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anti-national - Page 293

  • Génétique, remigration… Le discours identitaire expliqué

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    Par Nicolas Faure ♦ Que veulent vraiment les identitaires européens ? Que pensent réellement ceux qui annoncent vouloir défendre leur identité et leur peuple ? Quelles sont les bases de leur discours ? La réponse en un court article explicatif.

    Le discours identitaire européen s’appuie (comme tous les autres discours identitaires du monde) sur le primat de la génétique. Le discours identitaire est avant tout scientifique, en opposition au discours cosmopolite qui est égalitariste, et donc obscurantiste.

    L’identité européenne, une réalité génétique

    Il existe des différences génétiques significatives entre les populations humaines.
    Exemple : les différences moyennes de taille, de masse corporelle et de propension à la schizophrénie entre Asiatiques, Européens et Africains sont génétiques.

    Les travaux de tous les généticiens – de Cavalli-Sforza à Evelyne Heyer – démontrent bien que l’identité européenne est une réalité génétique.

    Dans une tribune parue dans le New York Times, David Reich – professeur généticien à Harvard, juif et de gauche – admet que les populations humaines diffèrent les unes des autres. Il évoque même des capacités cognitives moyennes différentes entre les populations.

    Les différences intellectuelles entre les populations humaines sont effectivement significativement génétiques. Une donnée de première importance ! Toutes les informations utiles dans cette vidéo de Sunrise et ses sources.

    L’Europe aux Européens

    Toute personne un minimum honnête conviendra qu’une Chine composée à 70 % d’Européens, même parfaitement assimilés, ne serait plus la Chine.
    De la même manière, une France composée à 70 % d’extra-européens parfaitement assimilés ne serait plus la France.

    Reconnaître la justesse de cette proposition de bon sens, c’est bien acter que le génétique prime sur le culturel.

    C’est la fameuse phrase du général de Gaulle ! Celui dont tant de politiciens aiment à se réclamer. On peut avoir une petite minorité d’extra-européens en France (ou ailleurs en Europe), mais pas plus.

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  • Les contradictions ou les mensonges de Macron sur l’immigration et l’islam, par Christian Vanneste

    3309368304.jpgDepuis longtemps déjà les Français soucieux de la survie de leur pays pensaient avoir le choix entre ceux qui voulaient en finir avec lui et leur proposaient une France métissée promise à la faillite économique et ceux qui leur promettaient de remettre à flot le pays tout en colmatant les brèches par où entrait une population différente de moins en moins disposée à s’assimiler. La troisième option leur était présentée comme l’horreur absolue aussi bien pour l’économie que pour l’humanité, et servait d’épouvantail pour faire triompher l’une ou l’autre des deux premières. Finalement, c’est une quatrième solution qui l’emporta : la France serait sauvée par un génie de la finance, et la peur du marasme fit disparaître celle de l’invasion. Depuis deux ans, la France n’a guère amélioré ses performances économiques, mais le thème du changement de population perçu naguère comme un fantasme paranoïaque est devenu beaucoup plus puissant, avec l’extension d’une « communauté » musulmane venue d’ailleurs, de moins en moins encline à l’assimilation et de plus en plus disposée à la provocation, voire plus.

    Malgré les efforts conjoints des politiques et des médias, l’idée qu’on puisse mettre sur le même plan, les deux blessés après « l’attentat » commis contre une mosquée à Bayonne par un vieil homme qui n’a plus toute sa tête et les 263 morts des attentats islamistes dans notre pays, n’est pas de nature à rassurer l’opinion. Celle-ci est de plus en plus consciente qu’une communauté différente s’est installée et se développe sur le territoire en affectionnant d’occuper celui-ci avec les signes ostentatoires de sa présence. Les voiles islamiques ne sont pas des fichus qu’on porte par tradition et par habitude, au nom d’une décence féminine, ce sont les marques d’une appartenance qui se veut conquérante, et il faut être bien naïf ou de mauvaise foi, pour en nier l’intention.  Le point de savoir jusqu’où doit être toléré ce signal est anecdotique. La menace qu’il représente pour l’existence de notre pays et pour la permanence de son identité ne l’est pas. Le président de la République a tenté de répondre à cette angoissante question qui n’était manifestement pas à son programme.

