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Euthanasie en France : une loi plus permissive qu’en Belgique et au Canada
Le vendredi 2 mai dernier, en Commission des Affaires Sociales, les députés ont validé la loi sur l’euthanasie et le suicide assisté en l’aggravant. Handicapés, pauvres et seuls sont en ligne de mire, et 1,4 milliards d’économie par an attendus. La marchandisation de l’humain s’amplifie.
Mercredi 7 Mai 2025. Elisabeth Borne, ministre de l’Education nationale annonce son plan « Filles et garçons » : ouvrir les classes de 4e et 3e à horaires aménagés, avec un quota de 50 % de filles, et ainsi dégenrer les cours de maths. Le but : 20 % de femmes dans chaque classe préparatoire scientifique en 2026, 30 % en 2030. Les moyens : sensibiliser les professeurs aux biais de genre. L’idéologie du genre aux dépens de la simple nature. La quantité au détriment de la qualité. L’égalitarisme contre la perte de la différence. Nouvel exemple de discrimination positive. Madame Borne s’inscrit bien dans la continuité de ses prédécesseurs qui ont détruit l’école.
Bien qu’il se soit présenté aux élections en promettant de résoudre le conflit en Ukraine dans les «24 heures», le président américain Donald Trump et les intérêts particuliers qu’il sert avaient l’intention, avant même son entrée en fonction, de poursuivre la guerre en Ukraine, tout en se tournant vers l’Est pour mener un conflit similaire avec la Chine dans la région Asie-Pacifique.
Mais qui sont-ils, hein ? Qui sont donc ces « jeunes » qui ont, dans la nuit de mercredi à jeudi, après le fameux match PSG-Arsenal, manifesté leur joie à leur manière ? Le mystère est épais, sauf pour les lecteurs de Boulevard Voltaire qui ont peut-être leur petite idée.
Un important dispositif de police a été déployé ce jeudi 8 mai 2025 en fin de matinée dans le quartier sensible de La Conte, à Carcassonne, après la découverte du corps d’un jeune homme rue Diderot. (…)
La loi Garot, la fin de la libre installation des médecins, ou l’exemple de la contrainte illégitime. Face à une médecine en déshérence, qui ne parvient plus à soigner correctement, ni a être présente sur l’ensemble du territoire, le législateur s’est une fois de plus mû en pourfendeur d’injustice, en redresseur de torts. L’intention est louable, mais la méthode est insuffisante et décalée. Comment en est-on arrivé là ? Peu importe, vont vous dire les tenants de l’interventionnisme et pourtant il est tout de même salutaire de se souvenir que c’est dans les années 90 que Juppé a contribué à assécher lentement mais durablement le réservoir de médecins. Brillante idée d’énarque qui savait que les effets pervers ne se feraient sentir que bien plus tard et qu’on oublierait qui est à l’origine de ce désastre. Trente ans après nous y sommes. Mais le massacre de notre médecine n’a pas été isolé, non, il s’est accompagné d’une savante orchestration de la désertification des campagnes. Sous couvert d’une nécessaire efficience des services publics, ils se devaient de répondre aux besoins modernes des populations, qui vieillissantes, se demandaient bien comment elles allaient trouver dans le vide naissant, les services capables de leur assurer un minimum vital d’administrations de proximité, et plus largement d’activités, dans ces villages oubliés, puis ces villes moyennes.
Investi 47e président des États-Unis d’Amérique le 20 janvier 2025, Donald Trump a atteint le centième jour de son mandat le 30 avril dernier. En dix décades, le locataire de la Maison Blanche a déjà bouleversé son pays, l’économie mondiale et les relations internationales. Dès le premier jour de sa présidence, il a signé vingt-six executive orders qui correspondraient en France à des ordonnances gouvernementales. Par comparaison, en 2021, Joe Biden en signa dès la fin de son investiture le 20 janvier 2021… neuf ! Cent jours plus tard, ce sont finalement cent quarante-trois décrets présidentiels qui ont été pris. Lors de son premier mandat en 2017, surpris par sa victoire face à Hillary Clinton et peu soutenu par les caciques proto-démocrates d’un parti républicain soumis aux injonctions de la gauche culturelle, Donald Trump n’avait signé que vingt-quatre décrets présidentiels en une centaine de jours.
Invitée, mercredi matin, du Grand Entretien, sur France Inter, le ministre de la Culture Rachida Dati s’en est pris au « club CSP+ », qui donne des leçons de précarité du haut de ses Louboutin. Elle veut promouvoir la culture populaire, jusqu’aux fanfares du même nom. La presse intello lui tombe dessus, les ricaneurs l’étrillent.
Le décès de sa mère, survenu en Algérie en 2019, n’avait pas été déclaré : pendant plus de trois ans et demi, son fils de 49 ans, qui avait procuration sur son compte bancaire, a continué à percevoir son allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa). Il a été condamné pour escroquerie par le tribunal correctionnel de Montpellier (Hérault). Le tribunal correctionnel a condamné le mis en cause à six mois de prison ferme, l’obligeant à verser, en guise de remboursement, 44 346 € et 1 200 € de frais de justice.
A la une de cette édition, Habemus Papam ! Robert Francis Prevost a été élu jeudi 8 mai 2025 évêque de Rome à l'issue d’un conclave express. Le décryptage dans cette émission avec Jean-Pierre Maugendre, président de Renaissance catholique et présentateur de l’émission “Terres de Mission”.