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anti-national - Page 138

  • Covid19, les derniers chiffres de mortalité française face à la propagande médiatique et gouvernementale

    Les statistiques se suivent et se ressemblent.

    Tous les 15 jours l’Insee met à disposition les nouveaux chiffres sur la mortalité en France. Tous les 15 jours l’Insee rappelle qu’il n’y a plus de surmortalité en France depuis le 1er mai. Mais quel est le poids d’un institut qui donne des chiffres incontestables une fois tous les 15 jours face à la propagande médiatique et gouvernementale quotidienne ?

    Bien peu de choses. Dans cet article on va revenir sur les derniers chiffres de mortalité française.

    Vous pourrez constater qu’il ne se passe rien, même un mois après la rentrée scolaire alors qu’on nous annonçait le retour de la tempête juste après le calme de l’été. On verra aussi que le nombre de morts du virus n’est pas la seule fausse idée que l’on a de la crise.

    Nous sommes passés depuis maintenant 6 mois à une dictature médico-médiatique. Nous voyons défiler chaque jour des médecins et des directeurs d’hôpital à la télé, alors que la surmortalité du coronavirus ne concerne même pas en premier lieu l’hôpital, mais les EHPAD et les personnes âgées à domicile.

  • Non, Monsieur Mélenchon, il n’y a pas « un problème avec la communauté tchétchène » mais avec votre aveuglement sélectif !

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    Combien y a-t-il de Tchétchènes, en France ? On ne sait pas. Certes, on le devrait, vu qu’ils sont tous « réfugiés politiques », mais non. On avoue partout qu’on n’en sait rien, cela, au motif que la France ne fait pas de statistiques ethniques. Officiellement ils sont entre 15 et 20.000 sur notre sol (selon Europe 1), beaucoup plus certainement, exilés d’un pays qui compte environ 1,3 million d’habitants.

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  • Marine Le Pen exige “une législation de guerre” contre l’islamisme

    Quelques heures après avoir rendu hommage à Samuel Paty à Conflans-Sainte-Honorine, Marine Le Pen s’est adressée aux Français ce lundi matin. Depuis le siège de son parti, la présidente du Rassemblement national a violemment taclé, l’inaction, à ses yeux, des pouvoirs publics depuis plusieurs années et demandé la mise en place d’une “législation de guerre” pour lutter “la dérive sectaire d’un Islam politique et de son idéologie criminelle, l’islamisme”.

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  • Michel Onfray sur CNews : « On voit bien que les gouvernants ne prévoient rien ».


    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/10/19/michel-onfray-sur-cnews-on-voit-bien-que-les-gouvernants-ne-6270848.html

  • Tout est prétexte pour censurer les réseaux sociaux

    Tout est prétexte pour censurer les réseaux sociaux

    Furieux que la loi Avia ait été censurée par le Conseil constitutionnel, nos apprentis dictateurs profitent de tout évènement pour revenir avec leur projet de censure d’internet (encore un virus chinois).

    Le porte-parole du gouvernement l’annonce :

    Xavier Bertrand, l’idiot utile d’Emmanuel Macron, a dénoncé à son tour le rôle des réseaux sociaux :

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  • Le Samedi Politique – Covid-19 : F. Di Vizio, l’avocat à l’origine de la perquisition des ministres explique tout !

    Depuis le début de la crise sanitaire du Covid-19, les décisions politiques incohérentes, inefficaces, ineptes s’enchaînent. Parmi les décideurs publics, beaucoup font valoir que le Covid-19 est nouveau et qu’ils ne « savaient pas ».

    Pourtant, dès son départ du ministère de la Santé, Agnès Buzyn s’est répandue dans la presse pour dire combien elle avait alerté le sommet de l’Etat sur la dangerosité de cette épidémie. Des déclarations qui ont justifié de nombreuses plaintes devant la Cour de Justice de la République, déposées par maître Fabrice Di Vizio, représentant le Collectif C19, un collectif de soignants et une association de victimes du Covid-19. Ces plaintes visent Agnès Buzyn, mais aussi son successeur Olivier Véran, l’ancien premier ministre Edouard Philippe, le directeur général de la santé, Jérôme Salomon.

    Tous ont été perquisitionnés, à l’instar de la directrice générale de Santé Publique France, Geneviève Chêne.

    Un temps judiciaire qui a suscité de très nombreux commentaires.

    Maître Fabrice Di Vizio nous dira tout.


    https://www.tvlibertes.com/le-samedi-politique-covid-19-f-di-vizio-lavocat-a-lorigine-de-la-perquisition-des-ministres-explique-tout

  • Les complices de l’islam terroriste

    Les complices de l’islam terroriste

    La décapitation de vendredi montre dans l’enchainement des faits une accablante complicité d’un certain nombre d’acteurs.

    Samuel Paty s’apprêtait à être sanctionné par l’Académie des Yvelines pour avoir osé montrer des caricatures du prophète Mahomet.