    Il l’a fait selon son habitude en tentant de manipuler l’opinion. Il s’est adressé pour évoquer le sujet à un hebdomadaire clairement de droite, « Valeurs Actuelles ». C’était une manière de dire que non seulement il n’esquivait pas le problème mais allait même au-devant de ceux qu’il préoccupait davantage. Peu après avoir dit que le voile dans l’espace public n’était pas son affaire, il a donc reconnu que notre politique de peuplement était mauvaise, que notre intégration économique était en échec au moment même où l’islam était en crise, que l’abandon d’exigences républicaines avait accentué les difficultés. Demande-t-on à un Chef d’Etat des analyses ? Non, on lui demande des actes, et il est clair qu’ici la clarté apparente du discours de contrition n’ouvre la voie à aucune solution. M. Macron a simplement dit : je vois la question et je m’en occupe.

    Peu de temps auparavant, il avait dit qu’il fallait être vigilant contre l’hydre islamiste, et qu’il refusait le communautarisme. La seconde affirmation est évidemment fausse. En 2016, selon le sociologue canadien, Mathieu Bock-Côté, en égrenant l’origine des citoyens venus à son meeting de Marseille, Emmanuel Macron a dévoilé sa vision idéologique multiculturaliste : « Je vois des Arméniens, des Comoriens, des Italiens, Algériens, Marocains, Tunisiens, Maliens, Sénégalais… Mais je vois quoi ? Je vois des Marseillais… Je vois des Français. » 

    Emmanuel Macron n’est évidemment pas un homme de droite attaché à l’identité de la France. C’est un mondialiste qui pense que les Etats-nations sont voués à disparaître au profit d’une gouvernance mondiale qui devra gérer non seulement la circulation des biens et des capitaux, mais aussi celle des personnes tout aussi indispensable pour répondre aux déséquilibres démographiques de la planète. Son attachement à souligner l’importance du risque climatique, qui ne concerne guère la France, n’est que la conséquence de son idéologie : effectivement, le climat ne peut être traité qu’à un niveau mondial. Selon lui, le réchauffement climatique est un danger, les migrations ne le sont pas : elles conduisent tout naturellement à créer des nations composites sur le modèle américain qui exige le respect mutuel des composantes, et de leurs cultures différentes. Le multiculturalisme est la conséquence logique de cette politique, sauf que la France n’est pas un pays d’immigration de longue date comme le rappelait récemment Michèle Tibalat, que ses immigrants ne sont pas issus de l’Amérique latine catholique, qu’ils ne viennent pas avec l’espoir de devenir les citoyens d’un Eldorado admiré, mais souvent avec l’idée d’une revanche à prendre sur d’anciens colonisateurs, entretenue d’ailleurs stupidement par les Français partisans de l’immigration.

    Les Français ont élu un homme qui est totalement inconscient de la principale menace qui pèse sur eux, car il ne se rend pas compte à quel point le multiculturalisme suicidaire, qui se construit dans les quartiers où les minorités deviennent majoritaires, est le terreau de l’islamisme. Mohamed Merah a été le prototype de ces enfants d’immigrés non assimilés, passant de la drogue et de la délinquance au terrorisme, par la case prison parce que détenteurs d’une double nationalité, et éduqués souvent dans la haine de la France, ils sont la réserve d’une armée hostile au sein même du pays. Entre le quartier où la police n’entre plus par peur du guet-apens et l’acte terroriste à l’extérieur, la différence est de degré et non de nature. C’est la raison pour laquelle l’hydre du terrorisme verra sans cesse ses têtes repousser. L’idée d’une « société de vigilance » dans des quartiers où se pratique l' »omerta » communautaire fait preuve d’un paradoxal aveuglement. On ne peut « en même temps » vouloir l’immigration de masse en provenance de pays musulmans et prétendre s’attaquer à l’hydre de l’islamisme.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/11/05/les-contradictions-ou-les-mensonges-de-macron-sur-l-immigrat-6187906.html#more

  • Quelle est l’alternative au projet de transformation de notre pays en terre d’islam ?

