Au lendemain de l’acte barbare – la décapitation sordide d’un enseignant qui faisait son travail -, on assiste au sempiternel défilé de politicards hypocrites, d’intellectuels s’étouffant et de lâches en pleine contrition. Les uns pointant du doigt les islamistes, les autres faisant semblant de découvrir les conditions psychologiques exécrables dans lesquelles les professeurs exercent leur activité, mais personne (ou très peu) relève la chasse à l’homme.
Les faits. Le professeur est accusé d’avoir montré des caricatures de Charlie Hebdo dans le cadre d’un échange sur la liberté d’expression avec ses élèves. En avait-il le droit ? OUI !