
La clé du scrutin du 7 juillet est sans doute chez les LR et, plus largement, dans l'électorat de droite modérée. Alors que le macronisme est moribond, pour ne pas dire mort, Macron, lui, bouge encore un peu et, pour sauver sa peau, misérablement, n’hésite pas à la pire des compromissions avec l’extrême gauche, comme Marc Baudriller le dénonce dans ces colonnes, alors que pendant sept ans, il n'a eu de cesse de faire des œillades à l'électorat de droite.