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anti-national - Page 288

  • 5 millions de radicalisés prêts à prendre les armes ?

    5 millions de radicalisés prêts à prendre les armes ?

    D’Eric Cusas dans Politique Magazine :

    On ne sait pas exactement combien il y a de musulmans en France. L’estimation basse est de cinq millions mais certains, comme l’ancien ministre à la Promotion de l’égalité des chances Azouz Begag ou la démographe Michèle Tribalat suggèrent qu’ils sont en réalité entre quinze et vingt millions. Si l’on considère que vingt-cinq pour cents de cette population (probablement sous-estimée) est radicalisé (c’est le chiffre généralement avancé au niveau mondial), cela fait tout de même entre 1.250.000 et 5.000.000 de personnes prêtes à prendre les armes en cas de confrontation soit, grosso modo (et a minima), quatre fois et demi l’effectif de l’armée d’active. Même si l’on divise ces chiffres par deux, ils restent terrifiants ! Nous parlons, ne l’oublions pas, de personnes souvent jeunes et n’ayant pas peur de mourir, pour qui la mort est même une consécration, au contraire de l’autochtone moyen. Voilà ce qui explique, du moins en partie, qu’un fonctionnaire qu’on sait acquis à l’islam salafiste reste en poste bien qu’on le sache potentiellement dangereux. Surtout ne pas froisser, ne pas donner l’impression que l’on condamne, ni même que l’on se protège, ce qui traduirait une forme de suspicion. On est ainsi passé imperceptiblement, d’un calcul électoraliste au petit pied, de la recherche d’un nouveau damné de la terre, à une sorte de pied de paix armée. J’en suis convaincu, les intégristes, qui s’inscrivent dans une logique de conquête, n’attendent que l’étincelle qui déclenchera l’affrontement. Ils savent que nos populations vieillissantes, gavées de graisse, lobotomisées par la téléréalité et, surtout, sevrées d’idéal comme des chapons de leur virilité ne sont pas prêtes au combat. Un idéal, eux, les salafistes, ils en ont un, si détestable que nous le jugions, et c’est cela, conjugué à notre pusillanimité, à notre renoncement moral, qui fait leur force. M. Collomb ne s’y est pas trompé qui, à la veille de son départ avertissait son successeur : deux parties de la population se font face et si l’on n’y remédie pas, elles finiront par s’affronter. Alors, quand l’islam frappe, au cœur même de nos villes, que faire sinon s’empresser de nier qu’il soit la cause du drame et trouver en toute hâte une explication au geste du meurtrier, si invraisemblable soit-elle ? Que faire lorsque le grotesque de cette explication de circonstance apparaît au grand jour, sinon condamner l’acte d’un déséquilibré ? L’islam rend-t-il fou ? Les musulmans radicaux ont-ils, a minima, un projet de partition du territoire en attendant une submersion démographique, même relative ? « La question ne sera pas posée ! » comme répondait inlassablement le président du Conseil de guerre à l’avocat de l’infortuné capitaine Dreyfus. Il n’y a qu’une diagonale des fous.

    https://www.lesalonbeige.fr/5-millions-de-radicalises-prets-a-prendre-les-armes/

  • Manifestation islamo-gauchiste à Paris.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Ce dimanche, la vermine islamo-gauchiste a rendez-vous dans les rues de Paris pour "marcher contre l'islamophobie".
    À l'appel des organisations musulmanes communautaristes, aux côtés d'activistes salafistes ou frères musulmans et d'imams prêcheurs de haine contre l'Occident, défileront gauchistes, communistes, progressistes-radicaux-immigrationnistes et syndicalistes révolutionnaires.
    Hier ils portaient les valises du FLN et manifestaient contre ce qu'ils appelaient le colonialisme, c'est a dire la grandeur de l'Empire français.
    Aujourd'hui ils portent les baluchons des islamistes et apportent leur soutien à la nouvelle colonisation et à l'anéantissement de notre civilisation. 
  • La « ouf », disent-ils…

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    Il fut un temps où les artistes exprimaient leurs désaccords à coups de mots et de rimes. Parmi les Ferré, Brel ou Brassens, certains auraient sans doute repris Zineb El Rhazoui lorsqu’elle avait évoqué l’idée de « tirer à balles réelles » sur les émeutiers démolissant tout sur leur passage et tirant à coup de mortiers sur les forces de l’ordre. Notre guitariste moustachu, pacifiste et antimilitariste convaincu, lui aurait peut-être répliqué une phrase du type « mourir pour des idées d’accord, mais de mort lente ».

