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LREM a beau jeu de dénoncer les violences contre les femmes
Le député LREM Pierre Cabaré, Vice-Président de la Délégation de l’Assemblée nationale aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes, est donc poursuivi pour agression sexuelle.
Mediapart révèle :
les anciens collaborateurs du député de Toulouse Pierre Cabaré, visé par une plainte pour harcèlement et agression sexuels, avaient écrit à Richard Ferrand, Gilles Legendre et Stanislas Guérini pour dénoncer les agissements de leur employeur. Un courrier resté sans réponse.
Marlène Schiappa est restée sans voix.
Dans la série, faites ce que je dis mais pas ce que je fais, LREM est passée maître. Depuis l’affaire Benalla, nous savons que LREM est capable de tout, surtout du pire.
https://www.lesalonbeige.fr/lrem-a-beau-jeu-de-denoncer-les-violences-contre-les-femmes/
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Agression au couteau dans une école à Marseille: "une véritable épidémie de déséquilibrés dans notre pays !”, selon Stéphane Ravier
Vendredi matin, un individu a fait irruption dans une cantine scolaire de Marseille et blessé deux cantinières à l’arme blanche. L’homme, dont les propos étaient confus, aurait proféré “Allahou Akbar”.
Stéphane Ravier réagit au micro de Boulevard Voltaire.Stéphane Ravier
Président du groupe RN au conseil municipal de Marseille
Sénateur des Bouches-du-Rhône (13)
Source: bvoltaire.frhttps://www.peupledefrance.com/2019/09/agression-couteau-ecole-marseille-stephane-ravier.html#more
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"Chute catastrophique" du niveau scolaire : les attaques d’une professeure de l’Éducation nationale
En ce jour de rentrée scolaire, ce lien semble s'imposer : il a été partagé sur notre page facebook par l'une de nos "amies" :
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Charles Prats : « La fraude aux prestations sociales est massive, mais l’évoquer nous expose à des insultes ! »
La députée Carole Grandjean et la sénatrice Nathalie Goulet ont mené une mission parlementaire sur la fraude sociale. Elles ont présenté, ce mardi 3 septembre, leurs premières propositions pour lutter contre le phénomène grandissant : sur 450 milliards de prestations versées, la fraude est estimée entre 3 et 10 %.
Explications du magistrat Charles Prats au micro de Boulevard Voltaire.
Entre trois 3 et 10 % de fraude, soit jusqu’à 20 milliards d’euros de fraude annuelle rien que sur le périmètre de la CNAM. Cela confirme-t-il ce que vous redoutiez ?
Le principal scoop du rapport d’État rendu avant-hier était le nombre de numéros de Sécurité sociale. 84,2 millions de personnes réputées en vie, dont 3,1 millions de centenaires. Cela ne veut pas dire qu’il y a 84 millions de personnes qui touchent des prestations, mais cela signifie qu’il faut évidemment regarder ce qu’il se passe lorsqu’on a un écart de 17 millions de numéros de Sécurité sociale. Cela mérite tout de même qu’on vérifie.
Je rappelle qu’en 2013, un rapport conjoint de l’inspection générale des finances et de l’inspection générale des affaires sociales avait détecté 7 millions de bénéficiaires supplémentaires par rapport aux personnes qui étaient censées être sur le territoire. Depuis, nous n’avons pas eu beaucoup de nouvelles sur ce qui a été entrepris pour vérifier ce point.
Aujourd’hui, on découvre qu’il y a de nouveau un « gap » entre les numéros de Sécurité sociale existants et le nombre de gens qui sont censés être sur le territoire. C’est très inquiétant.
Ce soir, sur Twitter, on vient de découvrir que des documents à en-tête de la Cour des comptes circulaient. Il semblerait que le chiffrage de 3 à 10 % de taux de fraude au niveau de l’assurance maladie émane de la Cour des comptes. Je ne sais pas si ce document est officiel ou provisoire. Mais les dépenses d’assurance maladie représentant 200 milliards d’euros par an, 3 à 10 % de fraude sur l’assurance maladie pourrait représenter jusqu’à 20 milliards de fraudes. C’est assez cohérent. Cela correspond au chiffrage qu’avait déjà fait un réseau anti-fraude européen de l’assurance maladie. Il chiffrait déjà la fraude de l’assurance maladie entre 5,5 et 7,3 % annuellement. On est dans les mêmes ordres de grandeur.