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    La République ? Vous y croyez vraiment ? Comment le pourra-t-elle, dès lors qu’elle ne se donne comme objectif que de laïciser l’islam ?

    Sans doute obtiendra-t-elle la neutralité bienveillante d’une majorité de musulmans de France, mais elle sera impuissante devant l’hydre islamiste qui s’est donné comme objectif de nous conquérir au prix d’un combat mené à coups d’attentats. La minorité fondamentaliste qui représente 10 à 20 % des musulmans de France ne sera jamais « laïcisable ». Et la majorité silencieuse des laïcisés sera toujours susceptible de les rejoindre à un moment charnière de bascule. Ajoutons à cela l’argument démographique, le combat semblerait perdu d’avance si la France n’était, de toutes les nations de la terre, sans doute celle à laquelle notre Dieu chrétien a apporté la plus grande attention. Cette France « fille aînée de l’Église » !

    Sauf que les chrétiens sont en train d’abjurer, ou à tout le moins de renoncer à ce destin peu commun et exemplaire. Pourquoi ? Comment ? C’est la grande question des années écoulées depuis 1789…

    Il demeure que notre peuple est encore modelé par le christianisme.

    Mais le conformisme ambiant fait qu’il est devenu de règle de critiquer l’Église, de refuser ses dogmes, son intolérance supposée. Il suffit de participer à un dîner en ville où que ce soit, et même de lire les articles de l’excellent Boulevard Voltaire, pour rencontrer ces hommes et ces femmes qui vous assènent leurs jugements fruit d’un anticléricalisme ancien. Pour certains (ils sont une majorité), leurs modes de vie les ont éloignés des dogmes dont ils ne veulent plus, incapables de revenir en arrière et trop jaloux de leurs conquêtes sur le supposé obscurantisme du christianisme. D’autres, moins nombreux, se disent encore catholiques mais vivent en dehors d’une Église qu’ils ne fréquentent plus que de manière épisodique, irrégulière et sans aucun esprit sacrificiel ni sacramentel. Les derniers, enfin, sont simplement indifférents ou ignorants du christianisme.

    Imaginons pourtant, un instant, qu’une majorité de cette France encore catholique retourne à l’Église, qu’elle aille à la messe le dimanche, remplissant à nouveau ses églises, qu’elle retourne au confessionnal. Je sais, je rêve. Mais imaginons quand même…

    Ne serait-ce pas la seule alternative crédible à l’islam en conquête ? Ne serait-ce pas un électrochoc d’une puissance redoutable pour les musulmans qui nous méprisent parce que nous sommes devenus sans religion. La seule opposition qu’ils craignent, c’est celle de Jésus-Christ et ses saints. C’est, en même temps, la seule opposition pour laquelle ils auraient de la considération et du respect.

    Alors oui, je rêve, mais la France n’a-t-elle pas connu d’autres retournements dans son histoire ?

    Il suffirait que tout ce peuple piégé dans son conformisme moderniste comprenne que l’amour ne se réalise pleinement qu’autour du Christ vivant, présent dans ses sacrements, et que si son enseignement est exigeant il est également la seule voie de la paix véritable.

    Le blog de Bernard Hawadier : ICI.

    Bernard Hawadier

    https://www.bvoltaire.fr/quelle-est-lalternative-au-projet-de-transformation-de-notre-pays-en-terre-dislam/

  • Pierre Cassen : Chanteloup-les-Vignes brûle, mais c'est Zemmour qu'il faut éliminer...

