S’il apparaît maintenant évident que les élites occidentales semblent éprises d’une envie de suicide grandiose, les peuples eux-mêmes ont, pour certains et heureusement, des aspirations fort différentes.
Eh non, tout le monde ne veut pas s’autolyser plus ou moins gaiment pour se syntoniser avec Gaïa en conservant un niveau pourtant trop bas de dioxyde de carbone, par contrition sur un passé fantasmé et un futur cauchemardé ou pour des lubies démographiques imbibées de gros malthusianisme qui tache : il semble en effet que nombre d’individus ne se sentent pas spécialement enclins à disparaître sans trop moufter.