Le système recule niaisement – sauf à prendre ses agents médiatiques pour des super-machiavels – sur plusieurs fronts (pass sanitaire, tests, propagande affolante, vaccins obligatoires…) ; oui, je sais, on va me dire que c’est une tactique et qu’il va revenir à la charge plus tard. Il n’empêche : toute retraite est bonne à prendre, et tout ce que veulent les plus fous des gâteux et les « nonagénaires génocidaires » aux commandes (Schwab-Rothschild-Soros-Bergoglio-Prince Charles-Gates-Rockefeller-etc.) ne se met pas en place comme, ça – et l’échec du concert des sexagénaires de la lamentable bande rock Indochine le montre. La masse inerte ou incertaine veut bien aller dans une certaine direction, mais jusqu’à un certain point seulement. La bande de bras cassés du gouvernement peut difficilement persévérer comme ça. L’économie s’écroule – et le fait que dans le Reset tout le monde, Chine et Russie en tête, ne veuille pas jouer au jeu du petit suicide façon Merkel-Macron-Leyen, va limiter la durée de la partie de football unijambiste. On ne va pas pouvoir continuer, pour contredire la phrase de Sartre dans Huis clos. C’est comme de déclarer la guerre à la Chine et la Russie en discutant des benêts idéaux Woke et du sexe des anges et des transgenres. La réalité a fini pas rattraper les fous, qui ne croyaient qu’en leur raison (Chesterton).
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Lyon, capitale de « l’extrême droite » ?
Par Johan Hardoy ♦ Alain Chevarin est un ancien enseignant qui a rédigé de nombreux articles critiques sur les « extrêmes droites ». Son dernier livre, Lyon et ses extrêmes droites, traite des conditions historiques et politiques qui ont favorisé un développement particulier de ces courants de pensée à Lyon, au point que cette ville constituerait désormais « le laboratoire de l’union des droites ».
Avant de lui laisser la parole, nous remarquerons simplement que l’auteur « ratisse » très large en évoquant des mouvements défendant des conceptions du monde très diverses. Le préfacier considère cette méthode comme judicieuse, surtout dans une ville connue pour ses traboules, parce que ces « très nombreux courants et groupes concurrents ne sont pas des milieux étanches et que, par des voies dérobées au premier regard, une circulation existe d’un lieu à un autre qui eussent paru injoignables ».
Le recours aux amalgames, généralement largement condamné, est donc ici validé comme méthode en sciences sociales ! -
Autotests : l’incroyable talent du gouvernement
La chronique de Philippe Randa
Tout le monde le sait bien, on ne change pas une équipe de talent… Emmanuel Macron et ses ministres poursuivent ainsi un sans faute dans la gestion du Covid. La preuve avec leur « stratégie de dépistage en milieu scolaire », soit le déploiement des autotests, sensés ralentir la circulation de la pandémie. En voilà une idée qu’elle est bonne, n’est-ce pas ? « Une adhésion de 25 % à un dépistage hebdomadaire entrainerait une réduction du nombre de cas de 30 % par rapport à la situation actuelle, tandis qu’une adhésion de 75 % conduirait à une réduction de 50 % des contaminations », a communiqué le Ministère de l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports.
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Un coup d'État juridique
En date du 20 mai, censurant la loi de sécurité globale, c'est une vraie victoire que vient d'accorder le conseil constitutionnel aux rengaines de la gauche et aux campagnes de l'extrême gauche. La décision du petit aréopage présidé par Fabius a été prise au nom de vagues principes et au gré de quelques sophismes. Or, elle ne constitue pas seulement un camouflet pour les manifestants rassemblés la veille 19 mai devant l'Assemblée nationale, en solidarité avec les forces de l'ordre. Elle censure en même temps la présence de tous les partis non-communistes, à la seule exception de la soi-disant "France Insoumise". Elle contredit enfin une préoccupation bien réelle de l'opinion.
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Sur la page FB de nos amis du GAR : Pourquoi la Monarchie ? Partie 3 : la liberté du roi.
Autres avantages du mode de transmission héréditaire de la Monarchie : l’indépendance de la magistrature suprême de l’État mais aussi l’autonomie du politique à l’égard des féodalités de l’économique.
Le roi ne doit rien à personne, n’étant l’élu de personne et n’ayant pas été obligé de se construire une clientèle et de faire appel à des puissances financières pour accéder au pouvoir.
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USA, inflation à 4,2 % !!
L’inflation, mesurée par l’indice des prix à la consommation CPI, a atteint 0,8 % sur le mois en avril, selon le département du travail. Sur douze mois, la hausse des prix est de 4,2 %, au plus haut depuis treize ans.
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Les propagandistes, démasqués par les faits
Les « complotistes » auraient-ils vu juste ? L’hypothèse de la fuite du Covid-19 d’un laboratoire chinois de Wuhan n’est plus un délire conspirationniste. En avril 2020, le Prix Nobel de médecine Luc Montagnier avait été traité de vieillard sénile par le monde scientifique et l’unanimisme médiatique. La faute du codécouvreur du sida ? Avoir évoqué « une manipulation humaine » dans ce virus, attribué jusqu’alors à des causes naturelles.
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En PACA, le piège de Macron se referme sur LR
L’impasse actuelle est bien illustrée par la déclaration de Christian Jacob, qui affirme que « Les républicains, (sont la) première force d’opposition à Emmanuel Macron ». Pourtant, en soutenant Renaud Muselier, qui a de facto choisi de faire une liste LR-LREM, LR sort de son statut d’opposant clair au pouvoir en place, et abandonne ce rôle, à droite, au RN. Le parti vogue vers l’auto-destruction.
Nouvelle étape dans la reconfiguration du paysage politique
On saura sans doute un jour si les différents actes de cette pièce politique étaient écrits à l’avance, et par qui. Aujourd’hui, le déroulement se révèle idéal pour la majorité présidentielle. En scellant de facto une alliance dès le premier tour, LREM a pu quitter une compétition où elle risquait de faire un très mauvais score, pour intégrer la liste des sortants. L’entreprise de satellisation de LR se poursuit, le parti reconnaissant de facto être plus proche de LREM que du RN. Plutôt que de rester un astre indépendant de notre système politique, LR est totalement satellisé, ce qui pourrait provoquer un éclatement du parti, avec le départ de ceux qui refusent de rentrer dans l’orbite présidentielle.
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Alexandre Lohmann : crise mondiale, statu quo ou rupture inflationniste ? (VCPYR! #13)
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Les temps modernes de la pègre :
Fini les Corso-Marseillais. Autres temps, autres moeurs. En pire.
Il y avait Marcel Nacer Bennacer dit « Nénesse », Foued Allia alias Michel le Libanais, Abbes dit « le Petit Abbes « ou « Abbes le Nomade », « le parrain de la Goutte-d’Or » jusqu’à la fin des années 1970, et bien d’autres encore. Tous flanqués de patronymes dont se régaleraient les auteurs de polars ou les scénaristes des films noirs des années 1950-1960. Ils ont commencé dans la carrière en faisant les julots dans les hôtels borgnes – les « maisons d’abattage » comme on les appelait jusqu’au début des années 1980 – autour de Barbès, dans le 18e arrondissement de Paris.