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  • L’alliance Villiers-Le Pen : le cauchemar ?

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    Dans la salle d’attente de mon médecin, l’autre jour, à cause de ma fille allergique au smartphone, j’étais condamné à choisir entre les revues éparpillées sur la table basse : GalaElleVSD ou le n° 617 de Challenges qui titrait : « Les Fortunes de France ». Curieux, et un brin espiègle, je le feuillette pour voir si mon nom y figure et, page 16, mon œil accroche un petit article d’une rubrique tenue par Nicolas Domenach (le vis-à-vis de Zemmour sur RTL) au titre provocateur : « Le “cauchemar” de l’alliance Villiers-Le Pen ».

    Je vous le livre in extenso :

    Lors de leurs séances de « brainstorming »», les proches d’Emmanuel Macron ont élaboré ce qu’ils appellent un « scénario cauchemar ».
    Selon l’un des animateurs de ces réunions, « Marine Le Pen irait voir le général Pierre de Villiers, frère de Philippe, pour lui demander de se présenter à l’élection présidentielle, car il est raide comme la justice et incarne l’autorité. La chef du RN ne demanderait que la présidence de l’Assemblée nationale ou Matignon pour commencer. Et le tandem serait très dur à battre. » La même source issue du premier cercle présidentiel se réjouit en revanche de l’offensive de Marion Maréchal, qui « affaiblit plus encore la droite et divise les lepénistes. Car une partie de ces derniers soutiennent les efforts de notabilisation de la nièce, alors qu’une majorité des militants veulent gagner au peuple, bouffer la droite et non pas l’asseoir à leur table. »

    Plus macronien que Challenges, tu meurs. Son patron, Claude Perdriel (qui se dit « de gauche »), ne cache pas son soutien à Manu. Au point que ses journalistes, en pleine campagne présidentielle, ont dénoncé le « boulevard fait à Macron » dans leur journal*. Ces gens-là doivent être bien informés, donc l’article peut être pris au sérieux.

    Évidemment, tout est dans le « irait », mais il n’y a pas de fumée sans feu et si les macroniens redoutent ce cauchemar, c’est que l’idée circule.

    N’ayant aucun goût pour les calculs électoralistes, je laisse volontiers aux plumes aguerries des contributeurs de Boulevard Voltaire le soin de commenter cet article.

    En revanche, l’image est séduisante.

    Ces deux personnalités ont déjà marqué l’histoire pour avoir osé affronter Macron.
    Que veulent les Français ? Retrouver leur mère patrie, c’est-à dire leur famille, dans une société en déliquescence dominée par la monoparentalité, minée par l’homoparentalité.

    La mère patrie (concept bisexué) a été piétinée par des décennies de gabegie républicaine libérale et le Français se rend bien compte qu’après avoir tué père et mère, la République vend aujourd’hui le patrimoine et les bijoux de famille au plus offrant, au seul bénéfice d’intérêts privés et spéculateurs contre le bien commun.

    Marine Le Pen, la louve nourricière et protectrice, Pierre de Villiers, le militaire, symbole de stabilité et d’autorité. Ce tandem aurait peut-être la capacité de réconcilier la France de haut en bas sans trop bousculer la tiédeur mortelle du bloc bourgeois sur lequel Macron assoit son pouvoir (« un pouvoir en secondes », écrivait Céline dans Mea Culpa).

    Mais, Macron l’apprend à ses dépens, on ne fait pas une politique avec une image, aussi séduisante soit-elle. Il faut d’abord une philosophie politique claire. Nous sommes en guerre, confiait Mitterrand. Dans ce contexte, le retour d’un général, du général, pourrait mettre la France dans le contexte du Conseil national de la Résistance. La ligne de Patrick Buisson et l’illibéralisme prôné par Alain de Benoist ne manquent pas de cohérence. Et pourraient ouvrir la voie à un illibéralisme à la française, bienveillant, qui ne serait ni celui de Trump, de Bolsonaro, de Salivini ou d’Orbán. Un militaire, a priori, n’a pas vendu son âme à l’oligarchie ploutocratique et nous voyons bien que le libéralisme est au pied du mur, avec le lot de misères qu’il génère : les lois sociétales et les lois de la jungle de l’économie libérale : chacun pour soi et Dieu pour personne. La mort du bien commun.

    Affaire à suivre ?

