"Soixante-dix pour cent des Français ne veulent pas d’un second tour Macron-Le Pen. Ils révèlent par là qu’ils ont parfaitement compris en quoi la fixation d’une part de l’électorat protestataire du côté du Rassemblement national fige l’échiquier politique." © Hannah Assouline
"Le tollé provoqué par la une de Libération sur ces électeurs de gauche qui ne voteront plus Macron a eu une vertu : mettre au jour les mécanismes qui vont faire de cette année préélectorale un cauchemar pour tout citoyen ayant encore un peu foi en la res publica, la « chose publique »", analyse Natacha Polony, directrice de la rédaction de "Marianne".