    Mais ce temps-là est révolu. Désormais, nous avons les rappeurs. Ces artistes à la plume facile ont toujours trouvé un public au sein de la société. À travers leurs textes rebelles, ils ont amené toute une partie de la jeunesse vers la contre-culture des quartiers. On y vante régulièrement l’argent facile et le refus de l’autorité avec, en arrière-fond, des femmes dénudées au bord d’une piscine ou à l’intérieur d’une luxueuse berline de marque allemande. Une contre-culture teintée de communautarisme qui a réussi à séduire une bonne partie de la jeunesse française.

    Ces ménestrels contemporains, magnifiés par la petite bourgeoisie bohême, s’engagent et s’expriment aussi sur la société. Et voilà ce que nous avons le bonheur d’entendre ou de lire : « Pourrissons la vie de cette grosse m… puante. » Le poète Booba a trouvé un relais appréciable en la personne de Cyril Hanouna, sorte de Bernard Pivot des temps modernes, toujours enclin à faire rayonner la culture et la langue française : « Big up pour sa vidéo sur la ouf, bravo mon Booba ! », sous les approbations de ses chroniqueurs et du public.

    La « ouf » : magnifique verlan de « fou ». Une folle qui alerte depuis sa jeunesse au Maroc contre l’intégrisme islamique. Une folle menacée de mort, sous protection policière constante, qui se bat en France pour éviter, au pays de Molière et de Voltaire, de sombrer dans l’obscurantisme de la charia qu’elle a connue. Une folle qui a vu ses compagnons de Charlie Hebdo se faire massacrer à balles (réelles) de Kalachnikov par les frères Kouachi alors que la médiasphère dans son ensemble n’avait que des « pas d’amalgame » en bouche et des petites bougies pour images.

    Des fous comme Zineb El Rhazoui, l’Histoire de France en a déjà connu. Il y en avait dans les maquis pour saboter les convois nazis. On en trouvait également à Valmy et, bien avant, aux côtés de Jeanne d’Arc pendant la guerre de Cent Ans. Bon nombre d’entre eux ont fini dans des geôles sordides, torturés ou brûlés vifs sur des bûchers, sous les approbations ou le silence d’un peuple groggy et d’élites soumises à l’ennemi. Mais c’est aussi sans doute grâce à des fous comme Zineb El Rhazoui que la France est encore debout et qu’elle se veut éternelle.

  • Islamophobie : le nouveau chantage victimaire ? – Le Samedi Politique

     
    Alors que la question de l’Islam est au cœur de l’actualité de ces dernières semaines, Philippe d’Iribarne, directeur de recherches au CNRS et auteur de « Islamophobie, intoxication idéologique (Ed Albin Michel), revient sur cette notion où les musulmans seraient victimes de discrimination en raison de leur religion.
    Entre quête de victimisation, communautarisme et revendications, des associations se sont désormais spécialisées dans la lutte contre l’islamophobie.
    Que cache ce nouveau combat ?
    Est-il légitime en France ?
    Les réponses dans ce numéro du Samedi Politique.

  • Des nouvelles de Greta Thunberg : c’est la panne sèche !

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    C’est un véritable appel au secours que Greta Thunberg lance au monde entier via Twitter : « J’ai besoin de trouver un moyen pour traverser l’Atlantique en novembre… Si quelqu’un pouvait me trouver un moyen de transport, je serais extrêmement reconnaissante. »

    Car il y urgence pour elle : depuis que l’Espagne a décidé d’organiser la COP25 en lieu et place du Chili, la pauvre Greta est prise de court. Elle le dit elle-même : « Il s’avère que j’ai traversé la moitié du globe dans le mauvais sens. »

