
Le Monde, nom si péremptoire lorsqu’on ne représente qu’une infime poignée du vrai monde. Un journal qui se voulait la référence et n’est plus qu’une décadence morale et textuelle quand on voit la pauvreté argumentaire de ses gratte-papiers bouffis de fatuité. Ce Monde, qui tourne dans le sens inverse des aiguilles du temps en se croyant toujours à l’heure mitterrandienne, n’a donc pas encore pris la mesure du ras-le-bol généralisé concernant la « culture » de gauche. Laquelle culture se fissure de partout, continuant à coûter des sommes indécentes aux contribuables – suivant le travers gauchiste de vivre sur le dos de ceux qu’on insulte – sans rapporter un sou, parce que le goût de l’infâme commence à lasser le public.