    Valeurs actuelles, lundi 3 avril 2017

    Frédéric Marc

    https://www.bvoltaire.fr/lalliance-villiers-le-pen-le-cauchemar/

  • Philosophie : Alain de Benoist à propos du libéralisme

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    Le philosophe Alain de Benoist accordait en mars dernier un entretien conséquent au webmagazine Philitt à propos de son dernier livre, Contre le libéralisme, paru aux éditions du Rocher. Nous publions un extrait de cet entretien, disponible en intégralité ici.

    Vous distinguez la « liberté libérale », que vous critiquez vivement, de la liberté tout court dont vous êtes partisan. Pouvez-vous développer cette distinction ?

    Le libéralisme n’est pas l’idéologie de la liberté, mais l’idéologie qui met la liberté au service du seul individu. La seule liberté que proclame le libéralisme est la liberté individuelle, conçue comme affranchissement vis-à-vis de tout ce qui excède cet individu. Le principe d’égale liberté se fonde lui aussi sur le primat de l’individu, dans la mesure où celui-ci n’est plus considéré comme un être politique et social, mais comme un atome qui n’est par nature intrinsèquement lié à aucun autre. La liberté libérale se pose ainsi de manière abstraite, indépendamment de toute appartenance ou ancrage historique.

    Fort heureusement, la liberté libérale n’est pas la seule façon possible de concevoir la liberté. On sait déjà, depuis Benjamin Constant, tout ce qui oppose la liberté des Anciens, comprise comme faculté de pouvoir participer à la vie publique, et la liberté des Modernes, définie comme le droit de s’en affranchir. Une autre manière de comprendre la liberté est la manière républicaine ou néorépublicaine, ce terme désignant ici la tradition politique qui va de Tite-Live et Machiavel (Discours sur la première décade de Tite-Live) jusqu’à James Harrington (Oceana, 1656), pour aboutir à des auteurs comme Quentin Skinner et John Pocock. Si pour les libéraux la liberté se définit comme ce qui échappe à toute interférence susceptible d’entraver les choix individuels, pour les républicains la liberté se définit comme « non-domination » et ne se restreint jamais, par principe, à la sphère individuelle : je ne peux être libre si la communauté politique à laquelle j’appartiens ne l’est pas. Cette conception, qui conçoit la société comme un champ de forces dont le cours n’est jamais donné à l’avance, implique évidemment le primat du politique, seul capable d’imposer et de garantir la liberté d’un peuple ou d’un pays. La liberté républicaine a le souci de la société en tant que telle, tandis que la liberté libérale l’ignore superbement. (…)cxxcvb

    https://fr.novopress.info/215409/philosophie-alain-de-benoist-a-propos-du-liberalisme/

  • LE DROIT D'ASILE, UNE PASSOIRE D'IMMIGRATION ILLEGALE ! par Marc Rousset

    Attaque de Villeurbanne : des réactions médiatiques et politiques fort instructives...

    Une attaque a été perpétrée, samedi après-midi, à Villeurbanne, à la sortie d’un métro. L’agresseur était armé d’un couteau et d’une fourche de barbecue. Bilan : un mort et huit blessés, dont trois grièvement. Après son arrestation, le parquet de Lyon l’a placé en garde à vue pour « assassinat et tentative d’assassinat ». On a appris assez vite qu’il s’agissait d’un réfugié afghan, demandeur d’asile.

    On devrait en apprendre plus sur les motivations exactes de cet homme, mais le plus instructif, ce sont les premiers commentaires des médias, qui ont répété à l’unisson que la piste terroriste n’était pas privilégiée. Certes, tant que l’enquête ne l’a pas éclairci, on ne peut affirmer s’il s’agit d’un acte dicté par le fanatisme islamique ou de l’acte d’un « déséquilibré ». Mais n’est-ce pas tendancieux de privilégier une version plutôt que l’autre, dans la présentation de ce fait divers tragique ? Il suffisait de dire qu’on ne pouvait, à ce stade de l’enquête, déterminer avec certitude les motivations de cette agression mortelle.