En 2010, 10,5 milliards de fraudes ont été estimés pour la France. Un an ou deux après, on était à 14 milliards, rien que pour la branche maladie.
Pour la Cour des comptes, on serait entre 6 et 20 milliards. Cela corrobore les chiffres qui ont été donnés par les parlementaires. Ils se font, d’ailleurs, très violemment agresser et de manière assez incompréhensible dans la presse et par les organismes sociaux. Ces derniers ont sorti des communiqués très violents contre les deux parlementaires qui sont missionnées par le gouvernement. C’est très étonnant. Je pense qu’elles doivent poursuivre leur travail.Comment est-il possible que la Sécurité sociale enregistre 3 millions de centenaires en France ?
Cette histoire des 3,1 millions de centenaires, 1,5 million nés en France et 1,6 million nés à l’étranger, est très surprenante et inquiétante.
Cela peut s’expliquer pour les gens nés à l’étranger. Ils sont considérés comme décédés dans le registre national lorsqu’un acte de décès est transmis à l’INSEE ou à l’assurance vieillesse. Pour des personnes nées à l’étranger, on peut comprendre que l’acte de décès soit difficilement transmissible ou pas transmis du tout.
En revanche, pour les gens nés en France et qui, a priori, vivent en France, l’INSEE explique que la mise à jour est hebdomadaire. Il y a un tel différentiel que c’est assez incompréhensible !
À la suite de cette mission, les parlementaires doivent aller dans le répertoire national commun de la protection sociale pour faire des requêtes informatiques et voir combien de personnes de plus de cent ans perçoivent des prestations sociales. Cela permet de voir si cela correspond à la démographie ou s’il y a un vrai souci.
Ces requêtes devront être faites. Elles sont d’ailleurs prévues par le Code de la Sécurité sociale.
Très objectivement, je ne pense pas qu’un grand nombre de centenaires touchent des prestations. On est davantage en phase d’un problème de mise à jour du système. Cela est révélateur de la nécessité d’avoir un système moderne. Avoir 20 % des identités réputées en vie en supplément par rapport aux gens qui vivent en France, c’est juste pas possible !La première partie de ce rapport s’appelle « Une politique en apparence active, aux résultats modestes et aux ressources fragmentées ». En termes très polis, cela veut dire « on ne sait pas vraiment ce qui s’y passe, rien n’est vraiment fait pour que cela change ». Comment la Sécurité sociale a-t-elle pu laisser passer cela ? Pourquoi ne fait-elle pas énormément d’efforts pour juguler ces fraudes ?
Je ne connais pas ce document de la Cour des comptes. J’ai simplement vu passer une photo. Les parlementaires ne me donnent pas leurs documents. J’ai été entendu par cette mission comme d’autres experts. Il se trouve que je connais un peu le sujet. C’est mon métier. Je lutte contre la fraude fiscale et sociale depuis 25 ans. Il faut attendre qu’il soit peut-être publié pour qu’on puisse l’analyser.
La Cour des comptes faisait un constat très alarmiste sur le niveau de la fraude en matière d’assurance maladie. On peut se dire que c’est peut-être la même chose dans les autres branches.
On dit depuis très longtemps que la fraude aux prestations sociales est massive.
Dès qu’on parle de lutter contre la fraude aux prestations sociales, la levée de boucliers médiatique et politique est impressionnante. Depuis 48 heures, nous sommes insultés et traînés dans la boue pour avoir simplement évoqué la possibilité de l’existence de fraudes aux prestations sociales. -
Google : ton univers impitoyable. Le cas Breizh-Info
Après avoir permis l’émergence d’une information alternative de qualité, Google est-il en train de la tuer ? Les mésaventures rencontrées par nos confrères de Breizh-Info semblent faire pencher la balance en faveur du “oui”.
