
La propriété privée est un concept central du droit civil et constitue un pilier essentiel de l’économie moderne. Pour autant on se demande si cet état gauchisant ne rêve pas de la supprimer et à l’évidence, ce n’est pas qu’un rêve. Il y a des clignotants qui s’allument : restreindre arbitrairement la surface de vie d’un individu à 22 mètres carrés, sous prétexte écologique, ou l’instauration d’un loyer pour les propriétaires en nationalisant le sol, ou des spoliations, qui sont déjà possible, afin d’instaurer un droit de passage ou même de préemption, pour des prétextes d’utilité publique. Depuis plusieurs années, factuellement, des gens peuvent rentrer chez vous, changer les serrures et se croire chez eux, et curieusement, c’est aux propriétaires d’engager des démarches, de prouver qu’ils sont bien propriétaires, une procédure qui prend des années, alors que les occupants illégaux ont des « droits » et que le propriétaire continue à payer l’eau, le gaz et l’électricité, alors qu’il est spolié. Le tout avec des prétextes humanitaires, cependant que l’humanité envers le propriétaire qui vit un cauchemar juridique n’a pas l’air d’intéresser un gouvernement qui lui prélève tout de même force impôt. Au RPF, nous avons déjà expliqué qu’une de nos premières mesures serait de mettre fin à cette infamie et de faire vider les lieux privés occupés illégalement, de force si besoin, sans jugement, sur simple présentation d’un titre de propriété.