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  • Le JT de 20H de TF1 écrase la concurrence avec Marine Le Pen et ses 5,8 millions de téléspectateurs

    Mardi 13 avril au soir, TF1 recevait la candidate du Rassemblement National qualifiée pour le second tour de l’élection présidentielle. 

    Gilles Bouleau présentait le traditionnel JT de 20H de TF1 avant de recevoir en compagnie d’Anne-Claire Coudray la représentante du camp national, Marine Le Pen.

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  • La grande faute sociale de la Droite...

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    Les soirées électorales sont devenues, depuis longtemps, des moments gênants de la vie démocratique française, surtout en temps de présidentielle : chacun y va de sa langue de bois ou de velours, pour finir en incantation et appel aux valeurs de la République, toujours menacées et donc à sauver, ce qui devient lassant et peu convaincant à la fin. C’était, dimanche soir, le bal des hypocrites, et le temps de décence n’était plus de mise pour se rallier au président sortant, avec quelques précautions oratoires bien sûr, mais qui ne trompaient personne. 

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  • De la démocratie et autres fariboles, par Jean-Paul Brighelli

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    Violemment attaqué par certains commentateurs sur ce qui leur apparaissait comme une prise de distance vis-à-vis de l’Ukraine et une condamnation molle de la Russie, Jean-Paul Brighelli élargit le débat : sommes-nous bien aptes à juger de régimes qui n’ont rien à voir avec le nôtre — si tant est que nous soyons nous-mêmes en démocratie ?

    En toutes choses il faut remonter à l’origine : la démocratie a été instaurée par de minuscules États grecs vers le Ve siècle av. JC. Elle supposait une participation générale des citoyens, ce qui excluait les femmes, les métèques (qui étaient nés hors les limites de la cité, qu’ils soient Grecs ou non) et les esclaves. Soit les 9/10ème de la Cité.

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  • Après le premier tour : l'avis de Philippe Randa

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    Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés.

    (Propos recueillis par Guirec Sèvres)

    Vous vous attendiez aux résultats du 1er Tour de l’élection présidentielle ?

    Depuis des mois, c’est l’ordre d’arrivée que donnaient les instituts de sondage avec unanimité, du moins pour le trio de tête ; on ne peut pas véritablement parler de surprise, même pour ceux, dont je faisais parti, qui n’en était pas convaincu. Ce qui m’a surpris, toutefois, c’est le score important d’Emmanuel Macron : j’imaginais que la détestation du personnage et de son gouvernement était telle que son score se situerait beaucoup plus bas… de même pour ceux de Marine Le Pen ou de Jean-Luc Mélenchon, même si le tiercé de tête devait être celui-là.

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  • Donoso Cortés Une critique du libéralisme 1/2

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    Par Ego Non

    Si l’Éducation nationale faisait son travail, elle mettrait au programme des lycées les classiques de la pensée politique, au même titre que les grands auteurs du patrimoine littéraire. L'homme deviendrait alors un animal politique. Ego Non, qui tient la chaine YouTube du même nom, nous offre plus qu'une session de rattrapage - une introduction l’art de (se) gouverner.

    Curieuse est la postérité de Juan Donoso Cortés, marquis de Valdegamas. Son nom ne semble réapparaitre que lorsque les certitudes s'envolent, dans l'écho des catastrophes. À trois reprises, note Carl Schmitt, les racines de l’Europe ont été profondément ébranlées : lors des multiples révolutions de 1848, à l’issue de la Première Guerre mondiale et de la révolution bolchevique, et à la suite de la Deuxième grande guerre. « Chacun de ces événements de l’histoire a fait que l’on a soudain parlé de Donoso Cortés dans toute l’Europe », note le juriste allemand dans Donoso Cortés. Quatre essais. « Mais chaque fois seulement pour un instant, seulement pour les secondes de frayeur qu'inspire le danger, quand les scellés sont brisés et le sens du secret découvert. Cet instant une fois passé, son nom aussi s'évanouissait en même temps que la frayeur du moment. » Ce retour épisodique de Donoso Cortés sur le devant de la scène intellectuelle doit nous interroger. Peut-être est-il temps, enfin, de redécouvrir ce grand penseur - avant qu'il ne soit trop tard.

