Selon une étude Ifop pour La Croix, les candidats d’extrême droite réalisent, au total, 40 % chez les catholiques. Pour autant, le vote à gauche ne disparaît pas, avec une percée de Jean-Luc Mélenchon chez les pratiquants réguliers.
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Italie, le banquier Mario Draghi a déjà programmé sa démission
Programmé pour faire entrer l’Italie dans le nouvel ordre mondial théorisé à Davos, une rumeur qui provient directement d’un ministère italien fait état d’une probable démission de Mario Draghi en août.
Affari Italiani écrivait hier, et c’est repris par les grands quotidiens italiens aujourd’hui :
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Sacond tour : TOUT SAUF MACRON !
Un communiqué de Pierre Vial, président de Terre et peuple
Les choses sont claires car les masques tombent : Jean-Luc Mélenchon, le « révolutionnaire » en peau de lapin, Valérie Pécresse, la représentante de la droite bourgeoise, friquée, versaillaise, les débris de la gauche et de l’extrême-gauche (Anne Hidalgo, Fabien Roussel, Yannick Jadot, Philippe Poutou) appellent à « faire barrage à l’extrême-droite » - donc, toute honte bue, à voter Macron. C’est la grande coalition de l’Anti-France, le Système à visage découvert.
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Énergie : l’autre bataille derrière la guerre en Ukraine | Bernard Accoyer
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Embargo énergétique contre la Russie : l’UE se tire une balle dans le pied
Après des semaines d’âpres négociations, les pays membres de l’UE ont finalement décidé jeudi, dans le cadre d’une cinquième salve de sanctions qui entrera en vigueur début août, outre l’interdiction d’exportations vers la Russie à hauteur de 10 milliards d’euros, le gel des avoirs de plusieurs banques russes ou encore l’élargissement de leur « liste noire » à plus de 200 proches du Kremlin, la mise en place d’un embargo sur le charbon russe. Une dernière mesure qui devrait leur coûter très cher puisque, rappelons-le, l’UE n’importe pas moins de 45 % de son charbon de Russie.
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Donoso Cortés : une philosophie contre-révolutionnaire de l’histoire 1/4
Tout avait été dit, le 4 janvier 1849, à la tribune du parlement espagnol, lorsqu'un député s'avança pour donner son avis dans le débat de politique générale. L'opposition progressiste venait de protester contre les mesures autoritaires prises par le gouvernement du général Narvaez lors des troubles consécutifs aux révolutions européennes de 48. La majorité conservatrice dont faisait partie ce député, avait affirmé son libéralisme et sa bienveillance à l'égard des progressistes, en se cantonnant dans les questions de fait et en se gardant bien d'attaquer de front les positions doctrinales de ses adversaires, comme il est de règle dans les assemblées. L'orateur, avec une éloquence à la fois riche et fougueuse, commença par déclarer qu'il venait enterrer au pied de la tribune, leur sépulture légitime, toutes les idées de l'opposition, c'est-à-dire les idées libérales, « idées stériles et désastreuses, dans lesquelles se résument les erreurs inventées depuis trois siècles pour troubler et dissoudre les sociétés humaines ». La publication de ce Discours sur la dictature où Juan Donoso Cortes annonçait l'avènement mondiale de la dictature et proclamait la légitimité de la « dictature d'en haut » contre la « dictature révolutionnaire », valu à son auteur une immense renommée dans toute l'Europe.
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LR : la consigne de vote de Valérie Pécresse ne passe pas
Lu dans Valeurs Actuelles :
[…] Depuis 2017, le parti est écartelé entre un ligne conservatrice, très à droite, incarnée notamment par Laurent Wauquiez ou Éric Ciotti, et une ligne plus modérée, celle portée pendant la campagne par Valérie Pécresse. La contre-performance de la candidate fait inévitablement resurgir ces lignes de fracture. Le parti doit-il jouer, une fois encore, la carte du “Front républicain” contre le Rassemblement national ? S’opposer à Emmanuel Macron ? Ou tenir une ligne “ni, ni” ? Lorsqu’elle monte sur scène, 20 minutes après l’annonce des résultats, la présidente de la région Île-de-France a fait son choix :
« Malgré les profondes divergences que j’ai martelées tout au long de la campagne, je voterai en conscience Emmanuel Macron pour empêcher l’arrivée au pouvoir de Mme Le Pen et le chaos qui en résulterait. »
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TU VOTES LE PEN ?
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Marion Maréchal réagit au résultat du premier tour de la présidentielle : « Je ne sais pas si Marine Le Pen peut gagner (…) il y a semble-t-il une chance »
Invitée au micro de Sonia Mabrouk sur Europe 1, Marion Maréchal estime une victoire possible de Marine Le Pen au second tour, du moins il y aurait « une chance ».
Après la défaite d’Eric Zemmour, arrivé en quatrième position avec 7% des suffrages, Marion Maréchal reste dans une perspective de recomposition de la vie politique.
Interrogée sur le second tour Macron-Le Pen, l’ancienne députée analyse les sondages et pense qu’il y aurait « une chance » pour sa tante d’être élue présidente de la République française.
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Une histoire de la résistance en Europe occidentale
Olivier Wieviorka, historien et professeur à l’Ecole normale supérieure de Cachan, s’est spécialisé dans l’histoire de la résistance durant la seconde guerre mondiale.
De la France à la Norvège, de la Belgique aux Pays-Bas, tous les pays ont exalté leur résistance intérieure et leurs pouvoirs en exil, se plaisant à souligner le rôle éminent que ces forces patriotiques avaient joué dans la libération de leur nation. Jusqu’aux années 1970, cette lecture de l’histoire avait valeur d’évangile.