Cette petite plaquette est un outil précieux pour ceux qui mènent le combat pour restaurer une France catholique. Mais sa lecture sera bénéfique à tous ceux qui, plus modestement, veulent en savoir plus sur l’origine de cette notion de laïcité.
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Emmanuel Macron humilié par Joe Biden : les Français ont mal pour la France
Vu sur BVoltaire par Georges Michel
Vous voulez que je vous dise ? J’ai eu mal pour la France et, d’une certaine manière, pour Emmanuel Macron, qui, comme on dit aujourd’hui, nous représente « à l’international ». La séquence de la rencontre romaine Biden-Macron à la Villa Bonaparte, siège de l’ambassade de France près le Saint-Siège, restera sans doute un grand moment d’humiliation pour notre pays. Il paraît qu’il faut beaucoup d’humiliations pour faire un peu d’humilité, comme aimait à le répéter Bernadette Soubirous. Avouons que nous aurons été servis avec Emmanuel Macron, sans que, semble-t-il, son humilité personnelle n’ait fait des progrès considérables.
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Il y a bien une corrélation entre homosexualité et pédophilie dans l’Église
Peu de commentateurs du rapport Sauvé ont relevé l’inversion des proportions entre victimes garçons et filles (80% de garçons âgés de 10 à 13 ans victimes au sein de l’Eglise et 70% de filles âgées de 15 à 17 ans dans le reste de la société). Alors que l’explication saute aux yeux : plutôt que de parler de pédophilie, il faudrait mieux parler d’agressions et violences sexuelles à caractère homosexuel.
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Face à la terreur antifa : il est temps d'exiger la mise hors la loi des thuriféraires de l'anti-fascisme
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Le Samedi Politique avec Jean-Marie Le Pen : « Si les Français ne se réveillent pas, ils mourront »
Élu député en 56 à 27 ans, député européen pendant près de 30 ans. Il y a 20 ans, il se qualifiait pour le second tour de l’élection présidentielle face à Jacques Chirac. Il est le fondateur du Front National, Jean-Marie Le Pen est une figure incontournable de la politique française.
En exclusivité pour TVLibertés, il revient sur la campagne présidentielle, la candidature de Marine Le Pen et l’arrivée dans le débat politique de l’hypothétique candidat Eric Zemmour. Jean-Marie Le Pen revient également sur la crise vécue par la France depuis deux ans, conduisant l’Etat à élargir son pouvoir au détriment du peuple, un peuple dont la défiance est finalement bien faible.
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Les nouvelles révélations du juge Charles Prats sur la fraude fiscale et sociale. Un retraité sur deux est né à l’étranger.
Après un premier livre qui avait défrayé la chronique, le magistrat Charles Prats vient de faire paraître le 2e volume (livre disponible ici) de son étude effarante sur la fraude fiscale et sociale dont sont victimes les Français honnêtes.
Il était interrogé sur Sud Radio à cette occasion :
On apprend par exemple au passage qu’« un retraité sur deux est né à l’étranger », chiffre effarant qui souligne lui aussi à quel point l’immigration-invasion ruine les Français.
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La COP26 est une supercherie anti-écologique qui enrichit médias et ONG
Deux articles intéressants de Valeurs actuelles mettent en évidence cette supercherie :
Pourtant, l’organisation de ce sommet sur le changement climatique est pointée du doigt pour son hypocrisie. Et ce, avant même son ouverture. D’abord, la majorité des participants se rendront à Glasgow… en avion. Il s’agit de l’un des moyens de transport les plus polluants au monde, rappelle le média (…)
Certains participants n’hésiteront pas non plus à venir en jets privés. Extinction Rebellion a d’ailleurs dénoncé que ces « vols privés causent la moitié des émissions polluantes du secteur aérien » et ne servent qu’à « seulement 1% de la population mondiale ». En effet, les organisateurs de la COP26 invitent les participants, issus des pays placés sur « liste rouge » en lien avec l’épidémie de Covid-19, à venir en avion. Le but : arriver par certains points d’entrée afin de respecter l’isolement de dix jours réclamé par les autorités britanniques (…)
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Un coup d’État a-t-il été évité en France ?
Rémy Daillet, 55 ans, arrêté pour son rôle dans l’enlèvement de la petite Mia a été mis en examen le 22 octobre dernier pour terrorisme. Il projetait un coup d’État pour s’emparer de l’Elysée. L’enquête de la DGSI a mis en lumière l’ « Opération Azur » qui avait pour objectif de renverser le gouvernement pour redonner le pouvoir au peuple.
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En souvenir de Dominique Venner par Robert Steuckers 1/7
photographie : Louis Monier © - Rue des Archives
Il faut que je l’écrive d’emblée : je n’ai guère connu Dominique Venner personnellement. Je suis, plus simplement, un lecteur très attentif de ses écrits, surtout des revues Enquête sur l’histoire et la Nouvelle revue d’histoire, dont les démarches correspondent très nettement à mes propres préoccupations, bien davantage que d’autres revues de la “mouvance”, tout bonnement parce qu’elles exhalent un double parfum de longue mémoire et de géopolitique. Lire les revues que publiait Dominique Venner, c’est acquérir au fil du temps, un sens de la continuité européenne, de notre continuité spécifique, car je me sens peut-être plus “continuitaire” qu’“identitaire”, plus imbriqué dans une continuité que prostré dans une identité figée, mais c’est là un autre débat qui n’implique nullement le rejet des options dites “identitaires” aujourd’hui dans le langage courant, des options “identitaires” qui sont au fond “continuitaires”, puisqu’elles veulent conserver intactes les matrices spirituelles des peuples, de tous les peuples, de manière à pouvoir sans cesse générer ou régénérer les Cités de la Terre. Lire la Nouvelle revue d’histoire, c’est aussi, surtout depuis l’apport régulier d’Ayméric Chauprade, replacer ces continuités historiques dans les cadres d’espaces géographiques précis, dans des lieux quasi immuables qui donnent à l’histoire des constantes, à peine modifiées par les innovations technologiques et balistiques.
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Ces poisons qui rongent notre démocratie
Ivan Rioufol
La France ne peut, décemment, donner des leçons de démocratie. Idem pour l’Union européenne (UE). Les « élites » françaises et bruxelloises tordent le nez, ces jours-ci, sur la Hongrie de Viktor Orban : le premier ministre est accusé d’avoir aboli les contre-pouvoirs et de se cabrer, avec la Pologne, contre l’ « État de droit » décrété par l’UE. Mais notre Assemblée nationale est elle-même devenue la caricature d’une représentation populaire. L’autre nuit, la possibilité pour le gouvernement de reconduire le passe sanitaire jusqu’au 31 juillet 2022 a été votée en présence de 261 parlementaires sur 577 : 55 % des députés n’ont donc pas jugé utile de venir défendre des libertés. Or elles sont malmenées par le nouvel hygiénisme d’Etat qui rêve d’une société infantilisée où chacun serait numériquement identifié et suivi. Les députés ? Des obligés de l’Exécutif.