Une fois de plus, Rennes a renoué avec sa vieille tradition consistant à voir l’extrême gauche locale s’adonner à une « manifestation sauvage » dans le centre-ville. Au détriment des commerçants, des habitants… et des contribuables.
Cette déambulation de groupes violents dans les rues rennaises est monnaie courante depuis de nombreuses années. À tel point qu’il devient difficile de recenser l’ensemble de ces « manifs sauvages », le dernier épisode en date remontant à la contestation du printemps 2023 face à la réforme des retraites.
À l’époque, nous relevions déjà que les groupes « antifas » composés de quelques centaines de radicaux s’étaient attaqué à des commerces, à des voitures ou encore à des hôtels sans jamais être réellement inquiétés par les forces de l’ordre.