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Pour Zemmour, «les banlieues françaises, c’est l’alliance de la Kalachnikov et du coran».
Source : https://fr.sputniknews.com/
Face aux violences qui ont secoué ces derniers jours Dijon, Éric Zemmour a dressé son constat de la situation dans les banlieues françaises. Il les compare à des «enclaves étrangères (...) régies par les caïds de la drogue» et avec une «alliance de la Kalachnikov et du coran.»
Depuis vendredi dernier, Dijon voit se dérouler une succession de scènes de violences opposant des habitants d'origine maghrébine du quartier des Grésilles à des personnes issues de l'immigration tchétchène. Sur le plateau de Face à l’info, Éric Zemmour a abordé ce sujet le 17 juin.
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Lyautey ministre de la Guerre
La plupart des biographes de Lyautey ont été en général fort sobres au sujet de son court passage au gouvernement en qualité de ministre de la Guerre. Peut-être ont-ils pensé que cet épisode, dont la durée n'a pas excédé onze semaines, de fin décembre 1916 à mi-mars 1917, n'offrait dans une existence par ailleurs si riche et si bien remplie qu'un médiocre intérêt. Ou bien, cette brève période d'une grande carrière ayant constitué en somme un échec, convenait-il de ne point s'y appesantir. Erreur La réussite ou l'échec dans la vie d'un homme n'ont point de signification majeure : il y a des échecs qui grandissent et des réussites qui déshonorent. En l'espèce, l'éphémère participation de Lyautey à un gouvernement métropolitain à un moment critique de la guerre de 1914 est très riche d'enseignements et projette une nouvelle clarté sur les qualités essentielles qui, si les circonstances s’y fussent prêtées, eussent fait de Lyautey un merveilleux conducteur de peuple.
Premières déceptions
La fin de l'automne 1916 et le début de l'hiver qui suivit marquait dans le déroulement de la Première Guerre mondiale une sorte de point mort, une phase d'attente avant l'ouverture indécise d'un nouveau chapitre. Un cauchemar, celui de Verdun, avait été clos au prix de sacrifices et d'un effort intenses. Après cette flambée d'héroïsme et cette affreuse hémorragie, quelle direction nouvelle fallait-il imprimer à cette guerre qui durait, s'invêtérait comme un mal chronique dont on ne pouvait concevoir la fin ?
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Des banques centrales prêtes à tout : vers la destruction des monnaies
Marc Rousset
La BCE vient d’offrir 1.310 milliards d’euros de prêts LTRO (prêts à long terme), à des taux d’intérêts négatifs à -1%, à 742 banques européennes. Dans ce monde fou, les banques européennes gagnent donc de l’argent en empruntant !
La dette française, qui avait atteint 66,6 % du PIB en 2007 avec le très laxiste Chirac, est passée à 91,6% du PIB avec Sarkozy, puis 99,7% du PIB avec Hollande, pour atteindre 120,9% du PIB, fin 2020, avec Macron, ce qui représentera 39.552 euros par Français, tandis que le taux de chômage dépassera les 12%. La gauche rêveuse croit, comme d’habitude, régler les problèmes avec des mots salvateurs, sans se fatiguer, tels que « dette perpétuelle » et « dette poubelle », mais la France devra rembourser et payer, sous peine d’augmentation violente des taux et/ou de ne plus pouvoir emprunter sur les marchés. Quant à l’endettement des entreprises françaises, il est passé de 53,9% du PIB, en 2008, à 73,5% du PIB, à fin 2019.
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Stéphane Edouard : « Je suis noir et je ne soutiens pas les Traoré (non plus) » (Vidéo)
Stéphane Edouard : « Je suis noir et je ne soutiens pas les Traoré (non plus) ». Via Breizh Info
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Covid-19 : En cas de 2ème vague, la France a toujours un train de retard – JT du vendredi 19 juin 2020
Au sommaire ce soir, le retour de la menace de la 2ème vague. Alors que Didier Raoult n’exclue plus un retour du Covid-19 en France, la commission d’enquête parlementaire sur la gestion de la crise sanitaire est muselée par la macronie. Une seule certitude s’impose, la France ne serait guère mieux préparée pour affronter une deuxième salve sanitaire.
Egalement au programme, retour sur les 150 propositions de la Convention citoyenne pour le climat. Après 9 mois de discussions organisées par des experts triés sur le volet, le Nouveau Monde prend les recettes de l’ancien en misant tout sur l’écologie punitive.
Et puis également dans l’actualité, des tensions inédites entre la France et son allié otanien d’Ankara. Une frégate turque a ciblé un navire français en pleine Méditerranée. Un incident lourd de sens pour l’Organisation du traité de l’Atlantique nord. L’experte en Géopolitique, Caroline Galactéros, décryptera la situation.
