L’assassinat barbare d’un professeur d’histoire, coupable d’avoir voulu expliquer à ses élèves l’importance de la liberté d’expression, est l’aboutissement extrême des menaces et des pressions régulièrement exercées dans les établissements scolaires par des familles qui font passer la loi de leur religion avant la loi de la nation. Il est aussi la conséquence d’un laxisme trop fréquent, qui refuse de reconnaître la réalité : la volonté des islamistes d’imposer progressivement leurs conceptions politico-religieuses, incompatibles avec les valeurs de notre culture.
anti-national - Page 128
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Assassinat d’un professeur : l’impuissance de nos dirigeants face à l’islamism
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Contre la loi sur le séparatisme, un collectif de mosquées prend de l’ampleur au niveau national
Une centaine de responsables de mosquées se réunissent pour dénoncer “la discrimination de certains musulmans” dans certains discours politiques.
Samedi 2 octobre dernier, une quinzaine de policiers avaient débarqué à la mosquée Omar, dans le 11e arrondissement de Paris, en plein cours d’arabe, pour contrôler les lieux, les enseignants et les élèves. Peu après, plusieurs associations musulmanes s’étaient insurgées de cette opération menée au lendemain du discours d’Emmanuel Macron sur le séparatisme islamique. Depuis, plus de 100 responsables de mosquées françaises se constituent en collectif pour dénoncer « les discours politiques hostiles aux musulmans », rapporte Le Parisien.
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J’accuse les lâches et les hypocrites
Au lendemain de l’acte barbare – la décapitation sordide d’un enseignant qui faisait son travail -, on assiste au sempiternel défilé de politicards hypocrites, d’intellectuels s’étouffant et de lâches en pleine contrition. Les uns pointant du doigt les islamistes, les autres faisant semblant de découvrir les conditions psychologiques exécrables dans lesquelles les professeurs exercent leur activité, mais personne (ou très peu) relève la chasse à l’homme.
Les faits. Le professeur est accusé d’avoir montré des caricatures de Charlie Hebdo dans le cadre d’un échange sur la liberté d’expression avec ses élèves. En avait-il le droit ? OUI !
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"Faire bloc" ? Oui ! Contre le régime !
La décapitation à Conflans-Sainte-Honorine d'un professeur d'Histoire supplicié pour avoir cru aux principes républicains, s'inscrit dans la déjà longue théorie des martyrs français de la sauvagerie islamique.Aussi abominable soit-il cet acte n'est qu'un épisode de la guerre plus que millénaire menée par les fous d'Allah contre l'Occident. Le pire est évidemment à venir. Le temps des émeutes généralisées accompagnées de massacres de masses est pour bientôt, en comparaison desquelles les tueries du Bataclan et des rues avoisinantes apparaîtront comme de simples prolégomènes.Face à cette perspective sanglante, Macron a eu raison d'appeler vendredi soir les Français à "faire bloc".Faire bloc contre lui, faire bloc contre les lâches, les scélérats et les traîtres qui nous gouvernent, mais surtout faire bloc contre ce régime criminel qui, non content de cadenasser les libertés publiques et individuelles, abandonne son peuple à la submersion migratoire, à la domination de l'étranger et aux lames des égorgeurs. -
CONFLANS : DES ACTES ET NON DES DISCOURS !
Le président de la République et le ministre de l’Education Nationale se sont rendus au collège où enseignait Samuel Paty, le professeur d’histoire qui a été égorgé et décapité pour avoir montré les caricatures du « prophète » à ses élèves dans un cours destiné à ouvrir les esprits des collégiens à la liberté d’expression. On dit que les assassins reviennent toujours sur les lieux du crime. L’auteur présumé de cet acte terroriste n’en a pas eu le temps puisqu’il a été abattu par des policiers à proximité du lieu où sa victime a été découverte. Quatre interpellations suivies de gardes à vue ont eu lieu, notamment parce qu’une photo atroce aurait été diffusée sur la « toile ».
