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Fabien Bouglé : « La question de la souveraineté énergétique des nations va être une question cruciale dans les décennies et les siècles à venir » [Interview]
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Le nouveau Passé-Présent - Espagne 1936-1939 : la guerre dans la guerre
Jamais, nulle part ailleurs dans le monde, un conflit n’aura attiré la totalité des nuances de la gamme idéologique, en passant du fascisme à l’anarchisme. Pour cette raison seule, la guerre d’Espagne reste unique. Et ses nuances principalement dans le camp républicain vont rapidement se transformer en division et ses divisions se transformer en affrontements directs et sanglants. Entre le Parti communiste espagnol soutenu par l’URSS de Staline, les anarchistes de la CNT et le POUM léniniste antistalinien, la lutte est féroce et sanglante.
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500 smartphones ont été offerts aux migrants de Calais
Ce mardi 26 septembre, en début d'après-midi, 500 smartphones ont été offerts aux migrants, par l'association Emmaüs, rapporte France info.
Il s'agit d'un nouveau projet, initié par les Ateliers du Bocage, une association liée à Emmaüs. Une institution française avait légué 55.000 téléphones aux Ateliers du Bocage qui ont pu en reconditionner 28.000. Sur le principe du "café suspendu", les Ateliers ont décidé que pour un smartphone vendu, un autre serait donné à une personne vulnérable. C'est ainsi que l'Auberge des migrants, à Calais, a pu en récupérer 500 ce 26 septembre.
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La commission d’expulsion du tribunal de Lille émet un avis défavorable à l’expulsion vers l’Algérie de Sana, une ancienne djihadiste, elle représente pourtant “un danger pour la société” selon le préfet (MàJ)
13/09/23
Un portrait d’une jeunesse malmenée qui ne fait pas dévier le préfet nordiste de sa conviction. “Etre victime d’une enfance aliénante n’empêche pas de représenter par la suite un danger grave pour la société française”, balaye Georges-François Leclerc d’un revers de main. Voilà pourquoi il a paraphé le bulletin de notification d’expulsion envoyé à Sana le 21 août dernier, convoquant de fait cette commission.
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Entretien avec Robert Steuckers sur l'Europe, le néo-nationalisme, l'immigration, etc. 4/6
Notons également que l'immigration, dès ses débuts, a brisé les solidarités ouvrières spontanées et naturelles en hétérogénéisant les masses travailleuses. L'immigration a ainsi, en Wallonie et en Campine, ruiné la combativité ouvrière en disloquant sa cohésion ethnique. Une classe sociale laborieuse qui n'a plus d'homogénéité, plus de chansons de combat, plus de souvenirs communs, est condamnée à être absorbée et digérée dans le ventre mou du libéralisme. Les insurrections ouvrières de longue durée, comme celle de l'hiver 60-61 ou celle du Limbourg en 1966-67 (parallèle à celle de la Ruhr), ne sont plus possibles désormais. L'immigration a été une arme particulièrement pernicieuse, utilisée par le capital vagabond et cosmopolite, pour anéantir l'esprit de résistance de nos peuples ; la social-démocratie et la gauche hystérique et immigrationniste ont été les complices honteuses de ce forfait.
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Éloge du duel
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Zoom - Corentin Perrigny : Le pays réel dans la Ligne droite
Corentin Perrigny est la voix matinale de Radio Courtoisie. En compagnie de Baudouin Wisselman, il anime pour une nouvelle saison "Ligne droite" qui réveille quotidiennement les auditeurs de la radio du pays réel à partir de 7h00 du matin. Ayant pour devise cette phrase de Gustave Thibon, : "Aie peu, sois beaucoup", Corentin Perrigny participe à une aventure radiophonique qui participe à l’essor de la presse alternative. TVL a demandé au jeune journaliste matinalier de Radio Courtoisie de présenter son parcours, son métier et les programmes qu’il présente.
https://tvl.fr/zoom-corentin-perrigny-le-pays-reel-dans-la-ligne-droite
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Pourquoi pas une guerre mondiale ?
Plus de 18 mois se sont écoulés depuis le lancement de l’opération militaire spéciale (OMS) de la Russie, dont les objectifs déclarés sont les suivants :
- assurer la sécurité de la région du Donbass,
- démilitariser et dé-nazifier l’Ukraine
- et garantir son statut de neutralité à perpétuité.
Depuis lors, l’Occident collectif a fait un certain nombre de choses pour aider la Russie et pour se nuire à lui-même. Les sanctions antirusses, par exemple, ont permis d’atteindre de nombreux objectifs : elles ont débusqué une grande partie de la «cinquième colonne» russe et l’ont poussée à quitter le pays ; elles ont incité de nombreuses entreprises occidentales à cesser leurs activités en Russie, en vendant leurs actions à des sociétés russes à des prix défiant toute concurrence ; le refus d’accès au réseau bancaire SWIFT et les attaques spéculatives contre la monnaie russe ont isolé la Russie de l’Occident sur le plan financier et ont mis un terme à l’expatriation des bénéfices et à diverses formes de fuite des capitaux, freinant l’inflation dans la plupart des secteurs (à l’exception des véhicules de tourisme) ; et les bouleversements considérables que les sanctions, ainsi que la destruction du gazoduc Nord Stream ordonnée par Biden, ont provoqués sur les marchés mondiaux de l’énergie, ont fait grimper les recettes d’exportation de la Russie dans une mesure tout à fait embarrassante.
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Maurice Bardèche, Européen fidèle
Après avoir écrit pour la même collection la biographie condensée d’Henri Béraud, de Léon Daudet, de Henry de Monfreid, de Hergé et de Saint-Loup, Francis Bergeron évoque cette fois-ci la vie d’une personne qu’il a bien connue : Maurice Bardèche.
On sait que Bardèche fut l’exemple-type de la méritocratie républicaine hexagonale. Ce natif d’un village du Cher en 1907 montra très tôt de belles dispositions intellectuelles pour l’étude et la littérature. Excellent élève, ce boursier se retrouve à l’École normale supérieure (E.N.S.) où il allait côtoyer une équipe malicieuse constituée de José Lupin, de Jacques Talagrand (le futur Thierry Maulnier) et de Robert Brasillach, l’indéfectible ami. « Brasillach lui fait du thé, lui offre des gâteaux catalans. Mais la culture littéraire de Brasillach date un peu; Bardèche lui fait découvrir à son tour Proust, alors qu’il vient d’obtenir le prix Goncourt, Barrès, dont les funérailles nationales datent tout juste de deux ans, et Claudel, ancien de Louis-le-Grand, dont l’œuvre est déjà reconnue (p. 16). »