anti-national - Page 130
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Le Qatar ne finance pas seulement le PSG… mais aussi la nouvelle mosquée de Nantes
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« Service après-vente, bonjour ! » : contre l’islamisme, Omar Sy aux abonnés… évasifs !
Revenons sur le « séisme » de l’affaire Paty. Une vague de sidération a secoué le microcosme politico-médiatique à l’annonce de ce terrible assassinat. Pourtant, ce n’était pas la première fois qu’on tuait, en France, dans une école, au nom de l’islam. Rappelez-vous ! Le 19 mars 2012, le djihadiste Merah abattait froidement Arié et Gabriel, 5 et 3 ans, leur père, et Myriam, 8 ans, dans une école juive de Toulouse. Et ce 16 octobre 2020, le saint des saints de la République, l’école « laïque, gratuite et obligatoire », était atteint par le martyre de l’un de ses serviteurs. Pas de sanctuaire contre le terrorisme islamiste !
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Environ 200 enquêtes ouvertes en France pour apologie du terrorisme, menaces de mort, injures ou provocations à la haine en lien avec la décapitation de Samuel Paty
En France, près de 200 enquêtes ont été ouvertes au cours de la dernière semaine d’octobre pour apologie du terrorisme, menaces de mort, injures ou provocations à la haine en lien avec la décapitation du professeur le 16 octobre à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines).
La Chancellerie, qui confirme ce chiffre avancé par France Info, précise qu’il est « à appréhender avec prudence, dans la mesure où il n’y a pas de point de comparaison nationale » et n’a pas souhaité actualiser ce bilan. « Ça explose! On a beaucoup de menaces qui visent des personnalités publiques, le Président de la République, le Premier ministre, plusieurs ministres, des députés, des enseignants », détaille une source judiciaire, qui y recense beaucoup d’allusions plus ou moins directes « à des menaces de décapitation ».
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Le cirque Veran : farces et attrapes à guichets ouvert
Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés.
(Propos recueillis par Guirec Sèvres)
Depuis le début de la pandémie du Covid-19, vous faites partie des observateurs sceptiques sur la gravité de celle-ci et sévères sur sa gestion par le gouvernement… En ce mois de novembre et ce nouveau confinement, votre opinion a-t-elle changé ?
Au contraire, elle s’est renforcée, alors que dans le même temps, on ne peut que constater que le scepticisme progresse chaque jour parmi la population française envers la maladie et sa gestion par les Autorités ; le gouvernement et son fumeux Conseil scientifique n’impressionnent plus grand monde, à part peut-être les hypocondriaques.
Comment l’expliquez-vous ?
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Oyonnax : des scènes de guérilla en ville en plein confinement
Dans la nuit du vendredi 6 au samedi 7 novembre, des scènes de guérilla urbaine se sont produites en plein cœur d’Oyonnax (Ain), relate La Voix de l’Ain.
« Oyonnax, c’est devenu Bagdad »
Des poubelles et des voitures brûlées, des tirs de mortiers et de pétards ont nécessité l’intervention des pompiers pour éteindre les divers incendies. Les forces de l’ordre ont été violemment prises à partie durant les interventions. La police mais aussi la BAC et même le peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (PSIG) ont dû être mobilisés pour disperser les agresseurs.
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Le recours de Donald Trump « Pourrait changer le résultat” de l’élection, selon un avocat spécialisé en droit public (Vidéo)
Plusieurs recours en justice ont été déposés par l’équipe de Donald Trump. Ils ciblent plusieurs Etats-clés, où le scénario d’une invalidation de bulletins de vote pourrait profiter au candidat républicain. « Quels bulletins de vote a-t-on le droit de compter en fonction de la loi de chaque Etat ? C’est cela qui est en jeu », explique à France 24 Olivier Piton, avocat spécialisé en droit public. « Cela pourrait changer complètement le résultat (de l’élection) ».
France24 / Fds
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François Bert, sur la gestion de la crise sanitaire : « Les Français voient bien que le gouvernement ne fait pas son boulot ! »
Avec le second confinement, on assiste à une grande confusion dans la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement : beaucoup de contradictions et de volte-face dans les annonces et les mesures prises qui déroutent les Français.
Analyse de François Bert au micro de Boulevard Voltaire.
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L’assassin de Nice, un pur produit du laxisme migratoire: les immigrationnistes s’en lavent les mains, par Anne van Gelder.
Brahim Issaoui
Les immigrationnistes s’en lavent les mains. Le gouvernement italien affirme n’avoir commis aucune faute en permettant à l’immigré clandestin tunisien accusé d’avoir tué trois personnes à Nice d’entrer en Europe, a déclaré vendredi la ministre de l’Intérieur, Luciana Lamorgese.
Brahim Issaoui, ce Tunisien de 21 ans qui a tué trois personnes à l’église Notre-Dame de Nice, est arrivé en Europe par la biais de la filière de Lampedusa, une porte d’entrée en Europe pour des milliers de clandestins en provenance des côtes libyennes ou tunisiennes.
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L’escroquerie du Covid-19
Les langues commencent à se délier. Et une fois de plus, je m’interroge sur le sondage Covid-19 qui affirme que 71 % des Français ne sont pas contre passer un Noël confiné.
Je n’arrive pas à comprendre l’intérêt qu’a un gouvernement à enfermer les Français chez eux et à fermer sans doute d’une façon pour nombre d’entre eux, sans doute, définitive les commerçants non alimentaires de nos villes. Il faut donc conclure que le trio Macron-Castex-Véran est soit un trio machiavélique, soit, comme le dit Pascal Praud sur CNews, tellement éloigné des préoccupations des Français qu’il décide selon la température hospitalière, se fondant sur des chiffres sujets à caution, et se moque éperdument de la vie économique et sociale de ses administrés.
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France : 57 % des jeunes musulmans estiment que la charia est plus importante que le droit français
Une étude de l’Ifop pour le Comité Laïcité République, publiée ce matin, met en lumière l’écart grandissant entre les musulmans et les autres Français sur le rapport à la laïcité. Signes religieux ostensibles, horaires réservés dans les piscines, enseignement de l’arabe à l’école… Autant de sujets qui opposent diamétralement ces deux France.
Le fossé se creuse entre les musulmans et les autres Français. Pour le “Comité Laïcité République”, l’institut de sondage Ifop s’est penché sur le rapport des Français à la laïcité. Une étude dont il publie les résultats ce matin, et qui ne manquera pas d’inquiéter tous ceux qui s’interrogent sur la possibilité pour les différentes communautés françaises de vivre ensemble. De fait, les chiffres sont éloquents. La majorité des musulmans de moins de 25 ans estiment que la Charia est plus importante que la loi de la République (57 %, en hausse de 10 points depuis 2016), quand à peine 15 % des catholiques estiment que les règles de leur religion devraient passer avant le droit français. Pareillement, deux musulmans sur trois sont opposés à l’idée que les enseignants puissent montrer des caricatures de personnages religieux à leurs élèves, alors que 75 % des Français et même 80 % des catholiques y sont favorables.