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Ce n’est pas du France « bashing » d’ailleurs, je ne suis pas parti me planquer à Dubaï pour ne pas payer les impôts en France. Non, je suis modestement en Normandie, et côté climat, ce n’est franchement pas Dubaï, même si le calva peut réchauffer les cœurs de même que les soirées devant le feu du poêle à bois.
Vous l’avez compris, l’objectif ici et de « réveiller » un peu les consciences françaises endormies.
« Rien à péter, de leur rentabilité », balançait Sandrine Rousseau à un média d’extrême gauche, comme l’a relevé BV. La pétition lancée par une étudiante sur le site de l’Assemblée nationale montre que la députée verte n’est pas aussi isolée qu’on le croit. Cette pétition a largement passé le cap du million de signataire, ce lundi soir.
Ce mardi 15 juillet, le Premier ministre François Bayrou a présenté les grandes lignes du budget 2026, dans un contexte de fortes tensions sur les finances publiques. Face à un déficit persistant et une dette en constante progression, le chef du gouvernement entend enclencher un tournant budgétaire majeur, en associant rigueur, réductions ciblées et nouveaux prélèvements. Retour complet sur les principales annonces.
Dans l’Indopacifique, les graves risques d’intégrité territoriale française mettent en évidence que le pouvoir n’est pas sur une ligne politique nationale. Loin de s’opposer à nos ennemis extérieurs pour défendre l’unité française, le pouvoir préfère désorganiser nos régions outre-mer.
Une jeune élève gardienne de la paix a été victime d’une agression à proximité de son domicile situé dans une cité des quartiers nord de Marseille, a appris Le Figaro de source policière. La jeune femme âgée de 29 ans et domiciliée dans une cité des quartiers nord de Marseille a été hospitalisée après avoir été agressée à la tête et aux côtes par plusieurs habitants de la cité qui l’avaient reconnue. Son compagnon, également policier, a essuyé des jets de projectile.
Le terme de guerre civile revient en boucle pour décrire les phénomènes, pas nouveaux mais en multiplication, de violence sur la voie publique. Il faut faire le tri entre les violences de type territorial, qui consistent pour des « racailles », qui sont en réalité des bandes ethnico-religieuses qui interdisent l’accès de leur quartier à la polie, c’est à dire qui refusent la République et sa loi, au profit de la leur, dans laquelle le meurtre du dhimmi n’est pas puni. Mais il existe aussi une composante purement délinquante sur fond de trafic de drogue et de rivalités entre « entreprises » locales. Les deux sont en fait liées. La nouveauté est que cela quitte les quartiers et se propage aux villes moyennes, comme Nîmes ou Limoges très récemment et bien d’autres, encore, plus petites même. Le tout permis par une certaine retenue des forces de l’ordre qui savent que la justice cherche avec plus d’opiniâtreté, à savoir si le tir du policier était justifié, que savoir si le délinquant était bien en état de flagrant délit. Objectivement, l’arsenal juridique est d’une extraordinaire clémence avec les voyous qui se savent relativement à l’abri des foudres de la République qu’ils combattent.