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  • Dette publique : la bombe à retardement, par Jean-Baptiste Leon.

    Avec 2650 milliards d’euros au 4e trimestre 2020, la dette publique est un boulet mortifère : elle nous empêche de mener une politique économique efficace, elle condamne les Français à des impôts élevés et porte atteinte à la souveraineté de la France.

    Avant le premier confinement, la santé budgétaire de la France était déjà au plus mal, la Cour des comptes s’alarmait fin février 2020 du redressement « quasiment à l’arrêt » des finances publiques. Une crise économique et sanitaire plus tard, rien ne va plus.

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  • [vidéo] Robert Ménard : la France face au péril séparatiste

    Robert Ménard

    Alors que le projet de loi contre le séparatisme, rebaptisé «projet de loi confortant les principes républicains», est examiné au Sénat, une question se pose: la communauté nationale est-elle vraiment en train de voler en éclats ?

    Peut-on encore éviter le communautarisme ?

    Pour en débattre, Sputnik reçoit l’avocate Najwa El Haïté, adjointe au maire d’Évry, et Robert Ménard, maire de Béziers.

  • Zemmour/C News : allocution Macron, le Roi est nu.


  • La musique classique trop « colonialiste »

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    Paul Vermeulen

    Décidément, la censure racialiste s’exerçant contre les fondements de la civilisation européenne et chrétienne semble ne rien vouloir épargner. D'après The Tele­graph, le « déboulonnage » de la réalité historique de notre passé, qui concernait jusqu'à présent essentiellement des per­sonnalités, statues et noms de rues, s'étend peu à peu à tous les domaines de la vie quotidienne. Le quotidien britannique indiquait en début de semaine que l'université d'Oxford travaille ac­tuellement à réformer et moderniser ses programmes. La musique classique se­rait trop européocentrée et trop blanche. La musique classique serait « colonia­liste ». Et, par conséquent, il en irait de même de son enseignement.

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  • La bonne blague d’Emmanuel Macron.

    Le chef de l’Etat n’en rate décidément jamais une en matière de farces et attrapes… Nous en voulons pour preuve ses affirmations en matière d’augmentation des capacités de réanimation dans les hôpitaux, formulées lors de son allocution de mercredi 31 mars.

    Il commença bien sûr par réclamer à tous les Français « un effort supplémentaire » ! Mais, avant de détailler les restrictions imposées aux citoyens, le chef de l’Etat a demandé « un effort des soignants d’abord, pour augmenter nos capacités en réanimation ». Il a fixé un objectif chiffré, qu’il entend atteindre « dans les prochains jours » « un peu plus de 10 000 lits », contre « 7 000 » à l’heure actuelle, selon lui (7 665 en réalité, dont 7 053 déjà occupés). Comment compte-t-il y arriver ? En vérité, il n’en sait rien ce qui ne l’empêche pas d’avoir quelques pistes à nous proposer.

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  • Du communisme au Covid-19 : l’Etat du dressage social

    Du communisme au Covid-19 : l’Etat du dressage social

    Dans un texte publié sur Alliance pour la France, l’auteur montre les analogies troublantes entre le système communiste et ce que nous appelons la postmodernité, en particulier depuis la crise sanitaire du Covid-19, à travers le livre de Michel Heller (né en U.R.S.S en 1922), La Machine et les Rouages :

    L’Etat soviétique, nous dit Michel Heller, est une « école du dressage social ». Ce dressage social est apparu de manière patente dans la gestion gouvernementale de la crise du covid-19. Le confinement, le couvre-feu ont fait apparaître une criminalisation de la mobilité qui est aux antipodes de l’idéologie dite libérale du « laisser passer » et de la libre circulation des biens, des services et surtout des hommes. La mise en place de la fameuse « attestation de déplacement », l’évocation itérative d’un « passeport vaccinal », le vote d’un passeport sanitaire (le « certificat vert ») par le Parlement européen, ne sont pas sans rappeler l’instauration du passeport intérieur en U.R.S.S dans les années 30, les autorisations pour passer d’une ville à l’autre étant extrêmement limitées.

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  • Bernard Lugan : « Décoloniaux : nous allons aboutir à une réaction atomique, ils vont s’entre-dévorer, il faut laisser faire ! »

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    Qu’est-ce que le mouvement décolonialiste qui gangrène notre société ? Comment expliquer son implantation dans les mentalités, avec quelles références ? Et quel est le rôle de l’université de l’UNEF dans cette pensée ?

    A-t-on une chance d’en finir un jour ?

    Décryptage, analyse et perspective avec  pour Boulevard .

    L’université est-elle le berceau de la repentance ?

    Je ne sais pas si c’est le berceau mais, en tout cas, c’est le vecteur et un peu l’accoucheur de ce phénomène, surtout dans le domaine des sciences humaines. Je suis très sévère avec l’université, qui est mon corps d’origine dans lequel j’ai servi pendant plus de trente ans. Je suis très sévère avec la branche sciences humaines.

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  • La Monarchie ne réécrit pas l'histoire, elle l'assume, par Jean-Philippe Chauvin.

    L’Histoire est pleine de surprises et d’imprévus. Certes, la possibilité d’une instauration monarchique en France paraît fort lointaine et, surtout, difficile. Mais rien n’est impossible: l’exemple espagnol est la preuve que ce qui paraît improbable peut arriver.

    Pour la France, il y a le fort attachement des Français à 1789 et ses suites: c’est moins vrai aujourd’hui qu’il y a 20 ans. D’autre part, hormis le fait que la part “positive” de la Révolution selon l’opinion (qui n’a pas forcément raison au demeurant) est antérieure à l’établissement même de la République en 1792, une monarchie nouvelle n’aurait pas à rentrer en conflit avec l’Histoire, fût-elle désagréable pour les rois et les royalistes, mais à l’assumer (ce qui ne signifie pas pour autant s’y “rallier”..) et à la dépasser. Le regret n’est pas une politique et la monarchie nouvelle, qui sera évidemment attendue sur ce point, devra veiller à ne pas être une nostalgie romantique.

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