    Les réactions politiques ne sont pas moins intéressantes. Gérard Collomb s’est dit « extrêmement choqué », tandis que Christophe Castaner a déclaré que « la police nationale est mobilisée, sous l’autorité du procureur de la République, pour faire toute la lumière sur l’agression » et que « [ses] premières pensées vont aux proches et à la famille du jeune homme qui a perdu la vie ». Bruno Bonnell, député LREM de Villeurbanne, a appelé sur LCI à la prudence dans l’interprétation de cette attaque, précisant qu’« on a malheureusement un climat qui tout de suite fait sortir la carte terroriste de tout acte d’agression ». Une prudence extrême, donc, pour ne pas admettre qu’il pourrait y avoir un lien entre le terrorisme et une immigration incontrôlée.

    D’autres personnalités politiques, notamment au Rassemblement national et à droite, ont mis les pieds dans le plat, se faisant accuser d’instrumentaliser cette affaire. Marine Le Pen a déclaré que « de nationalité afghane, l’un des suspects de l’attaque au couteau de Villeurbanne est par ailleurs […] un demandeur d’asile », mettant en cause « la naïveté et le laxisme de notre politique migratoire ». Même type de réaction du côté de Nicolas Dupont-Aignan, qui se demande « combien de temps les Français devront-ils encore supporter le laxisme migratoire du gouvernement », ou de Julien Aubert, candidat à la présidence LR, pour qui « il faut revoir de fond en comble ce droit [d’asile] qui est dévoyé, pour le réserver aux vraies victimes et ne pas en faire une passoire d’immigration illégale ».

    Car le problème est bien là. Qu’il s’agisse d’un individu aux intentions terroristes ou d’un « déséquilibré » (les deux ne sont pas incompatibles), on ne peut éluder la question de la politique migratoire. Est-il normal que des assassins en puissance puissent se retrouver sur le territoire français le plus légalement du monde ? Le fait que l’agresseur soit inconnu des services de police – sauf, selon BFM TV, pour son addiction aux stupéfiants – n’est guère rassurant : combien de personnes dangereuses circulent ainsi en France sans que la police ne soit au courant ? Quant à la thèse de la folie, elle reste bien fragile : quand on se poste à la sortie d’un métro, armé d’un couteau et d’une fourche de barbecue, cela ressemble beaucoup à de la préméditation.

    Le procureur devrait prochainement prendre la parole. On en saura peut-être un peu plus. Quoi qu’il en soit, le gouvernement commettrait une faute grave s’il ne s’interrogeait pas, à l’occasion de ce fait divers tragique, sur sa politique migratoire.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/09/05/le-droit-d-asile-une-passoire-d-immigration-illegale-par-mar-6173562.html#more

  • Pour se faire entendre du sourd qui nous gouverne, il faut se mobiliser

    Pour se faire entendre du sourd qui nous gouverne, il faut se mobiliser

    Quelque part en banlieue parisienne :

    https://www.lesalonbeige.fr/pour-se-faire-entendre-du-sourd-qui-nous-gouverne-il-faut-se-mobiliser/

  • Allemagne : l'AFD fait un tabac aux élections

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    Lionel Baland

    Ce dimanche 1 septembre, les électeurs de Saxe et du Brandebourg ont été appelés à élire leur Parlement. Les scrutins se déroulant dans ces deux États de l’est de l’Allemagne – qui ont connu autrefois le communisme – voient une poussée inédite des patriotes de l’Alternative pour l’Allemagne (AfD) et constituent une lourde défaite pour la CDU, le parti de la chancelière démocrate-chrétienne Angela Merkel, et son allié gouvernemental social-démocrate, le SPD.

    Alors que la Saxe a été au cours des trente années qui nous séparent de la chute du communisme un bastion de la CDU – ce parti atteignant toujours avant le début du XXIe siècle la majorité absolue lors de ce type de scrutin -, cette dernière y subit un nouveau recul, cette fois de 7,3 points, tout en restant le premier parti avec 32,1 % des voix. L’AfD la talonne en récoltant 27,5 % – contre 9,7 % en 2014 -. Le parti post-communiste Die Linke est en fort recul à 10,4 % et les sociaux-démocrates du SPD chutent lourdement et se retrouvent à 7,7 %. Les écologistes progressent et obtiennent 8,6 %.

    Au Brandebourg, l’État qui englobe celui de Berlin, l’AfD arrive deuxième avec 23,5 %, derrière le SPD qui, reculant de 5,7 points, tombe à 26,2 %. La CDU chute de 7,4 points et dégringole à 15,6 %, alors que les post-communistes de Die Linke reculent de 7,9 points et se retrouvent à 10,7 %. Les écologistes augmentent leur score.