    Comique de situation : celle qui, il y a quelques semaines, s’élançait pour une transatlantique de luxe à bord de son voilier décarboné à plusieurs millions d’euros se retrouve coincée sur une grande île, l’Amérique. D’où son appel à l’aide pour un moyen de transport, des financements, ou les deux. Elle qui a tant reproché aux adultes de ne penser qu’au pognon et pas à l’urgence climatique, voilà qu’elle ne cracherait pas dessus si ça pouvait lui permettre d’arriver à bon port…

    Mais attention, pour elle, le voyage par les airs est exclu. Car la demoiselle souffre d’un deuxième syndrome, en plus de celui d’Asperger, le « flysgkam ». Jamais entendu parler ? C’est normal, car Greta Thunberg en est à la fois la créatrice et la victime. C’est une maladie de la honte. Celle de prendre un avion. Elle touche d’autres concitoyens, paraît-il, qui ont une conscience très aiguë des désordres climatiques. Ce n’est pas donné à tout le monde, certes, mais c’est pris très au sérieux. Par la Commission européenne, notamment, qui réfléchit à créer une taxe sur le trafic aérien.

    De quoi faire plaisir à la petite Greta mais qui, pour l’instant, ne règle en rien son urgence du moment : se rendre en Espagne.

    Effectuer la traversée sur son beau voilier dans l’autre sens est inenvisageable : dame Nature l’interdit et ne cédera pas aux coups de gueule et supplications, même d’une adolescente. L’été n’est pas l’hiver et les dépressions et coups de vent en océan Atlantique ne sont pas propices à une telle croisière, aussi médiatique soit-elle.
    L’option traversée sur un cargo ? Pas très sexy pour Greta : un des moyens de transport les plus polluants, paraît-il.

    Et une croisière sur le Queen Mary 2 ? Avec cabine privée, repas à bord et prestiges ? Un peu bling-bling pour l’égérie de la croisade pour la planète. Encore que, des incongruités, on en a vu d’autres dans l’épopée de Greta. Comme, par exemple, le fait que les skippers de la croisière de cet été ont dû faire le voyage en avion pour récupérer le voilier décarboné.

    Il n’empêche, ce SOS tombe à point nommé pour rappeler l’existence de la miss à la conscience du monde. Ses invectives, accusations et crises de larmes avaient fini par lasser. Même Emmanuel Macron s’est agacé. Avec l’affaire du voile, les banlieues à feu et à sang, les Français regardaient ailleurs.
    Le sortilège est peut-être rompu…

    Bonne chance, petite Greta, et surtout, bon vent !

    Sabine de Villeroché

    https://www.bvoltaire.fr/des-nouvelles-de-greta-thunberg-cest-la-panne-seche/

  • Islamo ignorance et petite gauche complice

    6a00d8341c715453ef0240a49b7295200c-320wi.jpgC'est dans Libé, journal résiduel ex-gauchiste devenu feuille fourre-tout, qu'a été lancé l'appel à manifester, pour ce 10 novembre, contre la prétendue nuisance dite "islamophobie". Il s'agit d'une opération du CCIF, filiale assez notoire des Frères musulmans. Cette manœuvre a été ainsi lancée le 1er novembre. "Plus de cinquante personnalités, semblait alors exulter le journal de la petite gauche qui publiait la tribune, appellent à manifester le 10 novembre à Paris contre la stigmatisation des musulmans de France". Stigmatisation : toujours ce mot ritournelle, qui insulte à la mémoire de saint François d'Assise.

    Or, cette manipulation s'est révélée au fil des jours trop grosse, cousue de mensonges et d'hypocrisie. Beaucoup protestent. D'autres laissent comprendre qu'ils ont donné leur signature, comme on le fait pour une police d'assurance, sans lire. D'autres, comme Cyprien Cini le 7 novembre s'amusent franchement[1] du "petit malaise" qui, en résulte, une fois de plus chez les politiques.

    C'est donc aussi dans Libé qu'on pourra lire quelques jours plus tard une étonnante volte-face signée de Laurent Joffrin, qui titre dans sa lettre du 8 novembre "Comment rater un appel à manifester". Autrement dit si la manif se révèle désastreuse ou contre-productive le camarade éditorialiste s'en lave les mains.

    Toute cette ridicule et significative pantalonnade résulte d'abord d'une ignorance crasse des réalités de l'islam.