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/11/04/pierre-cassen-chanteloup-les-vignes-en-brule-mais-c-est-zemm-6187761.html

  • Pour le ministre Djebbari (LREM) : « la France blanche n’a jamais existé dans l’Histoire »

    La négation du réel est poussée de plus en plus loin par les remplacistes et cosmopolites…

    Invité lors du « Grand Jury RTL, Le Figaro, LCI » dimanche 3 novembre, le secrétaire d’Etat en charge des Transports Jean-Baptiste Djebbari dépeint la France de Marine Le Pen : une « France gauloise, blanche, hétérosexuelle si possible comme le disait Eric Zemmour. C’est une France qui n’a jamais existé dans l’histoire et elle construit cette utopie et elle dresse les gens les uns contre les autres, ça me paraît être totalement l’inverse de notre projet ».

    Trois remarques :
    ► Ce Djebbari soit ne connait strictement rien à l’histoire de France (ce qui est plausible pour un ministre républicain), soit nie le réel en mentant effrontément.
    Rarement un peuple (le peuple français, presque entièrement gaulois jusqu’à présent) a fait l’objet d’un tel mépris, d’une telle négation de son identité, de son existence.
    ► Djebbari avoue explicitement que le « projet » de son parti cosmopolite est « l’inverse » d’une « France gauloise, blanche, hétérosexuelle ».
    ► Djebbari se trompe quant à la vision de la France qu’a Marine Le Pen. Contrairement au Front national d’avant, la présidente du Rassemblement national ne cesse de dire qu’elle a une vision non ethnique (donc multiraciale) de la nation française.

    http://www.contre-info.com/pour-le-ministre-djebbari-lrem-la-france-blanche-na-jamais-existe-dans-lhistoire

  • Le nombre de blessures oculaires causées par les LBD en forte hausse depuis la crise des Gilets jaunes

    Le nombre de blessures oculaires causées par les LBD en forte hausse depuis la crise des Gilets jaunes

    C’est le résultat d’une étude menée auprès des CHU de France et publiée dans la revue médicale britannique The Lancet.

    Les auteurs de l’étude « blessures oculaires causées par des armes non-létales en France » ont fait parvenir une « enquête rétrospective » à tous les CHU de France, où sont traités les patients les plus gravement atteints, pour recenser les cas suspectés de blessures oculaires par LBD, sur la période allant de février 2016 à août 2019.

    Deux cas sont recensés en 2016, un en 2017, mais 25 en 2018 – année du début de la crise des Gilets jaunes – et 15 sur la période étudiée de 2019.

    Sur le total de 43 cas étudiés, 20 ont été traités à Paris par l’AP-HP. L’âge moyen des victimes est de 26 ans. Il y a 38 hommes et cinq femmes. Vingt-cinq patients présentent des blessures ouvertes au globe oculaire et 18 d’autres traumatismes, notamment à la rétine (10 cas). Il y a 25 cas de fractures orbitales, 12 de fractures de la face et deux de dommages au cerveau. Trente des 43 patients ont dû être opérés, à une ou plusieurs reprises. Parmi eux, neuf ont dû être énucléés.

    Parmi ces dernières, Florian Lignier, qui vient de témoigner dans un ouvrage paru aux éditions Via Romana : Tir à vue. Samedi 8 décembre 2018 sur les Champs-Élysées, lors de l’Acte  IV du mouvement des « Gilets jaunes , les forces de l’ordre, censées réprime les casseursr, tirent une volée de grenades lacrymogènes sur des manifestants pacifiques regroupés de l’autre côté de l’avenue. Touchée en plein visage, Fiorina est opérée le soir même : fractures du nez, du visage, traumatisme crânien et l’œil gauche perdu. Dans son témoignage elle raconte que le personnel médical, qu’elle a longtemps fréquenté au cours de l’année écoulée, avouait découvrir pour la première fois autant de blessés aux yeux suite à des manifestations.