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  • Lyon : Un groupe d’extrême-gauche a envahi la mairie du 1er arrondissement, cassé des isoloirs, dégradé des panneaux d’affichages de candidats et interrompu la fin du dépouillement (MàJ)

    Vu sur FdeSouche

    C’est vers 21 h 15 que le mouvement a commencé. Une centaine de personnes, issues de l’ultra-gauche, se sont réunies place de la Croix-Rousse pour protester contre la sélection d’Emmanuel Macron et Marine Le Pen en vue du second tour de l’élection présidentielle. Des tirs de mortier ont été constatés. Le groupe a ensuite pris la direction du centre par les pentes, dégradant, au passage, du mobilier urbain.

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  • Didier Maïsto : Vote d’une partie de l’électorat Mélenchon pour Le Pen : « Je comprends cette décision »

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    L'ancien président de Sud Radio et soutien de Jean-Luc Mélenchon revient sur la défaite de ce dernier et sur le second tour qui offre un choix cornélien pour l'électorat « insoumis ».

    Marc Eynaud. Jean-Luc Mélenchon échoue aux portes du second tour. Vous étiez l’un de ses soutiens, comment avez-vous réagi, suite à cette défaite ?

    Didier Maïsto. Ce sont des sentiments un peu peinés d’avoir porté aussi haut ce programme. Échouer à quelques voix, c’était infiniment faible comme écart. J’en veux beaucoup aux sondeurs qui ont consciemment minimisé le vote de Jean-Luc Mélenchon. La dynamique des derniers jours était excellente, les meetings étaient pleins, que ce soit dans les grandes villes, dans la France périphérique ou dans les campagnes. Ce n’est pas la même chose de présenter Jean-Luc Mélenchon comme le 2e homme que comme « l’homme qui peut battre Emmanuel Macron ». Évidemment, il y a cette déception-là, mais on a semé des graines, on a un programme certes pacifique, mais révolutionnaire à bien des égards. On a creusé un sillon et, maintenant, il faut continuer à creuser et à avancer dans toutes ces belles choses que nous avons défendues.

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  • Jordan Bardella développe une proposition phare de Marine Le Pen sur le pouvoir d’achat : « Nous rendrons une TVA à 0% sur un panier de 100 produits pour faire en sorte que le reste à vivre ne soit plus un reste à survivre »

    Vu sur TVL

    Au micro de RTL ce mercredi 13 avril, Jordan Bardella, président du Rassemblement National défendait les mesures de sa candidate, notamment sur le pouvoir d’achat et l’économie. 

    Jordan Bardella répondait à Alba Ventura sur la proposition de créer un panier de 100 produits avec une TVA à 0% : « Nous rendrons une TVA à 0% sur un panier de 100 produits pour faire en sorte que le reste à vivre ne soit plus un reste à survivre »

  • Le Diable Blanc de la Mer Noire : les aventures d’un officier russe de l’Armée blanche

    Aventures d’un officier russe ou Le Diable Blanc de la Mer Noire a été publié pour la première fois en français chez Plon en 1925. Son auteur est resté anonyme. On sait néanmoins qu’il passa ses premières années dans le vaste domaine princier de ses parents et entra en 1900, à onze ans, dans le Corps des Pages de Sa Majesté Nicolas II. Des cavaliers cosaques lui apprirent à monter à cheval. En 1907, il s’engagea dans le régiment des Chevaliers-gardes de Sa Majesté l’Impératrice douairière. Il s’illustra bravement dès le début de la Première guerre mondiale, recevant la croix de Saint-Georges pour avoir fait sauter une station de chemin de fer à l’arrière des lignes ennemies.

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