    Abdelhakim Sefrioui, prédicateur islamiste connu du renseignement, a été placé en garde à vue. Le 8 octobre, il avait appelé à la mobilisation contre l’enseignant. Son CV dévoile un profil d’islamiste expert de l’agit-prop.

    L’islamiste qui a décapité ce professeur d’histoire est un tchétchène de 18 ans né à Moscou, nommé Abdoulakh Anzorov. Il était connu pour des antécédents de droit commun, mais disposait d’un casier vierge. Il n’était pas connu pour sa radicalisation mais ferait partie d’une bande d’Éragny fréquentée par un islamiste fiché “S”. Sa famille est originaire d’un village au sud de Grozny, en Tchétchénie, et est arrivée en France en 2008. Leur demande d’asile pour obtenir le statut de réfugié politique leur a été refusée par l’administration, mais cette décision a été cassée en 2011 par la Cour nationale du droit d’asile. La famille Anzorov a donc obtenu le statut de réfugié et l’assaillant a reçu automatiquement une carte de séjour valable 10 ans en mars 2020, à sa majorité. Si la justice, en 2011, avait suivi l’administration, cette famille aurait fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire.

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  • “Collabos, collabos !”,”dégagez !” : l’intervenante de l’UNEF huée à Paris lors de l’hommage à Samuel Paty

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    De nombreuses manifestations ont été organisées dans la plupart des villes françaises pour rendre hommage à Samuel Paty, le professeur d’histoire décapité le vendredi 16 octobre à , par un Tchétchène islamiste ayant obtenu le statut de réfugié en mars dernier.

    A Paris, plusieurs milliers de personnes se sont rassemblées place de la République. Munies de pancartes « Non au  de la pensée » ou « Je suis prof », la mémoire de Samuel Paty a été saluée dans le calme. « Je suis Samuel », « Liberté d’expression, liberté d’enseigner », scandaient les manifestants. Des applaudissements ont été entendus, puis une minute de silence a été respectée et une Marseillaise a été chantée vers 15h30.

    “Dégagez !”, “collabos, collabos, collabos !”, “traîtres à la laïcité !”

    En revanche la tension est montée lorsque la représentante du syndicat étudiant UNEF a pris la parole pour rendre hommage au professeur. Son intervention à la tribune a été couverte par des huées et des sifflets. Malgré l’appel au calme d’un des organisateurs, elle a eu du mal à terminer sa brève  allocution, comme en témoignent des vidéos postées sur Twitter. “Dégagez !”, “collabos, collabos, collabos !”, “traîtres à la laïcité !” pouvait-on entendre dans la foule.

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  • Dix professeurs de droit contre "la police de la pensée" à l'université

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    Ils dénoncent, dans une tribune, le « lynchage » dont serait victime l'un de leurs collègues de Paris-1, après un cours controversé sur le mariage pour tous.

    Une dizaine de professeurs de droit (*), parmi lesquels le constitutionnaliste Olivier Beaud (Paris 2-Panthéon-Assas) et le civiliste Rémy Libchaber (Paris-1-Panthéon-Sorbonne) dénoncent, dans une tribune transmise au Point, le « lynchage médiatique » et la mise « au pilori » de leur collègue Aram Mardirossian. Cet historien du droit de Paris-1 a suscité une vive polémique après son cours d'histoire du droit de la famille, le 29 septembre, dans lequel il revendiquait haut et fort son hostilité au mariage pour tous, avant de se lancer dans une improbable comparaison chevaline : « Donc, il va y avoir forcément quelqu'un, un jour, qui va aller devant un tribunal et qui va dire : “Voilà, je suis discriminé, j'ai une jument, je l'adore, je ne peux pas l'épouser, c'est un scandale. C'est une discrimination !” » avait-il lancé à ses étudiants de L2. Le cours avait été filmé par l'un d'eux et aussitôt mis en ligne sur les réseaux sociaux, déclenchant une avalanche de réactions hostiles, sur Internet, de nombreux militants LGBT, dénonçant notamment « une comparaison scandaleuse entre homosexualité et zoophilie ».

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  • Médias partout information nulle part

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    Avec Le début de la fin et autres causeries crépusculaires, paru aux éditions Xénia, Éric Werner poursuit la publication de ses féroces et ironiques essais polyphoniques, dans lesquels dialoguent plusieurs personnages à présent bien connus des lecteurs d'Éléments l'Ethnologue, bien sûr, mais aussi l'Avocate, l'Auteur, le Cuisinier, l'Étudiante, l'Auditrice, etc. En toile de fond? La crise de la gouvernance néolibérale.

    « Le Moderne veut se libérer des conditions de sa liberté. Il guerroie contre ce qui le rend libre concrètement, au nom d'une liberté abstraite qu'il n'exerce jamais, mais qui s'exerce sur lui par un enchaînement de servitudes. »

    Luc-Olivier d'Algange, Propos réfractaires(1)

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