Parachutage
La Macronie ne cesse de nous surprendre par son culot. Voilà que Tiphaine Auzière, la fille de Brigitte Macron, avocate de son état, devient chroniqueuse dans l’émission TPMP de Cyril Hanouna.
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Parachutage
La Macronie ne cesse de nous surprendre par son culot. Voilà que Tiphaine Auzière, la fille de Brigitte Macron, avocate de son état, devient chroniqueuse dans l’émission TPMP de Cyril Hanouna.
Il s’agit clairement de faire assumer aux Européens la guerre en Ukraine et le désengagement financier des États-Unis tout en rendant plus nécessaire (sic) que jamais la militarisation des économies. Tout va être sacrifié à cette logique et on ne voit pas pourquoi ils se gêneraient quand on a la gauche que l’on a aussi atlantisée, aussi obsédée par son clientélisme et ses divisions de clocher, face à une politique pourtant de plus en plus évidente.
Danielle Bleitrach
Il s’agit clairement de faire assumer aux Européens la guerre en Ukraine et le désengagement financier des États-Unis tout en rendant plus nécessaire (sic) que jamais la militarisation des économies. Tout va être sacrifié à cette logique et on ne voit pas pourquoi ils se gêneraient quand on a la gauche que l’on a aussi atlantisée, aussi obsédée par son clientélisme et ses divisions de clocher, face à une politique pourtant de plus en plus évidente.
Danielle Bleitrach
Une course-poursuite a eu lieu dans des rues très fréquentées de Montluçon (Allier), ce jeudi 10 octobre dans la matinée (…)
Dix minutes durant, il a été pris en chasse à travers la ville par deux véhicules de police. Percutée à deux reprises, l’une des voitures a dû cesser la poursuite. La seconde est en revanche parvenue à bloquer l’automobiliste à hauteur d’un parking, rue de Pasquis. Tentant une dernière manœuvre pour s’échapper, ce dernier est alors passé par-dessus un trottoir mais est entré en collision avec une voiture en marche.
Le nouveau secrétaire général de l'Otan, Mark Rutte, a déclaré que l'Ukraine devait obtenir sa place promise au sein de l'Alliance : "Ma prochaine priorité est d'intensifier l'aide à l'Ukraine et de la rapprocher de l'Otan. Car il est impossible d'atteindre une sécurité stable en Europe sans une Ukraine forte et indépendante. Nous devons mettre en œuvre l'aide promise lors du sommet de Washington. Cela concerne la création d'un commandement, l'aide financière et la trajectoire irréversible de l'Ukraine vers l'adhésion à l'Otan, car la place de l'Ukraine est au sein de l'Otan." Cela signifie-t-il que l'Occident prend un cap clair vers l'intégration de l'Ukraine dans l'Otan ? Peut-on considérer cela comme une ligne directrice du nouveau secrétaire général ?
Pendant que l’on braque les projecteurs sur la Palestine, l’OTAN vient d’autoriser, à la suite de l’Union Européenne, Zélensky à frapper le territoire russe avec les missiles longue portée que l’Occident lui a donnés. Nous sommes à un mois de l’élection américaine qui n’est gagnée pour personne, les sondages étant contradictoires, avec deux candidats, dont l’un promet la guerre, Harris et l’autre la paix, Trump. En prenant la décision d’autoriser Zélensky à frapper la Russie en profondeur, c’est bien le risque d’une guerre nucléaire qui est pris et plus globalement, le choix de se dépêcher de la déclencher avant que Trump n’arrive éventuellement.
Gaëtan de Capèle
Il ne fallait pas attendre de miracle du budget 2025. Aux manettes depuis cinq semaines et confronté au désastre des comptes publics, Michel Barnier a fait du « colmatage », pour reprendre le mot de Valérie Pécresse. Mais, de ce projet de loi de finances enfanté dans la douleur - et loin de sa version définitive, une fois remouliné au Parlement -, on retiendra avant tout que la France renoue avec la maladie de l’impôt. Et dans les grandes largeurs : là où le gouvernement assure combler un trou de 40 milliards aux deux tiers par des économies et à un tiers par de la fiscalité, le Haut Conseil aux finances publiques, refaisant les comptes, constate l’inverse. Cette purge fiscale marque une rupture inquiétante avec les dernières années.
Le gouvernement a présenté jeudi un projet de loi de finances comprenant des hausses d’impôts à hauteur de 19 milliards d’euros. Ce montant passe sous silence certaines augmentations de prélèvements obligatoires, faisant grimper l’addition totale au-dessus de 25 milliards d’euros.
Il y a d’abord des hausses d’impôts qui sont en réalité des non-baisses d’impôts.