NOVOpress 05/09/2019 – Créé en 2013, Breizh-Info est un site web d’actualités traitant “de l’information bretonne et internationale”. Fort de plusieurs centaines de milliers de visites mensuelles, réalisant un travail quotidien d’information de qualité, factuelle, sourcée, le site était jusqu’à il y a peu indexé dans Google Actualités, au même titre que Le Figaro, Le Télégramme ou Ouest-France. Cela n’est plus le cas depuis cet été.
Dans un appel à ses lecteurs paru ce jour, le média breton s’interroge sur les raisons qui ont poussé Google à le bâillonner : “Plusieurs techniciens de la société nous ont d’abord assuré qu’il s’agissait d’un souci technique. Un détail non corrigé en trois semaines ? Techniquement, Google nous a habitués à plus d’efficacité ! Selon toute probabilité, le déréférencement résulte en fait d’une campagne de pressions menée auprès de la société américaine afin de nous exclure de Google Actualités.”
Victime de son succès ?
Fort de son influence, Breizh-Info s’est créé de très forte inimitiés, certainement justifiées : une ligne éditoriale de droite assumée, très critique de l’immigration, dans un paysage médiatique breton ouvertement marqué à gauche ; et un lectorat conséquent, émiettant le monopole d’une PQR en difficulté, quand elle n’est pas sous perfusion…
Cela n’a pas échappé au “grand quotidien de référence” Le Monde qui, fort de ses millions de subventions, s’en est même pris à plusieurs reprises au média local breton, qualifié de “vrai faux site d’info” par “Les Décodeurs” (Breizh-Info n’a pourtant jamais publié de “fake news” contrairement à Ouest-France ou au Monde).
De là à penser que Google aurait cédé à une forme de pression idéologique, il n’y a qu’un pas, que n’hésitent pas à franchir les rédacteurs de Breizh-Info : “Jamais condamné, jamais poursuivi, bien informé, notre site est clairement victime d’une discrimination idéologique.”
Pot de terre (breton, donc solide) contre pot de fer “Google”
Quelles parades mettre en œuvre ? Comment un “petit” média breton pourrait-il forcer la main du géant américain ?
Les rédacteurs de Breizh-Info ont bien l’intention d’aller jusqu’au bout avec Google : en poursuivant leur travail irréprochable tout d’abord, qui leur permettra de justifier de leur présence dans Google News.
Ensuite, par la mise en lumière de cette situation, qui n’est pas vraiment au bénéfice de Google (ces grandes plateformes n’apprécient pas que soient publiquement exposés les cas censures qu’elles pratiquent, comme ce fut récemment le cas avec Facebook pour l’Observatoire du journalisme).
Enfin, par la recherche d’alternatives techniques à Google et aux réseaux sociaux : à ce titre, la newsletter, qui semblait passée de mode, semble l’ultime rempart à la censure arbitraire des GAFAM.
Pour aller plus loin, ne pas hésiter à consulter les dossiers et actualités de l’Observatoire du journalisme : ojim.fr
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Pierre Yves Rougeyron : Nul n'est libre dans un pays qui ne l'est pas
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Travailler à une union à droite a-t-il encore un sens ?
Interrogée dans Le Figaro, Marion Maréchal déclare :
Travailler à une union à droite a-t-il encore un sens vu son état?
Ce qui m’intéresse en premier lieu, c’est ancrer dans un avenir commun des Français issus de courants variés: des souverainistes, des populistes, des libéraux-conservateurs, la droite nationale… C’est une approche saine, d’autant plus que je ne comprends pas ce qui continue de justifier ces barrières aussi radicales entre nous. Tout ce qui a contribué à désunir les familles de droite jusqu’alors n’a plus cours. Le clivage gaullistes et antigaullistes, structurant après la guerre d’Algérie, relève de la nécrologie politique. Comme, en matière économique, la dérégulation et le libre-échange total, prônés par la droite dans les années 1980. Fleurissent à droite, depuis plusieurs années, tant une critique du néolibéralisme qu’une défense du protectionnisme face aux conséquences désastreuses, en termes écologiques et sociaux, du libre-échange effréné. L’effondrement de LR aux dernières européennes est une opportunité. Cela contraint cette droite à sortir de l’auberge espagnole dans laquelle elle s’est perdue avec le centre depuis des années. Je ne crois pas à une union entre LR et le RN. LR reste un parti extrêmement ambigu dans son contenu, dans ses ambitions comme dans les personnalités qui le composent. Je crois en revanche aux coalitions comme on a pu en voir à l’étranger. Des coalitions de gouvernement qui, malgré les différences, arrivent à faire front commun pour défendre les intérêts de la France. C’est ce vers quoi je tends.
