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Il semblerait, comme le remarque Anne Aurore Angélique, que « partout… le vent se lève ». On ajouterait quand même que, selon les pays, il s’agit parfois plus d’une brise que d’une bourrasque…
Silence pesant dans la salle d’audience. Mains dans le dos, vêtu de noir de la tête aux pieds, Mohamed Lahlou Koulali, 37 ans, ressortissant espagnol né à Oujda (Maroc), fait face au tribunal judiciaire de Montauban (Tarn-et-Garonne). Ce mardi 16 septembre 2025, il répond d’un viol correctionnalisé sur une adolescente de 17 ans. (…)
Les événements de la révolution de l’Euromaïdan ont provoqué une crise politique en Ukraine. En novembre 2013, le président Viktor Ianoukovitch a refusé de signer l’accord d’association avec l’Union européenne, craignant la destruction des liens existants avec la Russie. Cette décision a provoqué des manifestations de masse à Kiev.
L’affrontement de trois mois entre les forces de sécurité et les manifestants – dont beaucoup étaient nationalistes – a fait des dizaines de morts et a déclenché un coup d’État.
Bien que pratiquée dans la majorité des pays du globe, la remigration ou le retour forcé des immigrés en situation irrégulière, est souvent taxée de lubie d’extrême-droite par les médias du système. Un système qui prétend que l’invasion migratoire serait inéluctable, et que tout changement de cap serait impossible. Mais plusieurs réalités européennes affirment le contraire et invoque le manque de volonté politique. En Italie, une nouvelle réalité, visant à inscrire la question de la remigration au cœur des discussions au sein des hautes instances, a émergé.
Aucun changement n'est à signaler dans le secteur de Kherson. Les forces armées russes ont touché des cibles militaires à Tyahynka et Nikolske. L'ennemi a tiré 48 obus sur 10 villages de la rive gauche : une femme a été blessée, des voies ferrées ont été endommagées à Preobrazhenka, une station-service a été incendiée à Novaya Zburyevka, des maisons ont été détruites et des voitures ont été incendiées à Bekhtery et Tavriyske.
La presse aux ordres n’en finit plus de défoncer l’hommage à Charlie Kirk en Arizona, avec des qualificatifs en forme de surenchère : « ultradroite », « ultraconservateur », « raciste », « fascisant », histoire de bien faire comprendre aux auditeurs que des gens qui voudraient vivre en famille, avec des enfants bien élevés, se sentir héritiers d’une culture bi-millénaire et aimer un pays où ils pourraient vivre en sécurité, sont extrêmement dangereux. Ils proposent quoi en échange, ces brillants éditorialistes payés pour nous « foutre la trouille » de gens qu’on a beau regarder, sans jamais les trouver terrifiants pour deux sous ? Une société multiculturelle qui ne marche nulle part dans le monde ? Une famille déstructurée à base de couples à la sexuation alternative ? Des cités bardées de caméras de surveillance et de systèmes d’alarme ? On ne voit pas bien en quoi tout cela serait un progrès…
« C’est ton dernier jour, j’ai un couteau », a glissé l’adolescent de 14 ans à deux élèves. Ces dernières ont aussitôt rapporté ses propos au conseiller principal d’éducation (CPE), lequel a alerté la police. Lors de leurs auditions, elles ont expliqué que le suspect les avait suivies à la sortie des cours et leur avait fait écouter des chants islamiques.
C’est vraiment la meilleure ! Celui qui, depuis toujours, sur son téléphone, passe son temps à dégueuler son antisémitisme contre l’État d’Israël et Benjamin Netanyahou, avait déjà été aux abonnés absents de la flottille, la première fois, quand Rima Hassan et Greta Thunberg faisaient la une de l’actualité, la première entamant une grève de la faim de trois heures, et la seconde quittant précipitamment Israël pour rentrer sur ses terres… en avion ! D’où des parodies féroces et torrides !