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  • Emmanuel Macron, adepte de la fuite en avant

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    (Crédit image : Paolo Feser | Unsplash)

    Donald Trump est allé dire qu’il ne protègera pas un pays européen qui ne ferait pas sa part au sein de l’OTAN. Il n’en fallait pas plus pour qu’Emmanuel Macron se sente investi d’une mission nouvelle en remplacement de la fin possible du leadership américain. Il trouva là l’occasion de bomber le torse et de dire qu’il ne fallait pas exclure la possibilité d’envoyer des troupes sur le terrain en Ukraine.

    Agitation sur les plateaux de télévision

    En dépit du rejet systématique de cette idée par tous les pays de l’OTAN, on a eu droit à une agitation sans précédent sur tous les plateaux de télévision française. Loin d’être pertinente ou vraisemblable, la proposition d’Emmanuel Macron est davantage l’exploitation de l’aspiration profonde et compréhensible de la France de se distinguer.

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  • Berlin veut faire taire l’opposition politique, comme en France

    Macron et Scholz, uni dans un même combat : faire taire leur opposition politique
    Macron et Scholz, uni dans un même combat : faire taire leur opposition politique

    « Combattre résolument l’extrémisme de droite : utiliser les outils de la démocratie défensive » peut-on lire dans un document de 16 pages du ministère allemand de l’Intérieur. Des propos graves pour faire taire toute voix dissidente au système corrompu.

    Le gouvernement allemand de Scholz veut « agir contre la droite » dénoncée comme un « ennemi de notre démocratie »

    Les élections européennes arrivent et tant Macron que Scholz, et les institutions bruxelloises, craignent une défaite cuisante tant leur politique en tout domaine exaspèrent les peuples. Ainsi en Allemagne, faire taire « l’extrême-droite » devenu le synonyme de la « droite » tout court, devient une exigence politique.

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  • Qu’est-ce que la métapolitique ?

    métapolitique
    À l'occasion d'une entrevue accordée à la revue des Amis de Jean Mabire, Alain de Benoist revient sur les origines et le sens de la notion de « métapolitique », centrale dans l'activité de la Nouvelle Droite dont il est la figure tutélaire. Un concept souvent évoqué sans être toujours parfaitement compris, d'où le grand intérêt d'une telle clarification qui est aussi un retour sur un parcours de pensée.

    LES AMIS DE JEAN MABIREQuand avez-vous découvert la métapolitique ? Le thème vous était-il déjà familier ? Quelle en est aujourd’hui votre conception ?

    ALAIN DE BENOIST : J’ai probablement rencontré le terme pour la première fois dans la seconde moitié des années 1960, mais j’ai oublié dans quelles circonstances. A cette époque, je ne connaissais pas le livre, d’ailleurs très contestable, publié en 1941 à New York par Peter Viereck sous le titre Metapolitics, pour qualifier la culture allemande post-romantique dans une perspective critique. Je n’avais pas lu non plus le livre d’Anthony James Gregor, An Introduction to Metapolitics, paru en 1971. Et bien sûr j’ignorais complètement que c’est au XVIIe siècle que le mot a été employé pour la première fois, en l’occurrence dans un manuscrit intitulé Metapolitica, hoc est tractatus de republica philosophice considerata, aujourd’hui conservé aux Archives historiques du diocèse de Vigevano, près de Pavie, dont l’auteur était le mathématicien et philosophe catholique espagnol Juan Caramuel y Lobkowitz, né à Madrid en 1606.

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  • Mauvaise nouvelle pour l’UE en Slovaquie, bonne nouvelle pour l’Europe

    Mauvaise nouvelle pour l’UE en Slovaquie, bonne nouvelle pour l’Europe

    L’allié du gouvernement Peter Pellegrini a remporté, samedi 6 avril, l’élection présidentielle en Slovaquie, face au diplomate pro-européen Ivan Korcok. Fort de 53,20% des voix, Peter Pellegrini a déclaré :

    “C’est une grande satisfaction (…) Je veux être un président qui défendra les intérêts nationaux de la Slovaquie”.

    L’invasion de l’Ukraine par la Russie a été un des éléments clés de la campagne, notamment depuis que le Premier ministre Robert Fico, allié du nouveau président, a remis en cause la souveraineté de Kiev et appelé à la paix avec Moscou. En place depuis octobre, l’actuel gouvernement composé du parti Smer-SD de Robert Fico, du parti Hlas-SD de Peter Pellegrini et du petit parti de droite SNS, a également interrompu son aide militaire à l’Ukraine.

