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Dans une étude précieuse – que Polémia publie en 6 parties tant elle est importante et complète – André-Victor Robert analyse en profondeur la politique migratoire que devrait adopter la France. Dans cette cinquième partie, ce haut fonctionnaire étudie les filières incontrôlées de l’immigration. Retrouvez l’intégralité de l’étude au format PDF en cliquant sur ce lien.
Polémia
Au total donc, les flux d’immigration sont hors de contrôle, l’assimilation n’est plus qu’un lointain souvenir, et la France échoue même plus basiquement à intégrer ses immigrés. Comment en est-on arrivé là ? C’est évidemment le résultat de lâchetés et d’aveuglements à tous les niveaux[1], face à des filières migratoires souvent bien rodées et parfois armées par des réseaux criminels.
Selon le Progrès, le jeune homme, de nationalité marocaine et en situation irrégulière en France, a été refoulé de l’établissement pour une raison encore inconnue.
Une femme a été hospitalisée dans un état critique, mercredi en fin de journée, à la suite d’une agression à Villeurbanne, dont l’auteur s’en est pris à trois autres personnes, avant d’être interpellé.
Selon les informations du Progrès, il s’agit d’un jeune homme âgé de 25 ans, domicilié à Villeurbanne.
Loin du bruit médiatique, loin de ce que l’on considère en Europe comme des enjeux majeurs, les relations Afrique – France actuelles illustrent à merveille une tendance de fond qu’il convient d’analyser.
Les signaux « faibles » (mais pas que), révélateurs d’une exaspération Africaine envers la France sont nombreux.
Un nouveau volet de l’étude sur les discriminations à l’embauche dans la sphère publique montre que déclarer son état de grossesse ou de parentalité dans sa candidature réduit de 15 % les chances d’obtenir un entretien d’embauche.
DAVOS/SWITZERLAND, 27JAN08 - Klaus Schwab, Founder and Executive Chairman, World Economic Forum addresses the audience during the session 'Message from Davos: Believing in the Future' at the Annual Meeting 2008 of the World Economic Forum in Davos, Switzerland, January 27, 2008. Copyright by World Economic Forum swiss-image.ch/Photo by Remy Steinegger
Ce n’est pas la première fois que Bill Gates intervenait au G20 : il l’avait déjà fait en 2011. Cette fois, il a récidivé aux côtés d’un autre invité de marque, encore plus mondialiste que lui : Klaus Schwab a prêché, le 16 novembre, devant les chefs d’État des vingt plus grandes puissances du monde assortis, curieusement, de l’Union européenne. « Actuellement, ce à quoi nous sommes confrontés, a expliqué le président du conseil d'administration du World Economic Forum basé à Genève et connu par sa réunion annuelle à Davos en Suisse, c’est une restructuration de notre monde profonde, systémique et structurelle. » Toute personne normalement constituée s’alarmerait devant l’ampleur des destructions civilisationnelles qu’on devine sous ce mot. Pas Klaus Schwab, qui appelle au contraire de ses vœux ce vaste coup de pelle.
Malgré les refus du Grand Rex puis du théâtre du Gymnase, la soirée de lancement de l’Omerta a bien eu lieu, à la Palmeraie. Devant plusieurs centaines de personnes, Régis Le Sommier a présenté ce nouveau média qui propose essentiellement des documentaires. Les trois premiers concernent :
« Front russe : l’Ukraine de Poutine face à la contre-attaque »,
« Arménie, la guerre oubliée »,
« Trans : confusion des genres ». Ce documentaire, réalisé par Amélie Menu, s’attaque à la transidentité. Amélie Menu a souffert de dysphorie de genre à l’aube de sa vingtaine. La réalisatrice ne se reconnaissait pas dans les standards de la féminité et ce décalage créait en elle une grande souffrance.