    On ne peut pas, à ce stade, excuser par conséquent le sabotage de l'information, celle du public, mais aussi celle des décideurs supposés omniscients. Une récente séquence a été dénoncée au parlement, par exemple, dans une question d'actualité[2] posée au gouvernement par Gérard Longuet, sénateur de la Meuse. Celui-ci souligne un scandale sans doute habituel dans les médiocrités de M. Castaner. Pour reprendre le texte : "les agents du service public ont été privés d'une formation organisée par l'université Paris I Panthéon-Sorbonne". Destinée à les sensibiliser sur le terrain de la radicalisation, elle devait être dispensée par Mohamed Sifaoui, spécialiste sans concession.

    L'ignorance à vrai dire n'est pas seulement programmée, elle est assumée. À l’époque soviétique l'exécrable formule sorbonnarde et germanopratine préférait se tromper avec Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir que d'avoir raison avec Raymond Aron. Aujourd'hui, si les protagonistes et les enjeux semblent différents, la complaisance demeure identique

    Une Caroline de Haas, responsable féministe incarne ainsi la catégorie de ces éternels et dangereux compagnons de route. Elle effectua, naguère, ses années d'apprentissage de 2006 à 2009 comme Secrétaire générale de l'UNEF. Sans paraître dupes, en s'offrant la coquettrie d'une petite divergence, tout en reconnaissant qu’elle se trompe, dans son blogue de Mediapart elle proclame le 6 novembre : "je serai à la manifestation dimanche contre l'islamophobie".

    Assez vite, les eaux se sont séparées.

    Le Mélenchon, pour citer l'exemple le plus criant, s'est enferré à défendre les islamistes, au nom de sa conception d'une laïcité à la turque et de l'argument suprême de l'antiracisme. Comme si l'islam et l'islamisme concernaient uen "race" ! Ancien, et dans son esprit futur, candidat à la présidence de la république se comporte dès lors comme un parfait idiot utile[3].

    Pascal Bruckner de son côté, résume l'ensemble des arguments de la partie adverse en dénonçant "cette gauche qui va défiler aux côtés de tous les extrémistes de lʼislam"[4]Regrettons simplement ici les insuffisances récurrentes des professeurs de bienséance centristes à la Bruckner, enfermés dans l'entre-soi hexagonal.

    Le caractère mondial du conformisme politiquement correct, adossé lui-même à l'internationale de l'islamisme totalitaire, ne devrait échapper à aucun observateur lucide.

    Observons ainsi ce qui se passe outre-Manche, au-delà de l'écume politicienne. L'Angleterre s'apprête à sortir de l'Union européenne, et l'Écosse semble en train de choisir une voie divergente. Mais la Grande Bretagne, royaume de plus en plus désuni, quittera-t-elle pour autant le totalitarisme politiquement correct ? Il est permis d'en douter quand on apprend ce qui advient à un intellectuel sikh, Lord Indarjit Singh. Celui-ci vient de quitter la BBC. Il l'accuse de fonctionner comme une police de la pensée. Et elle a en effet interdit d'évoquer l'histoire d'un de ses coreligionnaires opposé à l'oppression musulmane. La BBC interdit aussi de parler de la conversion forcée des Hindous en Islam, sous l'empire moghol de l'Inde du XVIIe siècle. Les hindouistes considèrent en effet que ce fut le plus grand génocide de l'histoire.

    Mais chut : l'islam relooké politiquement correct n'accepte pas que l'on s'interroge sur son histoire.

    JG Malliarakis  

    Retenez la date : le Mercredi 27 novembre conférence de JG Malliarakis sur la Naissance de l'Illusion mondialiste à l'occasion de la réédition du livre d'Emmanuel Beau de Loménie "La Ratification du Traité de Versailles"
    de 18 h à 20 h à la Brasserie du Pont Neuf 14, quai du Louvre M° : Louvre, Pont Neuf ou Châtelet