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La haine anti-catholique et anti-blanche en marche
Junípero Serra (1713-1784) est un prêtre missionnaire franciscain espagnol qui fonda de nombreuses missions dans le Nouveau Monde. Considéré comme l’Apôtre de la Californie, il a été canonisé en 2015.
Junípero Serra part pour le Nouveau Monde en 1749. Il a alors 36 ans et enseigne d’abord la philosophie au collège de Mexico. A l’âge de 55 ans il accepte la tâche de coordonner les activités missionnaires dans la région. Il faut d’abord reprendre les missions de la Baja California. Avec le groupe de 15 franciscains dont il est supérieur il fonde également des nouveaux postes : San Barnabé, près de Monterrey, au nord de la colonie de Nouvelle-Espagne (l’actuel Mexique). De là, il visite les peuples aborigènes de la Californie, région encore inexplorée. En quelques années, les Franciscains fondent 21 missions. C’est, principalement à dos de mule qu’il couvrira les 750 miles pour rejoindre le site de sa première mission, San Diego, qu’il atteint en 1769. De cette date jusqu’à sa mort, 15 ans plus tard il aura fondé 9 autres missions (10 au total sur un ensemble, à terme, de 21).
Il fut béatifié le 25 septembre 1988. Le pape François a procédé à sa canonisation le 23 septembre 2015 à Washington.
Sa statue dans un parc de San Francisco aux Etats-Unis a été renversée :
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Pourquoi la crise en France est consubstantielle au régime républicain, par Guilhem Golfin.
Source : https://www.valeursactuelles.com/
La République historique a été fondée sur un mensonge consistant à passer pour un régime d’ordre alors qu’elle est de nature révolutionnaire et donc insurrectionnelle, affirme Guilhem Golfin, docteur en philosophie et auteur de Babylone et l'effacement de César (L'Homme Nouveau, 2019). Tribune.
Le quinquennat en cours se révèle chaque jour davantage une suite continuelle de crises. En quelques mois, nous sommes passés de l’Etat court-circuité par les cellules de l’Elysée à l’Etat répresseur de la France périphérique, à l’Etat désarmé devant une crise sanitaire sérieuse mais qui ne fut pas l’apocalypse prédite, à l’Etat démissionnaire devant les manifestations ethno-gauchistes importées d’Amérique et enfin à l’Etat impuissant face à des bandes de gangsters étrangers qu’il a laissées s’implanter sur le territoire. Avec cela, ce même Etat se fait comme jamais censeur de l’expression publique en rognant sur la loi de 1881. Le dévoiement des pouvoirs publics semble ainsi à son comble, et l’on attend avec crainte et tremblement les prochains événements.
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Convention citoyenne pour le climat : 150 nuances de brun-vert…
Une meilleure démocratie participative, c’était une revendication des gilets jaunes. Sautant opportunément sur l’occasion, Macron proposa donc à un échantillon de 150 Français tirés au sort de réfléchir à 150 propositions face à l’urgence climatique, qui seront présentées au gouvernement, ce dimanche.
Par définition, donc, tous les postulants à cette Convention citoyenne pour le climat avaient intériorisé l’idée – à ce jour non démontrée mais néanmoins élevée à la hauteur d’une religion -, d’un réchauffement anthropique.
Inutile de dire que ceux qui avaient espéré qu’après le Covid-19, on reviendrait à un peu plus de bon sens écologique vont être déçus, car le maximalisme (ou le marximalisme ?) des propositions de ce machin décrocherait la mâchoire de l’EELV le plus enragé.
Mais puisque la planche à billets tourne à plein régime, pourquoi se gêner ?
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La Cour de justice européenne protège le lobbying de George Soros
La Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a censuré, jeudi 18 juin, la loi anti-Soros adoptée en 2017 par la majorité de Viktor Orban, le premier ministre hongrois. Cette loi oblige toutes les ONG hongroises à déclarer les dons venant de l’étranger d’un montant supérieur à 500 000 forints (1 444 euros). Le nom des donateurs est rendu public sur un registre en ligne. Si les dons de l’étranger dépassent la somme de 20 800 euros par an, les ONG concernées doivent en plus se présenter officiellement comme une « organisation recevant de l’aide de l’étranger » sur tous leurs supports de communication.
Cette loi était destinée, selon son préambule, à lutter contre les « groupes d’intérêts étrangers » qui voudraient « promouvoir, par le biais de l’influence sociale de ces ONG, leurs propres intérêts au lieu de l’intérêt général de la Hongrie ».