu'elles ne connaissent souvent pas. Plus grave, de nombreux jeunes issus de diverses ethnies et pays disent qu'ils sont français par leurs papiers, mais qu'ils ne se sentent pas français. On a échoué à leur faire aimer notre pays.
Comment construire une cohésion nationale dans ces conditions ?
Il faut prendre les mesures adéquates, mesures adéquates pour intégrer ceux qui sont en France et établir contrôles et quotas pour des nouveaux migrants. Ces quotas ne peuvent en aucun cas être définis par une supranationalité Européenne, mais par la nation seulement et son parlement, sinon on ira vers le chaos. Nous devons être souverains pour ce type de décision qui engage l'avenir de la nation.
Je crois sincèrement que dans la communauté la plus nombreuse chez nous, la majorité des musulmans a souhaité et souhaite encore s’intégrer, mais ce qui les éloigne de plus en de cette intégration et les pousse au communautarisme, c'est la faiblesse de nos réponses face aux exigences communautaires culturelles ou cultuelles comme celles de l'Islam radical politique.
On laisse les salafistes prospérer dans les banlieues.
On n'applique pas ni les lois sur les tenues interdites dans les piscines, ni sur la burqa, l'interdiction de la Burqa n'est pas appliquée, Ridoine l'évadé de prison en hélicoptère, pour échapper aux forces de police portait une burqa dans un quartier difficile pour échapper aux contrôles de police.
On négocie sans cesse sur des demandes communautaires radicales qui affaiblissent la république, pour des raisons idéologiques ou bassement éléctoralistes ; dans les hôpitaux, dans les écoles, dans les services publics la radicalisation n'est pas réprimée.
On laisse ouvertes des mosquées ou certains Imams radicaux prêchent le suprématie de la religion sur la république.
Alors devant notre faiblesse, comment voulez-vous que les musulmans choisissent ?
La France n'aura encore le choix que dans un délai court, au delà duquel ce sera le non retour.
D'après Gérard Collomb, dans 5 ou 6 ans la situation serait irréversible, d’autant plus que les communauté concernées relèvent en général de religions qui s’accommodent difficilement de toutes les mesures sociétales récentes jugées beaucoup trop libérales et incompatibles avec leurs prescriptions religieuses !
C'est Macron aujourd'hui qui a les clés entre ses mains, mais semble bien timoré quand on voit son rejet du plan banlieue et ses manœuvres de banalisation et minimisation des vrais problèmes.
Le premier défi à relever est la reconquête de ces territoires perdus de la république. Le travail est immense, mais c'est une condition sine qua non.
https://www.europe1.fr/societe/atteintes-a-la-laicite-a-lecole-400-cas-traites-entre-avril-et-juin-3776543
https://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/societe-multiculturelle-ou-multi-217025