Patrick Buisson, qui a longtemps été le chantre d’une union à droite, la trouve désormais «obsolète» et préfère œuvrer à une alliance populiste au sein d’un grand camp antilibéral face à Emmanuel Macron. Que lui répondez-vous?
La Cause du peuple est l’un des essais contemporains les plus admirables que j’ai lus. Il a été important dans mon cheminement politique. Il y a le monde des idées, dans lequel foisonnent les analyses très intéressantes sur de nouveaux clivages comme celui opposant libéraux et antilibéraux, ou mondialistes et antimondialistes. Et puis il y a le monde électoral où des clivages, même s’ils paraissent très satisfaisants sur le plan intellectuel, se révèlent inopérants sur le plan politique. Personne ne s’entend sur le contenu du mot «libéral» pour la raison simple qu’il recoupe des réalités différentes s’il s’agit de libéralisme philosophique ou de libéralisme économique. Ce qui me gêne également dans ces clivages, c’est qu’ils ont été mis en place par les progressistes à leur seul bénéfice. Ils ont pour effet de cantonner les votes à des contingences matérielles en divisant la société en deux blocs. D’une part, les gagnants de la mondialisation, habitants des grandes métropoles, plus âgés que la moyenne et relativement homogènes en termes de vote. Et d’autre part, un bloc regroupant les perdants de la mondialisation, les défavorisés, qui forment, eux, un groupe beaucoup plus hétérogène et donc très difficile à réunir, notamment dans les urnes. C’est de plus une façon de jeter les Français des villes contre les Français des champs, d’alimenter un vote de classe. Je refuse cette approche marxisante de la société. Je continue de croire que la nation est encore suffisamment vivace pour que le vote ne soit pas exclusivement mû par des contingences matérielles. Par ailleurs, force est de constater que le dialogue est compliqué avec les antilibéraux de gauche qui sont le plus souvent internationalistes, multiculturalistes et socialistes sur le plan économique […]
Marion Maréchal participera à la Convention de la droite à Paris le 28 septembre.
https://www.lesalonbeige.fr/travailler-a-une-union-a-droite-a-t-il-encore-un-sens/
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Villeurbanne ou ailleurs : les tueurs immigrés sont parmi nous.
Quelle que soit la compassion qui est la nôtre pour les victimes et leurs familles, qu'il nous soit permis de dire que l'attaque au couteau de Villeurbanne n'est qu'un "point de détail" de la guerre menée contre la France, contre l'Europe et contre la Civilisation par les "déséquilibrés" planétaires.Elle n'est qu'une partie d'un tout. Un tout qui veut notre annéantissement.Islamiste avéré ou pas, l'auteur de ce nouveau carnage qui vient après tant d'autres en attendant les suivants, est un élément toxique délibérément lancé parmi nous comme la plupart de ses prédécesseurs, grâce au subterfuge de la demande d'asile ou aux filières migratoires, avec la complicité criminelle des pouvoirs politiques depuis plus d'un demi siècle.Les commentateurs qui, sur les chaînes d'information, conversent à l'infini sur la nature des tueurs, sur leurs motivations et sur le contexte des villes où ils opèrent, le font en pure perte tant les données sont connues: les tueurs sont des sauvages venus d'ailleurs: leurs motivations se résument à la haine de l'Occident, de la chrétienté et en l'occurrence de la France et des Français ; leurs territoires est le Pays tout entier puisque c'est le Pays tout entier qui leur est livré.Oui, l'attaque de Villeurbanne est un point de détail de l'histoire d'une guerre globale que nous ne gagnerons que lorsque le camp national aura en mains les moyens de la mener. Pas avant ! -
Invasion, l'organisation
Bruno PacchieleJe relaye cette Information à vérifier, mais qui semble plausible. De toutes façons qui pose questions et fait réfléchir...Concernant les migrants, plusieurs questions de bon sens :
Comment leurs téléphones peuvent continuer à fonctionner dans un pays à moitié détruit, sur une barque, etc....
