
Georges Soros, le milliardaire ouvert, le potentat derrière les ONG humanitaristes, le grand manitou de la société liquide, fluide, l’énigmatique mais si puissant Georges Soros, fait l’objet d’un essai de Pierre-Antoine Plaquevent.
Le blog Polémia en publie une recension qui donnera envie à bien des lecteurs de se procurer cet essai et de venir écouter l’auteur qui interviendra lors de la 3e Fête du Pays Réel. Afin de mieux connaître cet artisan du Nouvel Ordre Mondial.
“Le livre que Pierre-Antoine Plaquevent vient de publier aux éditions Le Retour aux Sources, Soros et la société ouverte [1], tombe à point nommé. Le personnage vient en effet d’être nommé « Personnalité de l’année » par le Financial Times. On dénonce souvent en effet l’action des fondations du milliardaire George Soros pour favoriser l’immigration en Europe. Mais la plupart du temps on ne dépasse pas ce constat critique.
Le mérite de Pierre-Antoine Plaquevent est au contraire d’analyser en profondeur les racines intellectuelles et philosophiques de l’action de George Soros.




Depuis Abidjan, Emmanuel Macron a indiqué samedi 21 décembre que la colonisation a été « une faute de la République ». En février 2017 déjà, en pleine campagne électorale, il présentait sur une chaîne de télévision algérienne la colonisation comme « un crime contre l’humanité ». Selon lui, la France devait présenter ses « excuses à l’égard de celles et ceux envers lesquels elle a commis ces gestes de barbarie ». Le lendemain de l’entretien accordé à la chaîne de télévision algérienne, celui qui était alors député LR, Gérald Darmanin, avait tweeté pour fortement critiquer cette prise de position. Le vent a tourné, le tweet le plus rapide est cette fois venu de Benalla : « Non, la colonisation n’a pas été une mauvaise chose : infrastructures éducatives, de transports, de communication, de santé, augmentation de l’espérance de vie, elle a été une chance pour les pays colonisés. » Il a raison sur le fond, le comique étant que cela vienne de lui. Il faut en effet avoir l’esprit formaté pour ne pas voir combien la France a apporté à ses colonies.
fonction publique, le député-affairiste Anatole de Monzie (en médaillon) a écrit (in La saison des juges) : « La répression ne saurait se manifester que par crises : l’alternance de la poigne et du pardon constitue la norme des sociétés ».
