
J’ai toujours cultivé les modes de pensée du marxisme-léninisme, y compris lorsque j’étais dans la RAF. La réalité accordée à la collectivité, dans cette optique, est proche de la notion de Volksgemeinschaft et éloignée de l’individualisme exacerbé. Dépasser le côté unilatéral de ce collectivisme est une chose aisée. Il faut se mettre en tête que l’homme, en tant qu’être spirituel, est libre. En tant qu’être doté d’esprit, il a des droits infinis du fait de son unicité. Il est une personne, c’est-à-dire qu’à travers lui résonne (personare signifie en latin “résonner à travers”) une essence supérieure.





