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  • « Aucune élection, fût-elle présidentielle, ne peut créer les conditions de la véritable révolution dont notre peuple a besoin »

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    BREIZH-INFO. Alain de Benoist, tout d’abord, quel regard portez-vous sur l’ascension médiatico-politique d’Eric Zemmour à quelques mois de l’élection présidentielle ? Cette ascension n’est-elle pas le signe de l’échec définitif du Rassemblement national en politique ?

    ALAIN DE BENOIST : Toute campagne présidentielle en France a ses coups de théâtre et ses événements imprévus. Cette année, c’est le phénomène Zemmour. Je le regarde avec curiosité – mais aussi avec détachement, tant je reste convaincu qu’aucune élection, fut-elle présidentielle, ne peut créer les conditions de la véritable révolution dont notre peuple a besoin.

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  • Mediapart et la liberté d’expression : Nique la France et blasphémer le roman national !

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    Si Mediapart se prétend un journal d’information « indépendant » sous prétexte qu’il ne vit que des abonnements de ses lecteurs, il n’en est pas moins fortement soumis à une idéologie d’extrême gauche et au préjugé, courant dans ce milieu, de détenir la vérité. Vendredi dernier, il donnait la parole, sur son blog, à un enseignant-chercheur, membre de La France insoumise, qui fustige CNews, coupable, à ses yeux, d’avoir « franchi toutes les lignes rouges ». Yvan Rioufol n’a-t-il pas, récemment, invité Renaud Camus, le père du « Grand Remplacement », qui l’a longuement évoqué, sans que son interlocuteur le recadre ?

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  • Il nous faudra faire montre d’un peu d’indulgence à l’égard de la présidente du tribunal correctionnel de Paris, Isabelle Prévost-Desprez.

    Car, même si elle ne brille pas toujours par la vigueur de ses avis et la force de ses décisions face à la racaille islamique, elle a rendu vendredi 5 novembre un jugement d’une fermeté inattendue contre l’ami voyou d’Emmanuel Macron, le Franco-Marocain Maroine (dit Alexandre) Benalla.

    « Vous aviez été investi d’un certain pouvoir, réel ou supposé, et vous avez trahi la confiance qui vous avait été faite. » La présidente de la 10chambre correctionnelle de Paris, Isabelle Prévost-Desprez, a assorti d’un ton sévère l’annonce du jugement de son tribunal.

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  • Donald Trump, une saga américaine (1/2)

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    Dans un portrait en deux parties, Laurène Jacquerez revient sur l’histoire de Donald Trump, ce président des États-Unis qui continue à agiter le paysage politico-médiatique et à porter une vision d’une Amérique puissante. Voici la première partie de ce portrait.
    Polémia

    Donald Trump, ce n’est pas seulement une campagne présidentielle inattendue suivie d’un mandat placé sous le signe de l’hostilité. Donald Trump, c’est aussi l’homme qui a conquis par ses réalisations immobilières les quartiers les plus chics du monde entier, en commençant par Manhattan. C’est au cœur de ce dernier qu’en lettres d’or son nom brille au-dessus de l’entrée monumentale du gratte-ciel qui porte son nom de 202 mètres de haut dans la Cinquième Avenue.

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  • Cette année-là : Privilège blanc ! C’est grave, docteur, d’être Blanc ?

    Pour cette nouvelle édition, « Cette année-là » explore les racines du privilège blanc, à l’occasion de la sortie du livre de Georges Guiscard, « Le Privilège blanc – Qui veut faire la peau des Européens ? » .
    Comment une notion aussi délirante que le privilège blanc s’est-elle imposée aussi rapidement de part et d’autre de l’Atlantique ? D’où vient-elle ? Que veut-elle ? Ni plus ni moins qu’ « abolir la race blanche », selon ses promoteurs ! Bienvenue chez les fous dangereux…
    L’émission est présentée par Patrick Lusinchi, directeur artistique, François Bousquet, rédacteur en chef, et avec Romain Petitjean, directeur de la coordination et du développement de l’Institut Iliade.
    Le rendez-vous musclé et impertinent d’Eléments, le magazine des idées.


    https://www.tvlibertes.com/cette-annee-la-privilege-blanc-cest-grave-docteur-detre-blanc

  • Eric Zemmour : « Je ne suis ni le candidat des bourgeois, ni celui des classes populaires. Je suis celui qui parle de la France aux Français »

    Vu sur TVL

    Eric Zemmour sur BFMTV ce dimanche : « Je ne suis ni le candidat des bourgeois, ni celui des classes populaires. Je suis celui qui parle de la France aux Français ».

  • Janez Janša : « Le mouvement Antifa est une organisation terroriste mondiale »

    Janez Janša : « Le mouvement Antifa est une organisation terroriste mondiale »

    Le Premier ministre slovène Janez Janša, qui préside le Conseil de l’Union européenne jusqu’au 31 décembre, vient de prendre position suite à des échauffourées ayant eu lieu à Nantes à l’occasion d’un meeting d’Éric Zemmour.

    « [Le mouvement] Antifa est une organisation terroriste mondiale soutenue par le capital des spéculateurs financiers qui profitent du chaos provoqué par [ses] actions ».

    https://www.lesalonbeige.fr/janez-jansa-le-mouvement-antifa-est-une-organisation-terroriste-mondiale/

  • Arnaud Guyot-Jeannin : « Le nationalisme est historiquement de gauche, mais s’est déplacé progressivement à droite… »

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    Dans votre essai, Critique du nationalisme, on voit bien la distinction que vous faites entre « patriotisme » et « nationalisme », le premier constat voulant que nous soyons tous issus de la terre de nos pères, tandis que le second aurait plutôt tendance à être une construction intellectuelle. À ce titre, ces concepts sont-ils forcément de  ou éventuellement de gauche ? Ou n’ont-ils tout simplement rien à voir avec ces étiquettes ?

    Je m’oppose au nationalisme moderne au nom du patriotisme traditionnel. Néanmoins, les deux sont souvent confondus.

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  • Culture victimaire et bataille mémorielle autour de Napoléon, par Philippe Conrad

    Culture victimaire et bataille mémorielle autour de Napoléon, par Philippe Conrad

    Déjà en 2005, la France – alors présidée par Jacques Chirac – avait brillé par son absence aux commémorations de la bataille d‘Austerlitz, l’une des plus éclatantes victoires de Napoléon. Les autorités de l’époque avaient en effet cédé aux exigences d’un « historiquement correct » qui continue, depuis, à faire les dégâts que l’on sait. Au moment où s’imposent chez les Anglo-Saxons la cancel culture et l’idéologie woke, il n’est guère surprenant de voir la perspective du bicentenaire de la mort du prisonnier de Sainte-Hélène ranimer le débat autour de sa mémoire.

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