Comment sont payés les abonnements ?
Où les téléphones sont-ils branchés après un séjour en mer de plusieurs jours sans prise électrique à bord ?
Comment les caméras des Journalistes sont là et au bon moment et cela même en pleine mer ?
Voici l'explication : Voilà comment ça marche.
Le coup du téléphone satellitaire bien rôdé, miraculeux même !
Sur mon Journal quotidien ce matin, mon attention fut attirée par une grande photo montrant des naufragés clandestins voguant sur un canot pneumatique.
Banal, me direz-vous, on ne parle plus que de ça, je décide donc de tourner la page.
Mais c'est à ce moment que la Légende incrustée dans la Photo m'interpelle : "en pleine mer, ils appellent Strasbourg!!"
Des migrants en détresse peuvent composer un numéro d'appel téléphonique (0033486517161) dont le destinataire est le Bureau strasbourgeois de l'Association des Travailleurs Maghrébins de France. J’ai appelé moi-même ce matin ce téléphone.
Une femme m’a répondu pour savoir si j’avais un problème avec un bateau !
Essayez par vous-même vous verrez !
Là, un correspondant décroche, demande la position du bateau, le nombre de personnes à bord, s'il y a des blessés, etc...
Son collègue transfère le Message aux Garde-Côtes de l'Organisation FRONTEX Organisme EUROPÉEN de Surveillance des Frontières de l'Europe, pour que le Bateau soit secouru le plus rapidement possible, et ensuite pour s'assurer que les Garde-Côtes se portent bien au Secours des Migrants en difficultés.
Ces Appels au Secours sont planifiés bien à l'avance par le Collectif "Watch the Med" qui distribue aux candidats à l’Émigration des cartons comportant un N° de Téléphone et l'intitulé du Collectif. C'est écrit en Anglais, Arabe, Français et Persan.
Au verso, il est précisé que s'ils n'étaient pas rapidement secourus, le Collectif ferait pression sur les médias et les politiques.
Il y a aussi des contacts au Maroc et en Tunisie où les cartons sont distribués sur place.
On en distribue même à Calais, Vintimille et d'autres lieux en Europe.
Vous pourrez faire remarquer qu'ils sauvent des vies humaines.
Vous n'allez pas nous faire croire que ces gens ne connaissent pas les risques encourus.
Ils viennent peut être du fin fond de la Somalie, mais ils regardent aussi les informations télévisées et savent exactement ce qui les attend.
Et puis, on parle surtout de ceux qui sont en détresse (forcément, quand on monte à 200 sur un bateau prévu pour 20), mais combien d'entre eux passent sans trop d'encombres sauf dans la dernière ligne droite, car le truc est bien connu désormais.
On provoque une avarie de moteur et on appelle le numéro de Strasbourg par téléphone satellitaire, facile !
Les garde-côtes embarquent tout le monde et une heure plus tard tous les passagers mettent les pieds dans une Europe où ils seront inexpulsables.
Comme ils n'ont effectué aucune formalité pour obtenir une autorisation de séjour, de migrants, ils sont passés au stade de clandestins.
Ainsi donc, sous couvert d'une action humanitaire, un collectif ayant pignon sur rue en France, et relayé par l'association des travailleurs maghrébins de Strasbourg organise l'immigration clandestine en Europe et par conséquent dans notre pays, sans que cela n'émeuve personne !
Ainsi donc, ce collectif et cette association sont un maillon de la grande chaîne des passeurs que notre ministre de l'intérieur promet à moultes reprises de sanctionner avec la plus grande sévérité (Pipeau)
Jean-Louis Burtscher
À Faire suivre le plus possible , il faut informer le Peuple sur ce scandale que la Presse ne veut pas expliquer... et que les Associations arrêtent de nous sensibiliser sur cette affaire qui à moyen terme détruira le pays totalement soit en Guerre civile on commence déjà à avoir un aperçu avec les Banlieues et autres endroits de "squat"...