De Constace Prazel sur Liberté politique :
Au bout d’un an, le confinement revient, les mêmes recettes sans réels effets, brandies par des gouvernants qui ne savent plus à quels saints se vouer. Triste recommencement d’un scénario que nul ne souhaitait voir se rejouer, et qui signe notre impuissance générale devant un virus qui fait éclater à la face du monde la perte du bon sens qui caractérise notre société, pour ne pas dire tout simplement la perte du sens.