    Apostilles

    [1] Cf. Le surf de l'info sur RTL
    [2] Question d'actualité au gouvernement n° 0992G de M. Gérard Longuet (Meuse - Les Républicains) publiée dans le JO Sénat du 31/10/2019
    [3] Mais "utile" à qui en dernière analyse ? Il facilite une manœuvre, elle aussi grosse comme une maison. Telle candidate préprogrammée qui, se réclamant d'un soutien aux grévistes du 5 décembre, s'apprête à reprendre aux protestataires de gauche les 2 ou 3 points de popularité perdue par ce que son électorat de base perçoit pour ses outrances et ses incompétences. L'hypothèse sondagière de sa présence au second tour, à nouveau, en 2022 est considérée comme la garantie de réélection de son adversaire. Attention toutefois : Louis-Ferdinand Céline le disait joliment : "L'histoire ne repasse pas les plats".
    [4] Entretien publié par Figaro Vox le 7 novembre

    https://www.insolent.fr/2019/11/islamo-ignorance-et-petite-gauche-complice.html

  • Facebook, deux milliards et demi de fidèles et une censure en forme

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    Altius, citius, fortius. Alors que le réseau social lance comme test aux États-Unis Facebook News tab, nouvelle arme pour inféoder les médias séduits, sidérés ou résignés, la croissance de Facebook est constante en nombre d’utilisateurs comme en profits.

    Cette semaine, le groupe a annoncé une hausse de son nombre d’utilisateurs ainsi que la troisième hausse consécutive de la croissance trimestrielle de ses ventes. L’ensemble de ses filiales compte désormais 2,5 milliards d’utilisateurs mensuels actifs sur au moins une de ses plateformes (Facebook, Instagram, Whatsapp, Messenger), en hausse de 8% sur un an. Facebook lui-même revendique 1,65 milliard d’utilisateurs.

    Les utilisateurs mensuels réguliers

    Population de la Chine ? Environ 1,5 milliards d’habitants. Public régulier Facebook ? 1,65 milliards. Facebook 1 Chine 0. Population totale de la Chine + les Etats-Unis + la Russie + le Brésil ? 2,3 milliards ? Utilisateurs Facebook + Messenger + Instagram + WhatsApp ? 2,5 milliards. Chine/Etats-Unis/Russie/ Brésil 0, groupe Facebook 1. Bien entendu ces chiffres ne sont pas comparables, mais ils servent d’utile instrument de comparaison.

    Les sous vont bien, merci

    Avec un chiffre d’affaires d’un peu moins de 18 milliards de dollars, en progression de 29%, le troisième trimestre 2019 a apporté quelques satisfactions à Mark Zuckerberg. Avec une marge supérieure à 40%, le bénéfice trimestriel est supérieur à 6 milliards de dollars (vous lisez bien, six milliards). Le cours de bourse a suivi, en progression de 40% sur un an. Une action de la société achetée en novembre 2018 vous aurait coûté 140 dollars, revendue le 5 novembre 2019, elle valait 196 dollars.

    La censure se porte pas mal non plus

    Alors que Twitter annonce refuser les publicités politiques, Facebook veut les accepter au nom de la « liberté d’expression ». Une liberté d’expression régulièrement mise à mal par le réseau social, voir notre article de septembre 2019 où nous analysons l’alliance des grands réseaux sociaux américains pour créer un nouveau Big Brother de la toile.

    L’Observatoire du journalisme avait été victime pendant l’été 2019 d’une censure du réseau social, une tribune sur Alain Duhamel avait brusquement disparu du réseau social avant de reparaître 8 jours plus tard. Le quotidien catholique Présent, la page du dessinateur Miège, le mensuel Causeur ont eu aussi les mêmes mésaventures. L’Observatoire a de nouveau été l’objet d’une censure le 10 octobre, nous y reviendrons de manière détaillée dans un prochain article.

    Texte repris du site de l’OJIM

    https://fr.novopress.info/215958/facebook-deux-milliards-et-demi-de-fideles-et-une-censure-en-forme/

  • Bistro Libertés avec Papacito : La haine anti-flics : l’escalade ?

    La haine des policiers : l’escalade ?

    Les forces de l’ordre font face à une multiplication des guets-apens, des actes de rébellion, de jets de projectiles et de tirs de mortiers. En moins d’un an, les violences dirigées contre les forces de sécurité ont augmenté de près de 15 %. Un « tout le monde déteste la police » qui trouve un écho jusqu’au sein des vrais Gilets Jaunes parfois victimes de violences ou d’erreurs policières. La haine des policiers : l’escalade ?

    Le populisme en Europe : la stagnation ?

