Elu en 2017 pour gouverner, Macron continue à communiquer. Une confusion qui explique le long entretien au média en ligne Brut, suivi d’échanges avec des jeunes sur le compte Snapchat du même média. Parmi les sujets abordés : l’immigration et le multiculturalisme.
Macron en a profité pour affirmer clairement sa vision de la France de demain : une France de la préférence étrangère.
anti-national - Page 133
-
Les préférences étrangères du président Macron
-
Niveau en maths et sciences : les élèves français classés parmi les derniers d’Europe et de l’OCDE
Le niveau des élèves français de CM1 et de 4e en mathématiques et en sciences se situe en-dessous de la moyenne européenne, selon le dernier classement TIMSS* (Trends in International Mathematics and Science Study) datant de 2019, et qui est publié mardi 8 décembre. Depuis 1995, cette enquête s’intéresse tous les quatre ans aux niveaux des élèves de CM1 et de 4e, dans les pays de l’Union européenne et de l’OCDE.
-
Toujours plus de fichage
Trois décrets parus au Journal officiel vendredi dernier permettent désormais de ficher les citoyens selon leurs opinions politiques. Oh, certes, pas tous les citoyens. Seulement ceux qui sont “susceptibles de porter atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation, à l’intégrité du territoire, ou des institutions de la République. Ou encore de constituer une menace terroriste”.
Mais il n’est pas sûr que cette définition très large ne concerne que les djihadistes.
Michel citait tout à l’heure l’étrange déclaration de Macron sur Brut. Il y a tout lieu de craindre que la dérive totalitaire du Pouvoir s’aggrave dans les prochains mois.
-
La famille Biden et la corruption
-
« L’Invasion de l’Europe – Les chiffres du Grand Remplacement » : la preuve par les faits
De nombreux pays européens connaissent depuis plusieurs décennies une immigration extra-européenne de plus en plus massive et subie. Comment en est-on arrivé là ? Quelles en sont les conséquences ? L’invasion de l’Europe – Les chiffres du Grand Remplacement, le récent essai de Jean-Yves Le Gallou et de la fondation Polémia présente, chiffres à l’appui, la profonde transformation de la population et de la société dans treize pays d’Europe de l’Ouest et du Sud. Un ouvrage sans tabous, qui n’évite surtout pas les sujets politiquement incorrects.
Lors de l’été et de l’automne 2019, la fondation Polémia a publié sur son site treize monographies de pays européens dans une série intitulée « Le grand remplacement en Europe ». À en juger par son retentissement en France et même à l’étranger (Canada, Suisse, Belgique, etc.), ce sujet répondait à une attente forte des lecteurs. Une attente de trouver des mots et surtout des faits à l’appui de cette expérience que Renaud Camus décrit dans son livre Le Grand Remplacement : « Combien sommes-nous à éprouver quotidiennement le même sentiment, […] le long des trottoirs de nos villes, dans les transports en commun, dans le métro parisien, face aux images ou à la réalité de nos écoles ou de nos universités ? Comme si pendant le temps de notre vie, et moins encore, la France était en train de changer de peuple. »
-
La dramatisation du covid-19 poursuit d’abord un but politique
Les Maires pour le bien commun ont publié une analyse politique de la crise du Covid. Extraits :
L’épidémie actuelle est un fléau qui tue les personnes vulnérables et qu’il faut combattre efficacement. Mais au-delà de l’aspect médical, cette étude résumée s’interroge sur l’exploitation financière et politique de l’épidémie. Les quatre constats ci-dessous, factuels, peuvent alimenter le lecteur cherchant des données objectives: les références lui permettent d’approfondir l’information n’ayant pas pu trouver place dans ce résumé.
1 L’épidémie est dramatisée par une manipulation avérée de l’information
A) Le nombre de morts annoncé est très surestimé
Le docteur P. El Baze explique dans France Soir le 16 septembre 2020 que le chiffre de morts annoncé sur les sept premiers mois de 2020 est au moins le double du chiffre réel. En effet sur cette même période il n’y a eu que 16 300 morts de plus en 2020 qu’en 2019 :
-
Cessons de subventionner l’immigration ! – Françoise Monestier – VIe Forum de la Dissidence
« Assimilation ? Séparation ? Communautarisation ? Remigration ? » Voilà le thème du VIe Forum de la Dissidence. Cet événement – ayant exceptionnellement eu lieu dans les locaux de TVLibertés, Covid-19 oblige – entendait donc étudier les différentes possibilités de régler la grave question identitaire et démographique à laquelle la France est confrontée depuis des décennies.
Au cours de cet événement, Françoise Monestier – membre indispensable de l’association Polémia – a rappelé à quel point l’immigration coûtait aux Français et à quel point il était urgent de cesser de payer tribut.
Texte du discours
Pendant des siècles, les sultans ottomans et leur administration ont levé tribut sur les populations juives et chrétiennes soumises à leur loi alors que les sujets musulmans ne payaient pas l’impôt.
-
La République Démocratique du Macronistan, par Aristide Renou.
Un des critères qui permet très facilement de différencier un régime libre d’un régime tyrannique, c’est la possibilité pour les habitants d’un pays de quitter celui-ci, en emportant leurs biens s’ils le souhaitent.
-
Nouvelle hausse de l’AME, destinée aux étrangers clandestins
Pour la première fois, le coût estimé de l’aide médicale de l’État (AME) réservée aux seuls étrangers en situation irrégulière en France dépasse le milliard d’euros. La somme inscrite en «crédits de paiement» dans le projet de loi de finances pour 2021, actuellement discuté au Parlement, est exactement de 1 milliard et 61 millions d’euros.
-
Pour Macron, l’arabe serait une chance pour la France. La réalité dit tout le contraire !
Depuis plus de trois longues années, les Français subissent l’arrogance d’un Président narcissique qui tient chacune de ses idées pour un trait de génie alors qu’elles naissent de la rencontre périlleuse entre quelques préjugés idéologiques superficiels et un total manque d’expérience. La dernière lubie de ce touche-à-tout consiste à mettre en avant la langue arabe chez les immigrés qui, selon lui, la parlent, ce qu’il considère comme une chance pour la France.