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Jean-Paul Brighelli : « Il faut éradiquer l’hydre islamiste, fanatique qui veut faire régner une loi qui n’est pas celle de la République »
Le 16 octobre, un professeur d’histoire de Conflans-Sainte-Honorine (78) qui, lors d’un cours sur la liberté d’expression, a montré les caricatures de Mahomet a été décapité devant son collège par un terroriste islamiste âgé de 18 ans, après avoir subi des menaces de mort.
Réaction de Jean-Paul Brighelli, qui dénonce cet acte barbare et demande des mesures urgentes contre « la menace terroriste permanente ».
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« France d’après » : un enseignant décapité dans la rue par un Tchétchène
Les Français vont devoir s’habituer, ont prévenu Macron et d’autres individus comme lui…
A moins qu’ils ne changent de régime et inversent l’immigration, ce que Macron a oublié de préciser.« La victime est un professeur d’histoire au collège-lycée du Bois d’Aulne. Il a récemment montré à ses élèves des caricatures de Mahomet, prophète de l’Islam, lors d’un cours sur la liberté d’expression. […]
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Le grand enfermement : préservons nos libertés et notre santé mentale
De Jacques Bompard :
Pire que le Covid, il existe une maladie kafkaïenne qui s’est emparée de l’exécutif. Concomitante du virus asiatique, ce dérèglement de la logique et du bon sens se traduit par une surenchère des oukases sanitaires, contradictoires les unes avec les autres et perpétuellement changeantes.
Il n’y a pas que le nombre de lits de réanimation qui n’a pas changé depuis le mois de mars. Aucune leçon médiatique n’a été tirée de la cacophonie de la période du confinement.
Ainsi, le discours d’Emmanuel Macron le 14 octobre au soir a ouvert le grand retour des règles absurdes de « Jacques a dit : pas plus de six à table » ou encore de « Jacques a dit : le virus va dans les bars qu’après 21 heures ».
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Coronavirus : Philippe, Véran, Ndiaye, Buzyn et Salomon perquisitionnés à domicile !
On savait que le gouvernement des juges était de plus en plus envahissant, mais depuis ce jeudi 15 octobre, il semble s’affranchir de toutes limites. Ainsi les forces de l’ordre ont-elles perquisitionné les domiciles d’Édouard Philippe, Sibeth Ndiaye, Agnès Buzyn, Olivier Véran et Jérôme Salomon. Dans la foulée, les bureaux des deux derniers, encore en exercice, ont subi le même sort.
Cette vaste opération fait suite à l’information judiciaire ouverte, en juillet dernier, par la Cour de justice de la République suite à neuf plaintes retenues, sur près d’une centaine, pour le délit consistant à « l’abstention de combattre un sinistre ». Lequel concerne, à en croire le Code pénal, « quiconque s’abstient volontairement de prendre ou de provoquer les mesures permettant, sans risque pour lui ou pour les tiers, de combattre un sinistre de nature à créer un danger pour la sécurité des personnes ». La peine encourue ? Deux ans de prison et 30.000 euros d’amende.
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La fille de Brigitte Macron éditorialiste sur Europe 1 pour commenter les décisions… d’Emmanuel Macron
Tiphaine Auzière est avocate et fille de Brigitte Macron. En 2016, elle a créé et dirigé un comité de soutien dans le Pas-de-Calais pour la campagne d’Emmanuel Macron. Lors des élections législatives de 2017, Tiphaine Auzière fut inscrite comme suppléante du candidat LREM Thibaut Guilluy pour la 4e circonscription du Pas-de-Calais, lequel a échoué.
Elle est désormais éditorialiste sur Europe 1, où la rédaction, qui s’était bruyamment opposée à la nomination de l’ancien journaliste de Valeurs actuelles Louis de Raguenel (désormais adjoint du service politique), n’a pas réagi.
C'est l'heure de la carte blanche de @TAuzierePas certain que le CSA réagisse.