    Fiorina témoigne que, si elle est venue d’Amiens pour manifester au côté de son fiancé, c’est tout autant pour défendre la dignité des travailleurs de la France « périphérique » que pour s’opposer au Pacte mondial sur les migrations des Nations unies qu’Emmanuel Macron s’apprêtait à signer à Marrakech. Face au silence des médias, à l’indifférence voire au mépris du gouvernement, à la lenteur de la justice, la jeune étudiante en philosophie, marquée par plusieurs opérations qui la marquent désormais pour la vie, a décidé de ne pas baisser les bras. Sans être pour autant animée par un esprit de vengeance :

    https://www.lesalonbeige.fr/le-nombre-de-blessures-oculaires-causees-par-les-lbd-en-forte-hausse-depuis-la-crise-des-gilets-jaunes/

  • Théorie du genre : aveux d’un “chercheur” universitaire canadien qui reconnaît avoir tout inventé de ses élucubrations qualifiées d’études…

    Des abus décapants sur la genèse des constructions sociologiques : il suffit de prendre pour acquis les élucubrations de quelqu’un pour qu’en les citant dans certains travaux les affirmations qu’ils contiennent deviennent vérités absolues alors qu’aucune analyse n’en a été faites!
    Le point relate l’affaire dans un gros dossier au titre fracassant:

    Théorie du genre : confessions d’un homme dangereux

    Un historien canadien, expert en « gender studies », avoue avoir falsifié les conclusions de ses recherches, au service de sa propre idéologie politique.

    “Selon les enquêtes sur les domaines de spécialisation menées en 2005 et 2007 par l’Association des historiens américains, les plus gros effectifs se comptaient dans l’histoire des femmes et du genre, suivis de près par l’histoire sociale, l’histoire culturelle et l’histoire raciale et sexuelle. Autant de domaines partageant avec moi une même vision du monde : que pratiquement toutes les identités ne sont qu’une construction sociale et que l’identité n’est qu’une question de pouvoir.

    …/…

    À l’époque, pas mal de gens n’étaient pas de mon avis. Toute personne – c’est-à-dire pratiquement tout le monde – n’ayant pas été exposée à ces théories à l’université avait bien du mal à croire que le sexe n’était globalement qu’une construction sociale, tant cela allait à l’encontre du sens commun. Mais, aujourd’hui, ma grande idée est partout. (sic!)

    …/…

    Aujourd’hui, j’aimerais faire mon mea culpa. Mais je ne me contenterai pas d’être désolé pour le rôle que j’ai pu jouer dans ce mouvement. Je veux détailler les raisons qui me faisaient faire fausse route à l’époque, et celles qui expliquent les errements des socio-constructionnistes radicaux contemporains. J’ai avancé les mêmes arguments qu’eux et que je sais qu’ils sont faux.

    …/…

    La question du pouvoir alors, est-elle réellement omniprésente ? Peut-être. Et peut-être pas. Pour prouver que c’était le cas, je ne faisais que citer d’autres chercheurs qui en étaient persuadés. Et encore mieux s’ils étaient philosophes avec un nom français. Je me suis aussi beaucoup appuyé sur les travaux d’une sociologue australienne, DNW Conwell. Selon elle, la masculinité est avant tout une question de pouvoir – et permet d’affirmer la domination des hommes sur les femmes.

    Sauf que ses travaux ne permettent pas de le prouver. Tout ce qu’elle fait, comme je le faisais, c’est d’extrapoler à partir de petites études de cas. J’ai donc cité Connell. Et d’autres m’ont cité. Voici comment l’on « prouve » que le genre est une construction sociale et une question de pouvoir. Comment on peut prouver n’importe quoi et son contraire.

    …/…
    Mon raisonnement bancal et d’autres travaux universitaires exploitant une même pensée défectueuse sont aujourd’hui repris par des militants et des gouvernements pour imposer un nouveau code de conduite moral. Lorsque je prenais des verres avec d’autres étudiants et que nous bataillions tous pour la suprématie de nos ego, cela ne portait pas trop à conséquence. Mais les enjeux sont aujourd’hui tout autre. J’aimerais pouvoir dire que ce domaine d’études s’est amélioré – que les règles de la preuve et la validation par les pairs sont plus exigeantes. Sauf que, en réalité, l’acceptation aujourd’hui presque totale du socio-constructivisme dans certains cercles est bien davantage le fruit d’un changement démographique au sein du monde académique, avec des points de vue désormais encore plus hégémoniques qu’ils ne l’étaient à l’époque de mes études supérieures.”

    https://www.lepoint.fr/debats/theorie-du-genre-confessions-d-un-homme-dangereux-03-11-2019-2344979_2.php

    On ne peut pas être plus clair !
    On regrettera que cette introspection et cette sincérité n’aient pas encore atteint les universitaires français… Et pas seulement en ce qui concerne les domaines du “genre”…
    Claude  Timmerman
  • Macron a menti aux Français : Merkel crache le morceau sur Marrakech


    En signant le Pacte de Marrakech, Macron a menti au peuple français, le gouvernement a menti et les médias lèche-bottes ont menti.

