Il fut un temps où l’on admirait le courage et l’intégrité des juges. Insensibles aux menaces de la mafia et aux pressions des politicards, souvent entremêlées. Certains furent assassinés pour avoir trop bien fait leur travail. Comme François Renaud flingué à Lyon en 1975. Une affaire toujours non résolue. Ou Pierre Michel abattu à Marseille en 1981. Les exécuteurs furent condamnés. Mais pas les commanditaires.
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Une justice bancale produit des juges comme Hélène Gerhards et trop d’autres…
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Aides aux étrangers : Laurent Jacobelli (RN) révèle une facture d’un milliard
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L’article 122, arme secrète d’Ursula von der Leyen

par Emilien Lacombe
Bruxelles débloque 800 milliards d’euros sans consulter les États, alors que des négociations de paix se profilent.
L’UE finance l’effort de guerre pendant que le monde parle de paix
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Auby (59) : deux lycéennes agressées au couteau et à la bombe lacrymogène par des collégiens, une victime a eu la lame sous sa gorge… Les trois suspects interpellés sont “de type nord-africain”

INFO VALEURS – Trois collégiens ont agressé sans raison apparente deux lycéennes à Auby dans le Nord, lors de la pause de midi, ce lundi 17 mars, selon nos informations.
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L’Ukraine accepte un cessez-le-feu, les États-Unis reprennent leur aide

L'Ukraine a accepté ce mardi 11 mars une proposition de cessez-le-feu de 30 jours. En conséquence, les États-Unis lèvent la suspension de l'aide et du renseignement à l'Ukraine, annoncent des responsables de l'administration Trump. Des représentants des deux pays se sont réunis en Arabie Saoudite pour élaborer des plans en vue d'un accord de paix entre l'Ukraine et la Russie, afin de mettre un terme à la guerre qui dure depuis trois ans. Comme de juste, les pays européens ne sont pas à la table, mais au menu des discussions.
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Cinq ans après le Covid, la dérive totalitaire s’aggrave

Le Covid a durablement infecté la démocratie. Il y a cinq ans, Emmanuel Macron dramatisait l’épidémie en répétant six fois : « Nous sommes en guerre ! ». 500.000 morts étaient annoncés en France. Le 17 mars 2020, à midi, il mettait fin à la liberté de circuler en imposant, « quoi qu’il en coûte », un confinement sanitaire approuvé par l’opinion tétanisée. Depuis, la dérive totalitaire du pouvoir n’a cessé de s’aggraver, dans l’hébétude du monde intellectuel et médiatique. Exploitant la crainte du virus, le chef de l’Etat allait imposer, le 12 juillet 2021, un passe sanitaire interdisant les cafés, restaurants, cinémas, etc. aux non-vaccinés. Aujourd’hui, l’inefficacité de ces mesures étatiques commence à être timidement admise. Leurs effets sur la santé mentale des jeunes également. Pourtant, face à l’hystérisation hygiéniste et à ses ségrégations de sous-citoyens, rares furent ceux qui alarmèrent sur les procédés mensongers employés ; à commencer par le slogan officiel, authentique fake-news : « Tous vaccinés, tous protégés ». Ayant eu à subir les accusations en « complotisme » et « antivax » des fanatiques de l’Ordre sanitaire, j’ai pu observer de près l’efficacité d’une propagande anxiogène sur les comportements.
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Alfortville (94) : un lycéen blessé au couteau dans son établissement, l’auteur interpellé

Selon cnews, un élève du lycée Maximilien-Perret à Alfortville a été légèrement blessé au couteau lors d’une bagarre avec un autre élève ce lundi 17 mars 2025.
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Parmi les forces encerclées à Koursk, il y a 30 officiers de l'OTAN

Des informations divulguées sur la région de Koursk en Russie confirment que des milliers de soldats ukrainiens sont en fait encerclés par les forces russes, mais aujourd'hui, il y a un « rebondissement ».
Selon des informations fuyant de la zone de combat, outre les troupes ukrainiennes bloquées, il y aurait trente (30) commandants en service actif des armées officielles de plusieurs pays de l'OTAN.
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[TRIBUNE] Éducation nationale : reconstruire pour assurer l’avenir
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Pour rester crédible, Retailleau doit démissionner et ouvrir sa gueule

Personne n’a oublié la célèbre phrase de Jean-Pierre Chevènement : « Un ministre ça ferme sa gueule, si ça veut l’ouvrir, ça démissionne ». Un acte que celui qui fut un temps surnommé « Le Che » avant de finir piteusement en soutien de Macron, fera à trois reprises.