    La défiance des populations envers les « partis de gouvernement » au profit de mouvements d’un type nouveau, qu’on appelle « populistes », est sans nul doute le fait le plus marquant depuis au moins deux décennies. Pour le philosophe Alain de Benoist, nous vivons le moment populiste ! Cependant, Matteo Salvini n’est plus au pouvoir, Boris Johnson piétine, l’Autrichien Heinz-Christian Strache a été sèchement remercié. Le populisme en Europe : panne et stagnation ?

    Papacito est un blogueur, vidéaste, acteur et scénariste de bande dessinée.

    Auteur et fondateur du blog FDP, il est connu pour ses prises de position carabinées.

     Publié chez Ring, Il n’hésite pas à se mettre en scène dans les clips de son éditeur et sur les couvertures de ses livres.

    Dans « Le crépuscule des titans »,  en bon royaliste, il prend la défense du moyen âge et nous invite à libérer les héros de leurs tombeaux.

    Les bandes déssinées  « FDP » qu’il signe avec Marsault ont des tirages à faire pâlir les grandes maisons d’édition.

     Il cartonne sur YouTube avec des vidéos frôlant le million de vues. Il bouleverse les tabous de notre société édulcorée.

     Il choque, horrifie ou terrifie certains. Provocateur barbare pour les uns ou chevalier wisigoth pour les autres ; ce qui est certain,  c’est qu’il est un grand maître de la communication numérique.

    https://www.tvlibertes.com/bistro-libertes-avec-papacito-la-haine-anti-flics-lescalade

  • Page spéciale sur la manifestation islamo-gauchiste du 10 novembre contre l’islamophobie

    Jean-Luc Mélenchon affirme qu'il participera à la marche contre l'islamophobie demain à Paris

    .....

    Marche contre l'islamophobie: Marine Le Pen fustige le soutien et "la trahison" de Jean-Luc Mélenchon

    Lire l'article

  • MEDITERRANEE : L’UNION EUROPEENNE, PREMIERE COMPLICE DES PASSEURS !

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    La Méditerranée, mer presque fermée, est bordée par un nombre impressionnants d’États, du plus petit, la principauté de Monaco, jusqu’au plus peuplé, l’Égypte du maréchal Sissi.

    Dans son périmètre, après un léger ralentissement dû, en partie, à la présence à Rome d’un pouvoir « fort », c’est reparti pour les navettes maritimes entre l’Italie et la Libye, depuis que Mattéo Salvini a quitté son poste de ministre de l’Intérieur. En attendant son inéluctable retour aux affaires, question de temps, et avec l’objective complicité de Macron, de Conte, le président du Conseil italien, et de la chancelière Merkel sur le déclin, la noria des bateaux aux missions humanitaires, « humanitaires » entre guillemets, va continuer, pour le plus grand bien du portefeuille des passeurs.

    Toutes ces ONG, dont certaines ont le sieur Soros derrière elles, vont chercher des migrants, principalement arabo-africains mais pas que, en quête d’un hypothétique Eldorado. Ils sont  lancés en mer sur des barcasses bien fragiles, et sont récupérés, la plupart du temps, sur simple coup de fil donné par les passeurs, par toutes ces pleureuses humanitaires qui déverseront leurs cargaisons humaines à Malte, en Sicile et à Lampedusa.

    Et comme d’habitude, Allemagne, France, Pays-Bas, Luxembourg, Irlande, Portugal, se répartiront les effectifs de ces « demandeurs d’asile » (la plupart, d’ailleurs, en seront déboutés et deviendront des clandestins, venant gonfler les hordes déjà en nos murs !) C’est là que l’on mesure l’hypocrisie de la politique du fameux « en même temps » du jeune résident de l’Élysée, j’écris « résident » à dessein. Alors qu’il tente, vainement à mon sens, de récupérer une partie de l’électorat de droite en le caressant, un peu, dans le sens du poil par une interview donnée à Valeurs Actuelles, il continue, parallèlement, d’ouvrir les vannes aux clandestins.