    Selon la chaîne de télévision publique ZDF, l’AfD est le premier parti chez les hommes lors des scrutins en Saxe et au Brandebourg avec respectivement 33 et 30 %, alors que chez les femmes il obtient 22 % en Saxe et 19 % au Brandebourg.

    La percée de l’AfD constitue un exploit. En effet, cette jeune formation politique a vu le jour seulement en 2013. En six ans, partie de rien, elle est entrée au sein de la Chambre des députés, ainsi que dans les assemblées des seize États qui composent le pays. Elle a réussi cette incroyable performance alors que le système tout entier la combat. La presse, les autres partis politiques, les églises, les syndicats et les associations patronales s’opposent frontalement à ce parti patriotique, qui se voit insulté et souvent privé de salles pour ses réunions alors que ses locaux et ses cadres politiques sont sous la menace permanente d’attaques violentes orchestrées par des voyous se réclamant de la gauche radicale. La victoire de l’AfD lors de ces deux scrutins représente donc, non seulement, un énorme espoir de redressement futur de l’Allemagne, mais également une victoire de la vraie démocratie face à des personnes et des organisations qui se réclament systématiquement de cette dernière tout en ne la respectant pas dans les faits.

    Le blog de Lionel Baland cliquez ici

  • Les "mutilations des manifestants, marque indélébile du quinquennat Macron", estime Marine Le Pen

    20002263.jpgEn pleine rentrée politique dans son fief d'Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), la présidente du Rassemblement national a vivement critiqué la gestion gouvernementale de la crise des "gilets jaunes". 

    Une rentrée offensive contre Emmanuel Macron. Marine Le Pen a dénoncé, dimanche 8 septembre, les "dérives antidémocratiques" et "impardonnables" du gouvernement lors des manifestations des "gilets jaunes" depuis un an, les "mutilations des manifestants" constituant, selon elle, la "marque indélébile du quinquennat Macron".

    "Les mutilations des manifestants de l'année dernière, tragiques faits d'armes de l'indigne Chritophe Castaner, restent une marque indélébile du quinquennat Macron", a-t-elle lancé.

    Pour Marine Le Pen, "la faute politique" de ce gouvernement est aussi "d'avoir mis en œuvre un projet pour ceux qui ont réussi, tout en ignorant, voire méprisant, ceux qui aux yeux du président ne seraient rien".[...]

    En savoir plus sur francetvinfo.fr
  • Passé-Présent n°249 : Quand Staline aimait Hitler

    A l’occasion du 80ème anniversaire du pacte germano-soviétique, Philippe Conrad rappelle les événements qui conduisirent à l’alliance des dictatures par la signature le 23/08/1939, à Moscou, du traité de non-agression entre l’Union Soviétique stalinienne et l’Allemagne nationale-socialiste hitlérienne. L’une des clauses du pacte incluait le partage de la Pologne entre les deux pays, une autre prévoyait une importante aide économique de l’URSS à l’Allemagne.
    L’historien souligne que cet épisode ne fut pas abordé lors du procès de Nuremberg ; les soviets s’étant ralliés au camp occidental à partir du 23/06/1941.

    Anne Sicard évoque la vie et l’oeuvre de l’artiste Rosa Bonheur (1822-1899)
    Peintre et sculptrice comme ses frères, Rosa cultive très tôt le goût de la nature et des animaux qu’elle peindra dans de grands formats avec succès tout au long d’une prestigieuse carrière. Titrée, décorée, honorée en Europe, célébrée outre Atlantique, cette femme mènera une vie ouvertement émancipée.

    https://www.tvlibertes.com/passe-present-n249-quand-staline-aimait-hitler

  • Taxe foncière : le piège se referme sur les propriétaires

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    La suppression totale de la taxe d’habitation crée un trou de 23 milliards qu’il sera difficile de combler. L’État a, dans un premier temps, sommé les communes de faire des économies, mais c’était impossible de s’en tenir là. En 2016, les impôts locaux ont rapporté 54,7 milliards aux structures communales, pour un budget total de 107 milliards d’euros. Aucune collectivité ne peut se priver de 25 % de ses revenus. Sans doute la suppression totale de la taxe d’habitation se placera-t-elle après les prochaines élections présidentielles pour que les futures décisions, nécessairement douloureuses, ne polluent pas la prochaine campagne. Le pouvoir s’est engagé à ne pas créer d’impôts nouveaux pour combler le trou et tiendra ses promesses lors de cette législature. Mais lors de la prochaine, tout est possible !