    Il y a bien eu intention de cacher la vérité sur le caractère contraignant du pacte, contrairement aux dires du gouvernement.

    C’est le gouvernement allemand qui l’a reconnu.
    En France, pas un seul média n’a évoqué le sujet alors que les discussions ont duré plus d’un an ! C’est dire combien Macron est fiable et digne de confiance !

    Réunions secrètes, discussions confidentielles, communication partielle, tout s’est fait volontairement dans le dos des peuples européens.

    Lire la suite sur l'Info National

  • Pourquoi parle-t-on moins des migrants à la télévision ?

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    Pour mieux les faire rentrer douce.
    Quand j’étais jeune on nous disait que les immigrés allaient nous aider à construire notre économie, puis qu’ils rentreraient chez eux.
    Puis on nous a dit qu’il n’allaient pas rentrer chez eux mais s’intégrer et devenir des citoyens comme les autres.
    Puis ont nous a dit qu’il ne devraient surtout pas s’intégrer, que ce serait raciste d’exiger ça d’eux, mais que nous allions vivre ensemble dans un paradis multiculturel.
    Maintenant ce serait plutôt aux Européens de souche à s’intégrer…
    Quand un grand nombre d’Européens de souche habitent un quartier, on nous dit qu’il n’y a pas assez de diversité.
    La diversité n’est considérée comme accomplie que lorsque les derniers Européens ont quitté leur quartier.
    L’immigration de masse que nous connaissons ne fait qu’augmenter, quoiqu’en disent les chiffres. Ceci est vrai même quand des politiciens qui y sont opposés sont au pouvoir, comme aux États-Unis.
    Cette immigration de masse est raciste ; elle attise la haine entre des communautés, qui auparavant n’existait pas, et divise le pays.
    Les immigrés de deuxième et troisième génération qui veulent s’intégrer voire s’assimiler, sont toujours assimilés aux yeux des derniers arrivants.
    Le but de cette immigration est le changement de population ; il est d’empêcher les peuples européens d’avoir des états démocratiques et souverains (voir Der Praktischer Idealismus, livre projet du fondateur de l’UE).
    Il est aussi de priver les pays d’origine des ressources humaines nécessaires à leur reconstruction.
    Des pays comme le Canada importent massivement les personnes les plus diplômées.
    Dans l’ensemble l’immigration de masse sert à mettre les peuples à genoux, en les divisant et montant les uns contre les autres, afin de les soumettre à une dictature globale, sans que les populations concernées aient le droit de le savoir.
    Voilà pourquoi les médias n’en parlent pas.
    Emmanuel Brun d’Aubignosc pour Quora
    http://by-jipp.blogspot.com/2019/11/pourquoi-parle-t-on-moins-des-migrants.html#more

  • Compteur Linky: Voilà ce qui nous attend

    L’image contient peut-être : texte
    Un Système de Taxation pour les Véhicules électriques déjà installé en France, mais non encore actif.
    C'est pour 2021.. et la vous commencez à comprendre la pression pour la pose et cette échéance pour cette année là.... c'est leur échéance, pas la nôtre.
    Vous n'imaginiez tout de même pas que le Gouvernement allait s'asseoir sur les Taxes, liées au Carburant et que vous alliez faire des Economies !
     Rassurez-vous, le Compteur Linky est là pour y remédier !!!!!
    Voir la Vidéo complète de 5.30 mn :
    http://www.lapagefinanciere.fr/videos/nasse-linky.mp4