Jeudi 4 novembre, à Calais, un migrant a perdu la vie, percuté par un train alors qu’il traversait la voie ferrée. Pour Marc de Fleurian, élu du Rassemblement national à Calais, ce tragique événement aurait vraisemblablement pu être évité si le gouvernement et les associations locales avaient respecté la loi. L’élu revient également sur la grève de la faim d’un prêtre catholique calaisien, qui visait à sensibiliser l’opinion publique sur le sort des migrants : pour lui, il est impossible de proposer un accueil inconditionnel pour les migrants qui deviennent souvent des « hôtes indésirables ».
Marc de Fleurian expose son point de vue au micro de Boulevard Voltaire.