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  • Macronie : le poisson pourrit par la tête, par Ivan Rioufol

    Il y a quelque chose de pourri au royaume de la Macronie. Tout pue la lâcheté, la traîtrise, l’intérêt clanique, le compromis avilissant. Les médias sont tellement somnolents qu’ils ne s’indignent même pas de l’effondrement de l’Etat devant les nouvelles minorités ethniques, quand elles exhibent leur couleur de peau pour exiger les excuses des Blancs. Mêmes les clandestins s’autorisent à manifester massivement. Les prétendus défenseurs de la démocratie, eux, ont déjà oublié le scandale politique, révélé l’autre jour par Eliane Houlette, procureur du parquet national financier, d’une justice en lien constant avec le pouvoir dans la chute de François Fillon, candidat favori à l’élection présidentielle de 2017.

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  • Pendant la crise sanitaire, l’islamisme progresse…

    Pendant la crise sanitaire, l’islamisme progresse…

    Alors que le deuxième tour des municipales ne passionne pas vraiment les foules, il pourrait bien voir des victoires symboliques pour l’islamisme et le grand remplacement. Ainsi, à Goussainville, dans le Val d’Oise, à proximité de Roissy, un certain Abdelaziz Hamida est bien placé pour l’emporter dimanche, puisqu’il est arrivé en tête du premier tour avec 34,4% – avec, doit-on préciser, une participation très faible de 37,9%, dont 3,7% de votes blancs ou nuls!), loin devant la candidate LR, Elisabeth Hermanville (25,7%).

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  • Chassons les imposteurs !

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    « Complotisme », « populisme »… Ces deux mots sont le bouclier verbal du microcosme qui préfère anathématiser ses ennemis au lieu de démontrer qu’ils se trompent. Or, comment faut-il appeler une « machination judiciaire », une « manipulation collective », une « entente complice » entre des politiques, des magistrats et des journalistes pour agir sur une élection présidentielle au point, sans doute, d’en changer le résultat ? J’emprunte ces mots à Philippe Bilger, peu suspect de complotisme ou de populisme, et qui a eu l’honnêteté intellectuelle de modifier son jugement après les déclarations sous serment de l’ancien procureur du parquet national financier, Mme Éliane Houlette, qui, auditionnée par une commission de l’Assemblée nationale, avait révélé les pressions qu’elle avait subies, pour ne pas dire le harcèlement, de la part du parquet général, pour faire avancer l’affaire et communiquer les pièces qui, au mépris du secret de l’instruction, se trouvèrent ensuite dans la presse, elle-même peu soucieuse de la présomption d’innocence.

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  • Le piège de la dictature verte

    6a00d8341c715453ef0263e95274ff200b-320wiLa Convention artificielle de 150 personnes prétendument tirées au sort pour représenter la société civile peut et doit être regardée sous plusieurs angles.

    Tout d'abord la démocratie se targue, par principe et par définition d'incarner le pouvoir du peuple. Et à de nombreux égards, il est loisible et même légitime de s'interroger quant aux nombreux points faibles qu'elle développe au sein des États dont elle inspire les institutions. Le gouvernement d'opinion vaut d'abord ce que valent le concept et la réalité de l'opinion publique : le court terme l'emporte trop souvent sur le long terme, et les choix des hommes de l'État soumis à l'élection reflètent le plus souvent leur préoccupation d'être réélus. À l'inverse toutes les expériences de non-réélection, y compris celle du non-cumul des mandats, se sont soldées par des échecs.

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  • Le PS bientôt de retour dans les beaux quartiers

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    Fin 2018, le Parti socialiste quittait piteusement son hôtel particulier de la très chic rue de Solférino située dans le fastueux VIIe arrondissement de Paris. Adieu veau, vache, cochon et adhérents qui, à la porte, ne se bousculaient plus.

    Les quelques rescapés du dernier Waterloo électoral entassaient dossiers et scooter de François Hollande sur une charrette et s’en allaient, errant, à la recherche d’un siège social moins coûteux. Après avoir réussi la traversée du périphérique avec brio, la troupe trouvait refuge dans la proche banlieue. Un vaste local à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne).

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  • EN FRANCE, MIEUX VAUT ETRE SANS-PAPIER OU RACAILLE QUE GILET JAUNE…

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    Laurent Lopez (FB)
    Jusqu’où va sombrer notre pays ? Les valeurs inversées sont désormais devenues le mètre-étalon présidant à tout jugement.
    Récemment, l’affaire Traoré m’a déjà donné la nausée. Cet individu peu recommandable, très défavorablement connu des services de police, vient d’être érigé en martyr. Voici que pour certains les racailles sont des gens formidables et les représentants des forces de l’ordre de vrais fumiers racistes…
    La colère étant mauvaise conseillère, je me suis donc abstenu de m’asseoir derrière un clavier pendant un long moment. Je craignais que mes mots soient d’une extrême violence pour exprimer ce que je pense de tous ceux qui « dégueulent » sur la police et la gendarmerie, dissimulant derrière une indignation feinte un communautarisme putride et un réel racisme anti-blanc.
    Le blanc que je suis est bien sur coupable des pires atrocités sur les gens de couleur ! Ne sont-ce pas mes aïeux qui se sont adonnés à l’esclavage ? Certes, ce dernier est aboli depuis 1848 et je suis né en 1965. Mais je suis coupable !

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  • À qui profite l’antiracisme ?

    L’hystérie antiraciste gagne les entreprises

    Après avoir subi une épreuve de testing, sept grandes entreprises implantées en France font aujourd’hui l’objet d’une présomption de discrimination à l’embauche en raison des origines ethniques des candidats. Même si, depuis 2006, la loi sur l’égalité des chances reconnaît le testing comme preuve du délit de discrimination, le procédé s’avère à l’évidence parfaitement immoral. Il consiste en effet en une provocation à commettre un délit par un moyen détourné reposant sur le mensonge et la dissimulation. En l’occurrence, un délit de discrimination ethnique ou raciale. Procédé plus que discutable malgré les arguties de certains juristes.

    Les sociétés Altran, Air France, Arkema, Rexel, Accor Hôtel, Renault et Sopra Steria ont visiblement donné dans le panneau et osé commettre l’indicible : préférer à l’embauche l’un de nos concitoyens autochtones à un candidat venu d’ailleurs. La justice a condamné les dirigeants desdites entreprises épinglées à effectuer une sorte de mini-stage de rééducation éclair d’une demi-journée. On imagine l’efficacité de pareille pantalonnade.

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