Ancien pharmacien, Serge Rader est auteur de plusieurs études sur les médicaments est l'invité d'André Bercoff sur Sud Radio
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Ancien pharmacien, Serge Rader est auteur de plusieurs études sur les médicaments est l'invité d'André Bercoff sur Sud Radio

Philippe Vardon réagit à la multiplication des scènes d’émeute dans les cités.

Partout sur le territoire, la tension grimpe dans les quartiers dits sensibles. Après 5 semaines de confinement, des épisodes de violence urbaine sont relevés chaque jour dans les banlieues françaises. Alors que les forces de police ont reçu l’ordre d’agir avec discernement dans ces quartiers à forte densité d’immigrés pour maintenir un semblant de paix sociale, les petits délinquants s’en donnent à coeur joie. Conscients du laxisme des autorités publiques à leur égard, ces individus n’ont qu’un seul objectif : prouver qu’ils sont maîtres de leur territoire. Ainsi, ils n’hésitent pas à multiplier les provocations face aux forces de police et les prendre à partie lors de guet-apens soigneusement organisés. En effet, les attaques sont préparées de façon méthodique avec, à chaque fois, des incendies de mobilier urbain ou de véhicules pour faire venir policiers et pompiers. S’ensuivent jets de projectiles et autres tirs de mortiers.

Alors que l'Allemagne entreprend aujourd'hui, méthodiquement et franchement, son déconfinement, les représentants du meilleur système du monde, celui de l'Hexagone, s'exprimaient hier sur les ondes du service public. La longueur de leur communication n'a d'égal que le nombre de questions sans véritables réponses.
Humainement, on peut les plaindre de leur douleur, visible en ce moment, dans leur rôle de ministres, c'est-à-dire serviteurs, d'un État aussi lourd, aussi centralisé, aussi coûteux et en même temps aussi impuissant, hésitant et cafouilleux.
Mais, autant nous souffrons tous de cet étatisme, autant nos bons esprits faiseurs d'opinion suggèrent d'en guérir les maux par un surcroît d'étatisme.

Le 2 septembre 2015, en pleine crise des migrants, la publication d’une photo d’un enfant de 3 ans dénommé Alan Kurdi, échoué mort sur la plage turque de Bodrum, a changé le cours des événements. À l‘occasion du récent épilogue judiciaire de cette affaire intervenue le 13 mars 2020, le recul permet de passer du gros plan sensationnaliste à un arrière-plan plus complexe.
La photo bouleversante en gros plan d’un enfant mort sur une plage a été reprise à l’époque dans de nombreux médias. Elle a été un élément majeur dans l’ouverture des frontières de plusieurs pays européens à l’immigration clandestine. Une ouverture amorcée par l’annonce un peu plus tôt de la chancelière Angela Merkel de son souhait d’accueillir jusqu’à 800 000 migrants en Allemagne. Depuis cette date, si la route des Balkans vers l’Europe de l’ouest est plus difficile à emprunter, ce sont néanmoins des millions de migrants extra-européens qui se sont installés en Europe. Le temps a permis d’en savoir plus sur les circonstances de ce drame excessivement médiatisé.

VA – L’escalade de la violence a pris une nouvelle dimension dans les Yvelines. Comme le relaye Le Parisien, la nuit de vendredi à samedi a en effet été le berceau de nombreuses échauffourées un peu partout dans le département. Une situation qui s’aggrave quotidiennement et menace un peu plus les forces de l’ordre. Selon les précisions du quotidien, la cité des Mureaux a vu ainsi une quinzaine d’individus jeter des projectiles sur une patrouille. Alors que le véhicule des officiers de police a été percuté par un pavé, les fonctionnaires ont été contraints de tirer quatre grenades désencerclantes.
(…) La situation a été encore plus tendue à Mantes-la-Jolie où une trentaine de jeunes ont agressé des policiers avec des jets de pierres. (…) Toujours selon le récit du Parisien, les policiers ont été la cible d’une véritable embuscade, attaqués et poursuivis en motocross. 80 jeunes se sont réunis avant de mettre des poubelles en travers de la route. Si le calme est finalement revenu, ces épisodes d’agressions répétés envers les forces de l’ordre soulèvent une nouvelle fois le problème du non-respect du confinement dans les banlieues les plus risquées d’Ile-de-France.

Aziz Zemouri est le pseudo-journaliste du Point (c’est d’abord un disciple de Tariq Ramadan), qui a publié l’intox sur la messe soi-disant clandestine de Saint Nicolas du Chardonnet la nuit de Pâques. Comme cela était prévisible, il s’agissait simplement d’excuser les futurs débordements, très prévisibles du ramadan. Voilà ce qu’il explique dans son article d’aujourd’hui :
À Lyon, « un appel à la prière » avait retenti du haut du minaret le 25 mars. La fachosphère s’est rapidement emballée et Marine Le Pen à sa suite s’est fendue d’un courrier au ministre de l’Intérieur pour le dénoncer. « Comme on ne peut pas sonner les cloches, c’était un appel de solidarité avec le personnel soignant. Personne n’est venu prier ce jour-là, comme tous les autres jours d’ailleurs depuis le confinement », répond-on.
Imiter Saint-Nicolas-du Chardonnet ?
Les contacts réguliers avec les représentants locaux du gouvernement sont confirmés quasiment dans toutes les régions où les musulmans représentent une part importante de la population, selon Abdallah Zekri, délégué général du CFCM.

Seront-ils un jour jugés pour leurs méfaits ?
L’an passé, des experts en pandémie conseillaient au gouvernement de constituer un stock d’un milliard de masques.
Au cours du mois de mars, face à l’épidémie de coronavirus, les Français ont pu se rendre compte de la pénurie complète de masques afin de protéger les soignants et la population. Amorcée dès 2011 par le gouvernement Sarkozy puis par le gouvernement Hollande, la destruction des stocks stratégiques pour faire des économies a créé une grande polémique.
PENURIE DE MASQUES : LA MACRONIE SAVAIT DEPUIS MAI 2019
Le ministre de la santé, Olivier Véran s’est très vite déchargé de sa responsabilité. Pour lui, les coupables sont évidemment les gouvernements précédents qui ont pris cette décision. Le hic, c’est qu’aujourd’hui, un rapport paru en mai 2019 a été déterré par Le Canard Enchaîné, et il pourrait bien faire l’effet d’une bombe.

Peu avant 22 heures à Mantes-la-Jolie, c’est une trentaine de jeunes qui s’en prend aux policiers au niveau de la rue Henri-Matisse. Visés par des pierres, les agents de la brigade anticriminalité, doivent eux aussi utiliser une grenade pour se dégager.
La situation se tend un peu plus rue du Docteur-Broussay où une véritable embuscade est menée à l’encontre des policiers, attaqués et poursuivis en motocross. Un groupe d’environ 80 émeutiers se rassemble alors avant de mettre des poubelles en travers de la route. Le calme est finalement revenu un peu plus tard dans le quartier. […]