« Elena avait quinze ans, elle a pris un fusil, Istvan n’avait que douze ans, et il est mort aussi, et si je chante cette chanson, c’est pour que leur souvenir reste, gloire aux enfants de Budapest »… La belle chanson de Jean-Pax Méfret rendait hommage au soulèvement de 1956, lorsque les chars soviétiques entrèrent en Hongrie. Les résistants furent massacrés par les Russes, dans la lâche indifférence de l’Occident qui était probablement déjà congelé, à l’époque, par l’humanisme et le « pas de vague » géopolitique. Les années ont passé, la jeunesse a oublié tout ça, les anciens aussi, peut-être. 56, pensez donc, c’était encore la IVe République en France, c’est presque la Préhistoire. Le tempo médiatique n’a rien fait pour nous aider à mémoriser l’Histoire longue.
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Viktor Orbán appelle à résister à l’UE comme les Hongrois à l’URSS en 1956…
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Tollé à Poitiers : des plaques de rue rebaptisées aux noms de leaders du Hamas dont celui de l’islamiste Ahmed Yassine, fondateur du mouvement et Frère Musulman. L’action relayée par… les Jeunes Communistes locaux
Ce jour, des plaques de rue du centre-ville de Poitiers (Vienne) ont été rebaptisées par une action de collage aux noms de leaders du mouvement terroriste Hamas ainsi que de leurs relais entre autres.
Une rue a ainsi été rebaptisée du nom d’Ahmed Yassine, fondateur du Hamas.
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Pourquoi la folie fiscaliste
Le citoyen Barnier nous avait avertis dès sa nomination, en date du 5 septembre : « je ne m’interdis pas un peu de justice fiscale ». Tout heureux d’avoir échappé au scénario démentiel d’un gouvernement Castets, la grande majorité des Français négligeait alors l’avertissement.
Ce 26 octobre, en 7 longues semaines la petite dose de prétendue justice a donné lieu au déferlement de la folie fiscaliste. Nous avons d’abord subi les réunions d’une Commission des Finances, à nouveau présidée par le très gauchisant Coquerel, LFi ex-LCR, incapable notoire. Nous assistons maintenant depuis le 24 octobre aux premiers jours de débats parlementaire sur la loi de Finances. On a pu mesurer ainsi ce que la litote du Premier ministre contenait de dérapages potentiellement dangereux.
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Kiev perd 2.000 hommes et 77 drones en 24h, selon la Défense russe
Les forces russes ont détruit du matériel occidental et renforcé leurs positions le long de la ligne de front, annonce la Défense russe dans son bilan de l'opération spéciale pour le 24 octobre.Points clés du bilan quotidien de la Défense:Le groupement Nord a frappé quatre brigades ennemies. Les pertes ukrainiennes s'élèvent à 95 militaires. Deux dépôts de munitions ont été détruits.Le groupement Ouest a amélioré sa position tactique, frappé cinq brigades ukrainiennes et repoussé trois contre-attaques. L'armée de Kiev a perdu 490 militaires, un canon automoteur Braveheart britannique, un obusier M198 et deux M114, tous américains. -
Marseille: le tribunal administratif annule une subvention de 30.000 euros versée par la ville à SOS Méditerranée
Le tribunal administratif a annulé une subvention de 30.000€ attribuée par la ville de Marseille à SOS Méditerranée en 2021. En jeu, notamment, l’intérêt public local et le montant de cette subvention.
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Le plus dangereux chez Zelensky : Sa lucidité !
Le plan de "victoire" proposé par Volodomyr Zelensky ne mènera à rien et tout le monde l’a déjà enterré. Seulement, il en dit long sur la manière dont le dirigeant Ukrainien analyse les motivations de ses partenaires de négociation et il convient de l’écouter pour comprendre les buts de nos dirigeants !
C’est terrifiant !
Nous passerons sur les points un à trois, fondés sur l’idée plus d’armes, plus de frappes sur la Russie pèseront sur la psychologie "fragile" de Vladimir Poutine et le contraindront à venir mendier le pardon de l’Ukraine et du monde. Ce fut la prémisse de l’offensive de Robotnye, des attaques de drones sur la Russie et de l’offensive de Koursk.
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Cotisation à l’étranger, indemnisation en France. Les scandales de la dépense publique !
Tout ceci est délirant.
Nous vivons dans un monde où le bon sens a totalement disparu de l’action et de la décision publique.
Nous payons des sommes folles et entretenons des situations ubuesques.
Rien n’est logique là dedans.
Il est parfaitement logique d’être indemnisé par le système dans lequel on a cotisé. Ceux qui font le choix de travailler en Suisse ou en Belgique sont libres de le faire, mais ce n’est pas à la France d’assumer le coût de leur indemnisation chômage puisqu’ils sont “hors” système français.
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[POINT DE VUE] L’« arc républicain » ? C’est nous, les « nationistes » !
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TRIBUNE LIBRE - Prise de conscience, effort et redressement, ou renoncement, immobilisme et chute : il n’y a pas d’autre alternative !
Didier Lecerf
Bien que le gouvernement Barnier soit loin d’être idéal, il a de bonnes chances de durer plus longtemps que d’aucuns peuvent le penser.
Rappelons brièvement la situation.
D’abord, à l’issue des dernières législatives, les profondes fragmentation et division de la population ont trouvé tout naturellement leur traduction, sur le plan politique, dans l’atomisation de la représentation nationale et, conséquemment, l’absence de majorité de gouvernement. Ainsi, le palais Bourbon compte désormais onze groupes politiques (auxquels il faut ajouter les non-inscrits) et trois grands blocs, parmi lesquels aucun n’atteint la majorité absolue de 289 députés : le bloc de gauche, 192 élus ; le bloc centriste (du centre-gauche au centre-droit), 206 ; le bloc de droite nationale, 141. Résultat : jusqu’en juillet prochain, le pays se trouve, de fait, dans une impasse politique qui, de plus, pourrait bien déboucher, à terme, sur une crise institutionnelle…
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Pour la première fois, l’ensemble des groupes de droite se sont coalisés au Parlement Européen pour voter deux amendements visant à renforcer la protection des frontières européennes et à mettre en place des plateformes de retour pour les migrants
Le Parlement européen vient de vivre un moment historique avec l’adoption de deux amendements portés par le groupe Europe des Nations Souveraines (ENS), mené notamment par Sarah Knafo, vice-présidente du groupe et députée européenne du parti Reconquête! d’Éric Zemmour. Ces amendements, visant à renforcer la protection des frontières européennes et à mettre en place des plateformes de retour pour les migrants en dehors de l’Union européenne, marquent un changement notable dans la politique migratoire de la droite européenne.