Il en a parlé ! Il a désigné l’islamisme radical comme source d’un séparatisme radical qu’il faut combattre ! Alléluia ! Battez tambours, sonnez trompettes… Sauf qu’en faisant le bilan du discours, on se rend compte une fois de plus que les Français ont élu par inadvertance en 2017 un beau parleur qui a fait du théâtre mais a surtout la tête farcie par l’idéologie progressiste, celle de la gauche bon chic bon genre, dont le prétendu libéralisme se limite à supprimer l’ISF pour les valeurs mobilières et à favoriser l’effacement de la famille et les avancées destinées aux minorités « sexuelles ».
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Louis Hausalter : « Marion Maréchal reste une femme politique quoi qu’elle en dise »
Louis Hausalter, journaliste à Marianne, vient de publier Marion Maréchal, le fantasme de la droite. Il répond aux questions de Marc Eynaud pour Boulevard Voltaire.
https://www.bvoltaire.fr/louis-hausalter-marion-marechal-reste-une-femme-politique-quoiquelle-en-dise/ -
LES IDIOTS UTILES DU TERRORISME
Lien permanent Catégories : actualité, France et politique française, insécurité, islamisme, lobby 0 commentaire -
Jean Messiha : « Il y a un lien entre l’immigration et l’insécurité ! » (Vidéo)
Dans balance ton poste du 8 octobre 2020, Jean Messiha (RN) explique le lien entre l’immigration et l’insécurité.
https://www.tvlibertes.com/actus/jean-messiha-il-y-a-un-lien-entre-limmigration-et-linsecurite-video
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L’État peut-il faire faillite ? (2009) 2/2
3. Les véritables enjeux du déficit et de la dette publique
Le débat sur la dette publique et la possibilité d'une défaillance de l’État est obscurci par le flou qui entoure la notion de dette.
La faillite résulte techniquement d'une impossibilité de faire face à son passif exigible avec son actif disponible. En conséquence, le montant de la dette publique d'un État n'est qu'un aspect de la solidité ou de la vulnérabilité des économies développées.
Si effectivement, comme la plupart des ménages, l'Etat est titulaire d'un passif constitué de dettes, il possède également un actif infrastructures, immobilier, actifs financiers. Même si ces derniers ne sont pas directement mobilisables en paiement des dettes, une partie de ce patrimoine public est évaluable et évalué dans les comptes nationaux, ce qui implique une référence à un prix de marché et donc à la possibilité, au moins théorique, d'une cession de ces actifs. Les privatisations ne sont qu'une modalité de monétisation de ce patrimoine, ce qui pose par ailleurs d'autres problèmes (notamment de politique industrielle). En outre, une partie de ce patrimoine ne figure pas dans un bilan patrimonial et se diffuse dans l'économie productivité du travail (dépenses dans l'enseignement supérieur), expertise technologique (efforts publics de recherche et développement), niveau de vie...
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Lutte contre le séparatisme ou contre nos libertés?, par Guillaume de Thieulloy
Le 2 octobre, M.Macron a prononcé aux Mureaux (quartier emblématique du merveilleux «vivre-ensemble» chanté sur tous les tons par nos chers dirigeants) un important discours sur le «séparatisme».
J’ai déjà dit que le mot «séparatisme» me semblait particulièrement inadéquat pour définir le problème que l’islam pose à la France: l’objectif ultime des islamistes n’est pas de régner sur des quartiers où la loi française ne s’appliquerait plus (c’est déjà le cas dans plusieurs centaines de quartiers «sensibles»), mais de soumettre tout le territoire français à la charia.
Cela fait maintenant plusieurs décennies que la France a un problème islamique, mais les dirigeants font mine de ne pas comprendre.
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Menons le combat comme Sainte Jeanne d’Arc - Sermon de l’Abbé Gabard (FSSPX) à Bergerac (27/09/2020)
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L’État peut-il faire faillite ? (2009) 1/2
Face à la crise mondiale, les États sont devenus à la fois des remparts et les garants du maintien de l'ordre économique et social. Mais ne risquent-ils pas d'être exagérément fragilisés par la récession, les faillites d'entreprises et l'augmentation du chômage, qui viennent s'ajouter à un endettement souvent excessif ? La question, qui semblait encore Incongrue l'été dernier, peut désormais se poser : la faillite de l’État lui-même est-elle possible ?
Le 16 avril 2009, l'Agence France Trésor (AFT), organisme chargé de la gestion de la dette de l’État français, a procédé à l'adjudication de 8,57 milliards d'euros de titres de dette. Ce montant, en apparence considérable, est en réalité une opération courante dans la gestion de la dette française : l'AFT émet régulièrement des titres de dette de la France sur les marchés financiers ainsi, l’État français a emprunté 59,9 milliards d’euros depuis le 1er janvier 2009
I. Qu'est ce que la dette publique ?
Cette somme parait presque anecdotique, comparée au montant total de la dette publique française, estimée par l'Insee à 1327,1 milliards d'euros au quatrième trimestre 2008, et répartie comme suit
- 86,3 % pour l’État et organismes d'administrations centrales,
- 11,1 % pour les collectivités territoriales,
- 2,6% pour les organismes de Sécurité Sociale.
En 2007 François Fillon déclarait qu'il était « à la tête d'un État qui est en situation de faillite sur le plan financier ».
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Non à la France liberticide !
La France ressemble de plus en plus à un navire dont le commandant et les officiers s’obstinent à suivre un cap suicidaire, droit sur le récifs, et font régner à bord une discipline de plus en plus sévère et absurde tandis que les passagers se partagent entre soumission et révolte, mais toujours sans penser au bateau, uniquement à leurs peurs intimes et à leurs intérêts personnels. Notre pays continue à ouvrir ses portes à une immigration dont on pèse désormais le coût, non seulement sur la dépense publique, sociale, médicale, et sécuritaire, mais aussi et surtout de manière plus qualitative sur la dégradation de notre cohésion nationale. Et cette politique migratoire irresponsable s’inscrit dans une double perspective, progressiste, qui fait de l’immigration un devoir, et mondialiste qui fonde le progrès sur l’ouverture à tous les échanges, de biens, de services et d’individus.
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Le Samedi Politique avec Gérald Olivier – Covid, Etat profond, « fake-news media » : Trump contre tous ?
Le 3 novembre prochain, dans moins d’un mois, le verdict tombera… ou pas !
En route pour un deuxième mandat, Donald Trump aura vécu une année 2020 particulièrement mouvementée. Son bilan économique est largement chahuté par l’épidémie de Covid-19. Un point sur lequel le camp démocrate, fébrilement emmené par Joe Biden, a bien l’intention d’insister. La mort de George Floyd a également mis le feu aux poudres dans de nombreux Etats démocrates, donnant lieu à des situations véritablement insurrectionnelles agitées par des officines antiracistes, notamment financées par Soros.
De leur côté, les médias, comme en 2016, s’en donnent à cœur joie pour jouer leur partition simple à résumer : »Haro sur Trump ! ».
Journaliste spécialiste de la politique américaine et des Républicains, Gérald Olivier (Sur la route de la Maison Blanche Ed Jean Picollec) dessine le panorama de la dernière ligne droite de la présidentielle américaine. Une présidentielle tellement incertaine que nul ne peut affirmer aujourd’hui que le prochain président des Etats-Unis sera connu le 3 novembre prochain.