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  • 6 août 1945 : ils savaient pourtant qu’ils avaient déjà gagné la guerre

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    Le 6 août 1945 à 2 h 45 (heure locale), un bombardier B-29 décollait de la base de Tinian, avec à son bord une bombe atomique à l'uranium 235 d'une puissance de 15 kilotonnes, surnommée Little Boy. L'équipage était composé de douze hommes, dont quatre scientifiques. Deux autres B-29 l'escortaient, emportant les instruments scientifiques destinés à l'analyse de l'explosion.

    La ville avait été peu bombardée pendant la guerre et les habitants avaient l'habitude de voir les bombardiers américains survoler leur ville pour se rendre vers le nord du pays. La bombe a été armée en vol et larguée à 8 h 15, à près de 9 000 mètres au-dessus de la ville. À 8 h 16 min 2 s heure locale, après 43 s de chute libre, la bombe a explosé à 587 mètres du sol, à la verticale de l’hôpital Shima, situé au cœur de l'agglomération, à moins de 300 mètres au sud-est du pont Aioi, initialement visé.

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  • Sept fusillades depuis fin juin : Grenoble miné par les règlements de comptes

    Les affrontements à coups de fusils d’assaut ont lieu en plein jour, parfois au milieu des passants. Une explosion de violence qui serait liée au déconfinement et à une lutte de territoires entre réseaux rivaux.

    « Grenoble, c’est le Chicago français. » C’est par cette formule choc que le syndicat de police Alliance qualifiait la capitale des Alpes en août 2018, suite à une série de règlements de compte et de meurtres. Deux ans plus tard, le scénario semble se répéter. Depuis fin juin, on dénombre en effet sept fusillades dans l’agglomération grenobloise. Avec un bilan très lourd : trois morts et quatre blessés.

    La première de ces fusillades a lieu le 27 juin sur la place Saint-Bruno. Des tirs retentissent en plein après-midi au beau milieu des passants et des terrasses de bars. Miraculeusement il n’y a pas de victime…

    […]

    L’article dans son intégralité sur Le Parisien

    http://www.fdesouche.com/1411873-sept-fusillades-depuis-fin-juin-grenoble-mine-par-les-reglements-de-comptes

  • Débarquements de migrants : des patrouilles de la Royal Navy dans la Manche ?

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    Le ministre de l’Intérieur (Home Secretary), Priti Patel, soutient la proposition d’envoyer la Royal Navy face à l’afflux de migrants dans la Manche, après un nombre record de 235 étrangers illégaux débarqués jeudi dernier.

    L’Union pour les frontières, l’ et les douanes (The Union for Borders), syndicat représentant les agents du service d’immigration britannique, a déclaré que les militaires devaient être mobilisés pour aider à faire face à la crise, notamment en raison de la menace de violence de la part des migrants, et pour les forcer à retourner en France par la mer.

    Le nombre de migrants a plus que doublé, au cours des huit premiers mois de 2020 (près de 3.950) par rapport à l’ensemble de 2019 (1.850). Migration Watch UK a averti que plus de 7.500 personnes pourraient arriver d’ici à Noël.

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  • Quand un maire défend mieux l’Eglise que le clergé

    Quand un maire défend mieux l’Eglise que le clergé

    Elu en 2014 avec 44% à la faveur d’une triangulaire, Robert Ménard a été réélu maire de Béziers dès le premier tour avec près de 69% des suffrages et a décroché la présidence de l’agglomération Béziers-Méditerranée. Sa réélection est donc un succès, manifestant clairement la satisfaction de la population, malgré les critiques du petit milieu politico-médiatique. Et pourtant, la presse n’a pas cessé de critiquer ses initiatives, les politiques ont tenté de le contrer, l’administration (notre “état profond”) s’est échinée à lui compliquer la vie.

    Les résultats sont là. La plus ancienne ville de France a retrouvé ses couleurs et sa fierté. Et Robert Ménard l’écrit dans un ouvrage sorti en avril 2019, Un maire ne devrait pas faire ça

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  • La domination des machines, une domination capitaliste

    Source : https://jpchauvin.typepad.fr/

    Les manuels d’histoire sont étrangement discrets sur ce qui peut gêner l’idéologie dominante, et il est très rare de lire une évocation des lois d’Allarde et Le Chapelier de 1791, entre autres, comme il est encore plus rare de trouver une référence à cette autre date tragique de l’histoire sociale, celle de février 1812, inconnue de la plupart des enseignants d’histoire que j’ai rencontrés dans ma vie.

    Et pourtant ! Elle mériterait des livres, des articles, voire des films, et elle passe totalement inaperçue alors qu’elle me semble l’une des plus significatives de l’ère industrielle européenne, et qu’elle ouvre ce règne dénoncé autant par le républicain Michelet que par le royaliste Bernanos, celui des Machines…

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  • deuxième vague COVID 19 Florian Philippot Le conseil scientifique agite la peur et le re confinement

  • Le régionalisme, une énergie conservatrice

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    Frédéric Mistral

    Alors que la refondation des droites est à 'ordre du jour, la question corse et le sujet des autonomies locales arrivent à point nommé. Un régionalisme intelligent pourrait permettre à la France de respirer et à la droite de retrouver son âme historique.

