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Comme le dit l’historien russe Andrei Fursov, «l’ordre mondial est à un tournant et traverse actuellement une période difficile». Le capitalisme est à l’agonie et cessera bientôt d’exister. Non pas parce qu’il s’effondrera comme l’avait prédit Karl Marx, mais parce qu’il a fait son travail ; il est devenu un outil inutile pour le pouvoir de l’argent.
Celui que représentent nos adversaires de toujours relève bel et bien de la certitude. Tous ont été hier, sont en ce moment même, et ne manqueraient pas, s'ils l'emportaient de se révéler encore plus désastreux. Tant pour les finances publiques et le niveau de vie des Français, tant pour la défense nationale que pour l'éducation. Qu'il s'agisse d'un Mélenchon ou d'un Hollande, il faut leur barrer la route. Une Clémentine Autain parle d'éradiquer ses adversaires. L'état major de la France Insoumise applique le mot d'ordre au détriment de ses propres "modérés".
Incapables de comprendre la musique, la dissidence comme les élus de l’opposition nationale ont quasiment abandonné ce terrain culturel. Cette situation est d’autant plus préjudiciable que la musique est un puissant agent d’influence sur les populations. Le front musical a été déserté, malgré les opportunités…
Les Brigandes, celles qui ont fait transpirer les médias
Dans la préface d’un livre consacré aux Brigandes et publié par Synthèse éditions, Brigitte Bardot affirme : « C’est “Elles” qui auraient dû être choisies pour chanter l’ouverture des Jeux olympiques de France ! » Entre Aya et Les Brigandes, le choix est politique et a impact sur le référentiel non seulement de la France, mais de toute la francophonie, donnant la mesure de son audience et de la vision politique élyséenne. Un contrôle similaire est opéré par l’Eurovision qui impose ses modèles sociétaux à tout un continent. Si le concours a été créé par l’OTAN, c’est bien que la musique a une importance stratégique qui devrait être prise en compte par ceux qui ont été élus pour représenter la nation française historique. Il ne s’agit pas de choix personnels car les choix musicaux sont conditionnés par les communautés dont sont issus les individus. Le contrôle méticuleux opéré sur les concerts en est l’illustration. En France, une autorisation est indispensable pour leur organisation, elle est délivrée par la mairie ou la préfecture. Outre les questions de sécurité, le visa est d’abord politique. Il suffit d’observer le traitement sélectif réservé aux rave parties, interdites mais encadrées par les gendarmes, et celui des concerts de groupes identitaires, traqués par les antifas et interdits par les préfectures.
Je sais que je vais me faire huer par ceux qui sont fâchés avec les Francs-Maçons, pourtant je vais quand même le faire, parce j’écoute tout le monde, tout le monde, je lis tout le monde y compris et surtout ceux avec qui je ne suis pas d’accord, ce qui d’ailleurs en l’espèce n’est pas le cas. Alain Bauer, criminologue éminent et ancien Grand Maître du Grand Orient de France dit des choses parfaitement justes.
D’ailleurs sa sortie sur le président actuel, le petit mozarillon du palais est ahurissante car, même pour lui, les bras lui en tombent, ce qui est une excellente nouvelle. Notre leader Minimo Fidel Macro a perdu le peuple, hier il a perdu les patrons qui votent majoritairement RN. Aujourd’hui il a même perdu le Grand Orient. C’est dire si c’est porteur d’espoir !!
Bompard, de l’extrême gauche, nous a servi une grosse louche de bons sentiments au cours du débat tripartite, face à Bardella et Attal, interpellant Bardella sur ses origines et expliquant avec émotion que quand ses grands parents, à Bardella, sont arrivés en France, on disait aussi d’eux qu’ils ne s’intégreraient jamais et que finalement l’immigration d’aujourd’hui, on en disait la même chose et qu’à la fin ça donnerait ce que donnent les grands parents de Bardella, des gens parfaitement français. Et de conclure que l’immigration rapportait. C’est méconnaître à la fois l’histoire et l’économie. Les grands parents de Bardella étaient principalement une immigration de travail et plus globalement, une immigration européenne, constituée majoritairement de Portugais, d’Espagnols, d’Italiens et de Polonais, tous chrétiens, et qui ont largement fait franciser leurs patronymes familiaux, donné des prénoms français à leurs enfants sitôt nés et adopté le mode de vie français.