Comme d’habitude, on nous raconte des histoires de déséquilibrés, d’islam, de » pas d’amalgame « , de sécurité, de plots en béton mal placés.
Certains auront même le culot de vous parler » de récupération par l’extrême droite « .
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Comme d’habitude, on nous raconte des histoires de déséquilibrés, d’islam, de » pas d’amalgame « , de sécurité, de plots en béton mal placés.
Certains auront même le culot de vous parler » de récupération par l’extrême droite « .
Il y a deux ans et demi, alors que je pointais que plus d’un quart de la dette publique française était détenue par la Banque de France, et un peu la BCE, se posait la question de la continuité, ou non, de ces politiques. Alexandre Lohmann, un économiste, a montré que le bilan de l’eurosystème a reculé de 30% depuis. Un « durcissement quantitatif » monétaire, ou démonétisation, qui va s’accélérer à partir du 1er janvier avec la fin complète des rachats de créances échues, et qui pose un double problème.
Pétage de plombs présidentiel. Macron sombre de plus en plus dans la bassesse et la médiocrité. Il coche toutes les cases de l’indécence, se révélant une fois de plus indigne de la fonction présidentielle comme du peuple gaulois et de ses 2000 ans d’histoire. Il est notre honte.
https://www.bvoltaire.fr/macron-demission-meme-a-mayotte-mais-cest-la-faute-du-rn/
Face aux Mahorais sinistrés, clamant leur colère au cri de « Macron, démission ! », notre irascible Président, de plus en plus teigneux et dépassé par la situation comme toujours, a littéralement pété les plombs en s’exonérant de toute responsabilité dans ce désastre humanitaire.
par Patrice Gibertie
Des films tellement bidons que personne ne les regardent, des scénarios d’une banalité crasse tout en étant complètement déconnectée de la réalité, un ton pédagogique qui entend « dresser » idéologiquement le Français de base… Les navets subventionnés par l’État français ont été dernièrement tellement nuls qu’ils auront au moins eu un avantage : leur financement choque et fait désormais objet de débat, même à l’Assemblée.
Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne Eurolibertés.
(Propos recueillis par Guirec Sèvres)
Emmanuel Macron avait tardé à remplacer Michel Barnier, puis tardé à nommer son successeur François Bayrou dont il ne semblait pas vouloir et qui lui-même, à deux jours de Noël, a des difficultés à former son gouvernement ; tout cela n’augure rien de bon pour retrouver une stabilité politique…
La Cour d’assises spéciale de Paris a déclaré coupables les huit accusés du procès.
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