    Pour l’instant, le scénario qui tient la corde serait de verser l’intégralité de la taxe foncière aux communes et de dédommager les départements qui en percevaient environ 15 milliards sur un total de 38,7 milliards : on leur concéderait une fraction de la TVA ; cette mesure n’enchante pas les présidents de conseils départementaux, car ils seront désormais incapables d’augmenter leurs revenus plus que l’inflation alors qu’ils ne sont pas gênés de le faire depuis dix ans. Or, le transfert de la taxe foncière ne sera pas suffisant pour équilibrer le budget des communes : il manquera encore 8 milliards au minimum. L’État n’augmentera pas ses dotations, car il devra compenser les 15 milliards de TVA dévolus aux départements ; il le fera en augmentant les impôts (peut-être la TVA, de 2 %, ou la CSG) et en retardant le retour à l’équilibre du budget. Les 8 milliards manquant dans les caisses des communes seront fatalement récupérés sur les propriétaires : la taxe foncière va sans doute flamber de 20 % en 4 ans, après avoir grimpé de 22 % entre 2012 et 2018.

    Pour faire passer la pilule et nier que l’impôt foncier augmente de façon excessive, le gouvernement va, semble-t-il, utiliser un tour de passe-passe. La taxe foncière est basée sur une évaluation du potentiel de location du bien en tenant compte des WC, des salles de bains ou de la surface habitable. Les collectivités locales ne prennent qu’une partie de cette base (44 %, en moyenne). Cette base n’a pas évolué pour beaucoup de logements anciens depuis 1970. Il suffira de l’augmenter discrètement. Le pouvoir prétendra qu’il n’y aura pas d’augmentation d’impôts, mais juste la mise au pas de « fraudeurs » qui avaient effectué des travaux dans leur habitation sans les déclarer. Le mouvement est déjà enclenché (Le Figaro, 5/9/2019). 64.000 propriétaires ont vu leur base réévaluée au premier semestre 2019 (0,75 % d’entre eux) avec, pour beaucoup, une augmentation de 11 % de leur taxe foncière, et ceci, sans courrier de l’administration, sans visite d’un contrôleur. Ce manque de transparence donne l’impression d’une mesure arbitraire. S’attaquer à 1,5 % des propriétaires en 1 an peut sembler peu, mais en 2023, tout le monde sera réajusté. Pour finir, 4 milliards auront été ainsi récupérés.

    Les 4 derniers milliards seront pris en augmentant le taux de perception sur la base réévaluée de 44 % à 48,5 %. On aura compensé la suppression de la taxe d’habitation en volant les propriétaires !

    Christian de Moliner

    https://www.bvoltaire.fr/taxe-fonciere-le-piege-se-referme-sur-les-proprietaires/

  • Crimes, violences et terreur : comment l’islam détruit l’Allemagne


    ISLAM, risque pour la sécurité : crime, violence et terreur – Comment l’islam menace l’Allemagne
    Le danger dramatiquement sous-estimé : l’islam et la violence.
    Documenté avec des données, des chiffres et des faits exclusifs.
    L’auteur allemand de best-sellers et expert en sécurité Stefan Schubert a compilé une mine de faits que vous n’avez jamais vus auparavant.
    C’est une chronologie effrayante de la propagation de la criminalité, de la violence et de la terreur par l’Islam en Europe.
    Stefan Schubert brosse un tableau détaillé de la situation actuelle en matière de sécurité et convainc par ses recherches minutieuses.
    Ceci est vérifiable par tout le monde à travers environ 600 sources, statistiques et études.
    Certaines des informations générales proviennent directement du ministère allemand de l’Intérieur et de l’Office fédéral de la police criminelle.Les migrants musulmans commettent des crimes d’une ampleur sans précédent.
    Ceux qui dénoncent cela sont diffamés par le courant dominant de gauche, mis à l’écart et souvent ruinés professionnellement.
    Une lecture captivante pour tous ceux qui ont le courage de penser au-delà du courant dominant et de ne pas se laisser interdire de se forger une opinion libre et indépendante.
    Pour la première fois et en exclusivité, Stefan Schubert révèle que :
    Selon les statistiques du BKA, les réfugiés musulmans ont commis une vague de plus d’un million de crimes en seulement 4 ans en Allemagne !!!!!!!!
    En 2013, le Procureur général fédéral n’a engagé que 70 procédures pour terrorisme, mais en 2018, le nombre de ces procédures a atteint un nouveau record de 1300 !!!!!!!!!