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  • Quels scénarios pour l’armée française dans le conflit ukrainien ?

    Emmanuel Macron souhaite envoyer des troupes françaises en Ukraine. Mais la France dispose de peu d’options, constate le quotidien suisse Neue Zürcher qui a cité quatre scénarios possibles.

    La France ne peut participer au conflit en Ukraine qu’à une «échelle limitée», a annoncé le quotidien suisse Neue Zürcher Zeitung. Deux divisions terrestres de 20 000 soldats chacune sont mobilisables. Avec cette armée «en miniature», les options sont limitées :

     déployer le contingent au nord de Kiev «afin de prévenir une invasion depuis la Biélorussie», l’armée ukrainienne pourrait alors transférer certaines de ses unités sur les fronts Est et Sud ;

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  • EN MARCHE VERS LE CHAOS

    You are currently viewing L’éditorial de François Marcilhac

    L’éditorial de François Marcilhac

    La logique toxique des institutions républicaines est décuplée lorsque celui qui préside aux destinées du pays est un personnage à l’ego démesuré, imprévisible, déconnecté des exigences nationales et internationales, sûr de sa supériorité intellectuelle mais incapable de distinguer le rêve de la réalité. Comme le dit l’Ecclésiaste : « Malheur à toi, pays dont le roi est un enfant ». Un tel pays est en marche vers le chaos, d’autant plus sûrement si la situation est explosive et que l’enfant en question a la possibilité constitutionnelle de jouer avec les allumettes.

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  • A la vraie source de l’hyperviolence des « jeunes »

    « Les réseaux sociaux, les réseaux sociaux, vous dis-je ». Le sociologue en chambre est pareil au médecin de Molière. Les diagnostics des Diafoirus contemporains sur l’hyperviolence des « jeunes » se réduisent à des couplets qui évitent la source des maux. Les dévots paresseux se contentent de réciter le « Faire nation », à mesure que celle-ci se délite. A entendre les commentaires dominants, l’inhumanité dont font preuve des adolescents enragés – à Viry-Châtillon, ils ont tué Shamseddine (15 ans) à coups de pied dans la tête et, à Montpellier, ils se sont acharnés sur Samara, 13 ans, placée un temps dans le coma – refléterait le visage de la société. Elle serait malade d’une décivilisation. L’internet en serait le symptôme mimétique. Cette grille de lecture simplette n’est pas seulement celle des diplômés en sciences sociales et en écoles de journalisme.

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  • « La France en faillite ? Pas tant que vous aurez de l’épargne ! ». L’édito de Charles SANNAT

    Mes chères impertinentes, chers impertinents,

    3 100 milliards d’euros c’est la dette de l’Etat. Considérable me direz-vous et vous avez bien raison. C’est énorme. Mais est-ce grave ?

    Bien évidemment que c’est grave et cela ne peut pas durer éternellement. Mais parfois, même si ce n’est pas éternel, c’est long !

    Et cela peut durer plus longtemps que ce que l’on pense tous ou que ce que l’on peut anticiper.

    La France risque-t-elle la faillite ?

    Bien évidemment qu’elle risque la faillite.

    En réalité la France est déjà en faillite.

    Nous dépensons depuis 1974 c’est-à-dire depuis 50 ans, largement plus que ce que « nous gagnons ». Et pourtant la dette continue de tourner !

    Les marchés continuent à nous financer.

    Alors… la question est pourquoi les marchés continuent à prêter à la France alors que nous gérons comme des pieds ? Enfin pas nous, nos « Mozart » de la finance.

    La réponse est simple et tient essentiellement à deux raisons.

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  • Contrairement à la promesse du gouvernement, il n’y aura pas de réforme de l’AME

    Contrairement à la promesse du gouvernement, il n’y aura pas de réforme de l’AME

    Vu sur Le Salon Beige

    Seulement des ajustements mineurs. Les étrangers en situation irrégulière du monde entier pourront continuer à se faire soigner gratuitement en France. Nous attendons la réaction de LR, qui avait exigé contre son vote de la loi immigration permettant essentiellement la régularisation de 10 000 clandestins en plus chaque année (et donc d’environ 50 000 étrangers grâce au regroupement familial)…

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