Les annonces du Premier ministre Michel Barnier sur les hausses d’impôts sonnent comme un coup de massue pour les Français. Sous couvert de « redressement budgétaire », ces mesures plongent le pays dans un piège fiscal sans fin, où l’État suce littéralement l’énergie et les ressources de ses citoyens. Le message est clair : ce ne sont plus les Français qui contrôlent leur destin, mais une machine administrative déconnectée de la réalité, qui ponctionne sans scrupule pour combler le gouffre financier qu’elle a elle-même creusé.
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Qui détient la dette de la France pour 25 % ?
Qui détient les 3 200 milliards d’euros de la dette publique française ?
En majorité des investisseurs étrangers comme des banques, des institutionnels ou encore des fonds de pensions.
A quelle hauteur ?
55 %
Mais ce qu’il faut savoir, c’est que cette dette de la France est déjà détenue à 25 % par la BCE.
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La justice refuse d’expulser le violeur marocain d’une handicapée
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MAIS QUI CONTRÔLE LES FACT CHECKEURS ?!
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Christophe Darmangeat, anthropologue matérialiste : « Non les Aborigènes australiens n’étaient pas des bons sauvages ! »
Dans une brochure et deux conférences savoureuses disponibles sur internet (voir plus bas), Christophe Darmangeat, maître de conférences à l’Université Paris Cité, tord le cou à une certaine recherche institutionnelle dominante. Sous l’influence du décolonialisme et de la théorie du genre, celle-ci a trop tendance à repeindre en rose la vie des peuples premiers, préhistoriques et précoloniaux.
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Montluçon (03) : malgré l’OQTF, le migrant dealer sans permis est toujours en France et… refuse d’obtempérer puis lance une folle course-poursuite. Il a blessé un policier, percuté des véhicules et mis en danger des passants
Une course-poursuite a eu lieu dans des rues très fréquentées de Montluçon (Allier), ce jeudi 10 octobre dans la matinée (…)
Dix minutes durant, il a été pris en chasse à travers la ville par deux véhicules de police. Percutée à deux reprises, l’une des voitures a dû cesser la poursuite. La seconde est en revanche parvenue à bloquer l’automobiliste à hauteur d’un parking, rue de Pasquis. Tentant une dernière manœuvre pour s’échapper, ce dernier est alors passé par-dessus un trottoir mais est entré en collision avec une voiture en marche.
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Orbán : un grand homme pour la Hongrie, un petit pays
Poutine ne s’y est pas trompé. Lui qui sait reconnaître les individus d’exception, et les apprécie, il traite Viktor Orbán d’égal à égal. Il n’a jamais refusé de le prendre au téléphone. Et de discuter avec lui de la marche du monde. Comme avec Donald Trump d’ailleurs, avec lequel il lui arrive d’avoir de longues conversations, bien qu’il ne soit plus officiellement président depuis 2020.
Ça change du traitement réservé à Fripounette. Après lui avoir plusieurs fois raccroché au nez, Vlad l’a blacklisté. S’il s’annonce, le standard du Kremlin le renvoie sur un répondeur qui diffuse sans fin de la musique cosaque. Ce serait une forme d’humour russe, m’a-t-on dit.
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Le grand remplacement en Angleterre
Le Royaume-Uni traverse une période inédite. Doublée d’un paradoxe. Pour la première fois depuis 1976, le nombre “de funérailles a dépassé les fêtes de naissance” dans le pays, relate The Guardian, le mercredi 9 octobre. “Entre la mi-2022 et la mi-2023, les morts ont été plus nombreux que les nouveau-nés, avec une différence de 16 300”, précise le journal londonien.
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« On est en train de faire surcotiser nos enfants pour assurer les retraites actuelles ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Ce n’est pas moi qui le dit c’est David Lisnard qui met les pieds dans le plat.
Nous n’avons pas un problème de retraites futures.
Nous avons un problème de retraites actuelles !
Dire cela ne veut pas dire que j’appelle de mes vœux une baisse des pensions de nos concitoyens retraités qui n’ont rien volé et qui ont effectivement cotisé toute leur vie.
J’aimerais même que l’on puisse augmenter les petites retraites.
Je ne suis donc pas dans le jugement moral.
Mais dans l’analyse économique.
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Paris se prépare à la troisième guerre mondiale : des milliers de soldats français sont prêts à arriver en Roumanie pour un conflit simulé avec la Russie
par Remix News
«Nous avions l’habitude de jouer à la guerre. Maintenant, il y a un ennemi désigné».
L’année prochaine sera cruciale pour l’armée française, qui a subi une transformation majeure ces dernières années pour se préparer à un éventuel conflit avec la Russie, rapporte Politico.