    Saviez-vous, par exemple,
    – qu’il y a un mélange alarmant entre le milieu des migrants criminels et les terroristes islamiques ?
    – que le Bureau pour la protection de la Constitution ne peut pas contrôler de manière cohérente les organisations islamistes parce que la politique exige que l’AfD fasse l’objet d’une plus grande attention ?
    – que la chancelière Angela Merkel courtise les loups gris nationalistes et islamistes (Frères musulmans turcs) ?
    – que le gouvernement allemand coopère avec les antisémites musulmans ?
    – que des milliers de criminels de guerre musulmans ont immigré en Allemagne en tant que réfugiés ?
    – que tout débat sur l’islam est empêché par des campagnes de désinformation ciblées menées par les politiciens et les médias ?
    – que les clans arabes criminels apparaissent comme une mafia musulmane en Allemagne ?
    – que des hommes syriens et irakiens ayant l’expérience de la guerre ont depuis longtemps formé des clans criminels en Allemagne et sont actifs dans le crime organisé ?
    – qu’il y a une infiltration ciblée des autorités de sécurité par les islamistes et les clans arabes ?
    – que le ministère de l’Intérieur met en garde contre de graves troubles dans des publications secrètes ?
    – que les observateurs parlent d’une « guerre civile moléculaire » contre la population indigène par les immigrants musulmans ?
    Source : Kopp Verlag.
    Traduction : Julien Martel.

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/09/crimes-violences-et-terreur-comment.html

  • Le fonds de commerce de la colonisation et de l’esclavage

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    La chronique de Philippe Randa

    Fatou Diome (ci-dessus) est une franco-sénégalaise, auteur d’une dizaine de livres que Le Monde décrit comme « piégée dans le désir d’Europe et ses mirages tragiques » et dont il présente son pamphlet Marianne porte plainte ! (paru en en 2017 chez Flammarion), comme un « véritable pamphlet contre les discours identitaires, racistes, sexistes et islamophobes » !

    Toutefois, dans un entretien publié en ce mois d’août, celle-ci précise sa pensée. Une pensée pour le moins inhabituelle dans les colonnes de ce quotidien.

    Ainsi, sur sa couleur de peau qui n’est « n’est ni une tare ni une compétence » ou sur la France, « cette France brillante, je l’ai bien trouvée, mais on n’arrête pas de la trahir ! Il faut toujours s’y référer, la rappeler aux mémoires courtes »…

    Quand le journaliste l’interroge sur les discriminations frappant les Africains dans notre pays, Fatou Diome lui rétorque : « Vous savez, au Sénégal, un jeune né en province aura moins de chance de réussir que celui issu d’une famille aisée de la capitale. La différence, c’est qu’en France, cette inégalité se trouve aggravée par la couleur. Ici, être noir est une épreuve et cela vous condamne à l’excellence. »

    Quant à l’urgence de « la décolonisation de la pensée et des savoirs, porté par un certain nombre d’intellectuels africains et de la diaspora » qui semble fortement interpeller le journaliste, sa réponse est cinglante : « C’est une urgence pour ceux qui ne savent pas encore qu’ils sont libres. Je ne me considère pas colonisée, donc ce baratin ne m’intéresse pas. La rengaine sur la colonisation et l’esclavage est devenue un fonds de commerce (…) En sommes-nous encore à nous demander comment nous libérer de l’esclavage et de la colonisation ? Pendant ce temps où nous stagnons, les Européens envoient Philae dans l’espace… (…) Pourquoi se positionner toujours en fonction de l’Occident ? Il nous faut valoriser, consommer et, surtout, transformer nos produits sur place. C’est cela l’anticolonisation qui changera la vie des Africains. »

    Et bien qu’elle soit sensée dénoncer les discours identitaires, elle n’en affirme pas moins que « la peur de vaciller au contact des autres ne peut vous atteindre quand vous êtes sûr de votre identité. »

    S’il y en a un qui a vacillé, c’est peut-être ce malheureux journaliste du Monde

    EuroLibertés cliquez là

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/09/01/le-fonds-de-commerce-de-la-colonisation-et-de-l-esclavage-6173163.html