    Il y a un malentendu entre la droite « moderne » et les autonomies locales. Un malentendu entretenu par l'histoire institutionnelle récente : depuis près de quarante ans, c'est bien souvent la gauche qui a eu l'initiative des mouvements dits de « décentralisation ». Qu'il s'agisse de la loi Defferre (1982), de la transformation des régions en collectivités territoriales de plein droit (1986) ou, en Corse, de la validation des statuts de l'Université de Corte (1981). Ajoutons à cela les tendances gauchisantes, depuis les années 60, de nombreux groupes régionalistes bretons ou occitans, et la coupe est pleine pour les droites françaises, dont l'un des réflexes grégaires sera l'assimilation du régionalisme à un séparatisme soit gauchiste soit bruxellois… Quel malentendu !

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  • Incendie à l’Ehpad de Sillingy (74) : alors qu’il passe devant, Clément, 18 ans, entre dans le bâtiment en feu et sauve plusieurs pensionnaires

    Le drame a été évité de justesse en Haute-Savoie lors de l’incendie qui a dévasté une partie de l’Ehpad de Sillingy. Les 79 résidents ont pu échapper aux flammes grâce à l’intervention des pompiers mais aussi au courage du jeune Clément, âgé de seulement 18 ans.

    L’établissement a été en partie détruit par un incendie dans la nuit du dimanche 9 au lundi 10 août. Le jeune homme est venu spontanément prêter main-forte à la centaine de pompiers déployés sur place. Une équipe de France 3 a recueilli son témoignage.

    « Je passais avec ma copine en moto, on a vu le nuage, j’ai pas hésité à rentrer ». Clément Nicolazzo est revenu devant « Le Bosquet de la Mandallaz » dans la matinée après un bref passage à l’hôpital pour une légère intoxication. Un pansement au poignet, il raconte comment il est venu en aide aux pompiers. Il a été l’un des premiers sur place alors que le feu venait tout juste d’éclater, peu après minuit. « J’ai tout de suite couru pour évacuer le 1er étage, puis le 2e et puis après, j’ai pas hésité à monter dans les flammes au troisième étage avec juste un pompier derrière moi qui assurait la sécurité ».

    (…) France 3

    http://www.fdesouche.com/1411779-incendie-a-lehpad-de-sillingy-alors-quil-passe-devant-a-moto-clement-18-ans-entre-dans-le-batiment-en-feu-et-sauve-plusieurs-pensionnaires

  • « Arrêter une vie n’est pas une solution à la détresse psychosociale », par Emmanuel Sapin.

    Source : https://fr.aleteia.org/

    Chirurgien pédiatre et néonatalogiste, le professeur Emmanuel Sapin décrypte le mécanisme de transgression continue des lois de bioéthique. Il montre comment les principales mesures du texte adopté par les députés en seconde lecture s’inscrivent dans une logique de relativisme idéologique qui, au nom de considérations humanistes, transforme le mal d’hier en bien aujourd’hui.

    PMA sans père, embryons-chimères, avortements tardifs… à chaque révision de loi de bioéthique, le législateur affronte des situations préoccupantes qu’il a créées sans en mesurer les conséquences. La loi définissant comme bien ce qui est permis, ce qui était défendu lors de la loi précédente devient permis. Les frontières sont sans cesse repoussées. Co-auteur de la première chirurgie fœtale réalisée en Europe, le pédiatre Emmanuel Sapin dénonce, en particulier dans le projet de loi voté par les députés, la fausse solution du recours à l’avortement pour libérer une mère en état de détresse psychosociale.

    Aleteia : Quelle est la mesure qui vous paraît la plus discutable dans le texte voté ?

    Emmanuel Sapin : En premier lieu, à cause des conséquences sur la place du père pour l’enfant, la mesure la plus discutable est l’ouverture de la PMA « pour toutes », qui conduit à une dissociation programmée de la notion et de la réalité de la paternité — biologique et éducative — si ce n’est sa disparition, et d’autre part les problèmes liés à la filiation. Il est d’ailleurs paradoxal que simultanément sont ouvertes les possibilités de demande de levée de l’anonymat. Et la prochaine fois, sous l’argument de la discrimination, s’ouvrira la voie de la GPA.

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  • Les catholiques et l’avortement

    Les catholiques et l’avortement

    Dans la torpeur estivale et avec un hémicycle aux trois quarts vide, les députés ont voté la légalisation de l’infanticide avec des “garde-fous” si ténus que l’on peut dire que cette légalisation vaut en toute situation (je veux bien sûr parler de ce que la novlangue qualifier “d’interruption médicale de grossesse” pour “détresse psychosociale”).

    Au même moment, un lecteur m’a fait découvrir un article universitaire relatif au débat sur la “dépénalisation” de l’avortement à titre expérimental (la loi Giscard-Chirac-Veil de 1974). Bien sûr, nous savons tous comment on est passé en 50 ans d’une logique de dépénalisation à une logique de “droit fondamental”, où ce sont désormais les défenseurs de la vie qui peuvent être sanctionnés par la “justice”. Mais il est fascinant – et terrifiant – de constater la responsabilité des catholiques dans le vote de la loi Veil. Alors que le vote fut serré, plusieurs théologiens de renom (et habitués, comme par hasard, des médias “bien-pensants”!) légitimèrent pas des arguties tordues une “réforme de la législation” et les évêques hésitèrent à rappeler nettement la doctrine catholique. Seule Rome parla clairement, mais elle était trop loin pour avoir une réelle influence sur le débat politique.

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