    Un flot ininterrompu

    Qu’on en en juge avec ces dernières semaines : l’Asso 30, battant pavillon italien, au service des compagnies pétrolières qui travaillent off shore, a débarqué en Sicile le 3 novembre, 150 « naufragés » dont 4 enfants. Le même jour, 88 immigrants étaient débarqués  des flancs de l’Alan Kurdi, à Tarente, un port de la région des Pouilles, l’Allemagne et la France en prenant chacune 30, les autres étant réparti entre l’Irlande, 2, le Portugal, 4, etc… en application d’un préaccord « européen » conclu à Malte. Ce navire était affrété par une ONG allemande.

    Le 29 octobre, après avoir fait des ronds dans l’eau pendant onze jours, l’Océan Viking, au service de « SOS Méditerranée » et de « Médecins sans frontières », était autorisé à se délester de son humaine cargaison à Pozzallo, soit 151 clandestins dont 40 mineurs. La délicate situation politique de la Libye, écartelée entre le gouvernement de Tripoli, reconnu sur le plan international, et le régime du maréchal Haftar, installé à Benghazi, soutenu par l’Égypte et, plus mollement, par la France, ne facilite pas les missions de la garde côtière libyenne. Elle n’avait pas pu intercepter l’Open Arms, de l’ONG espagnole PROACTIVA, débarquant une première fois à Malte, le 27 octobre, 44 illégaux et, une seconde fois, le 1 er novembre, toujours à La Valette, 15 clandestins récupérés sur un canot dérivant.

    On sait que la solution n’est pas de ramasser les dizaines de milliers de migrants illégaux exploités par les passeurs, et qui risquent leur vie en mer, mais de détruire, avant que ne partent tous ces demandeurs d’asile, ces nids de vipères que sont ces négriers modernes qui prospèrent au détriment de la misère humaine, sur les côtes libyennes. Une opération militaire combinée des principales puissances européennes riveraines, Espagne, Italie, France, n’aurait rien d’impossible. Les éléments commandos sont là, l’arme aux pieds, disponibles dans ces trois pays. Mais il manque une volonté politique pour donner des ordres, une mission avec un objectif précis et, dans cette affaire, l’Union européenne, une fois de plus, une fois de trop, démontre son incapacité, pour ne pas dire son inutilité, voire même, sa capacité de nuisance en voulant imposer des quotas de migrants à ses membres (sous peine de sanctions financières, un comble, à l’encontre des pays récalcitrants !).

    Les zones de tension, productrices de réfugiés, ne manquent pas, et certaines portes sont encore grandes ouvertes : les îles grecques submergées par des proche-orientaux complaisamment abandonnés par le sieur Erdogan, les présidios espagnols de Ceuta et de Melilla enclavés au Maroc, où, parfois, des Africains qui n’ont plus rien à perdre, se ruent à l’assaut de barrières grillagées, nos départements d’outre-mer, Guyane, Mayotte et la Réunion, où, respectivement, Surinamiens, Comoriens et Sri-Lankais espèrent, de là, pouvoir gagner la métropole, sans oublier la frontière américano-mexicaine où les Latinos, grâce à un mur interrompu, gagnent les USA, la nouvelle Babel, etc…

    Les « mesurettes » du gouvernement Macron

    Alors même qu’en France, le gouvernement annonce des mesures restrictives, très modestes, envers les étrangers, disons « indésirables », notamment ceux qui profitent de notre système de santé  pour faire du « tourisme médical », il va augmenter les effectifs des immigrés en voulant initier une politique des quotas économiques, pour complaire au patronat. Plus précisément, au lieu de faciliter la remise au travail de chômeurs par des mesures, à la fois incitatives et coercitives, d’augmenter notre capacité en matière de formation professionnelle, on va céder à la facilité.

    Eh bien non, disons-le très fort, nous préférons, par exemple, des informaticiens Français, plutôt que des ingénieurs importés de feu l’Empire des Indes, des médecins « Gaulois », à la place de Roumains ou d’Algériens. Comme en matière démographique, tout se planifie, même si les bonnes intentions ne sont pas toujours « récompensées ». Une grande politique familiale aurait évité à l’Allemagne de voir sa « Germanité » se réduire, à terme, comme une peau de chagrin : on annonce, au rythme où vont les choses, seulement 36 millions d’Allemands « de souche » à la fin du siècle ! Moins dramatique pour la France, mais pas bien loin. Ce n’est pas en vidant l’Afrique pour repeupler l’Europe, que l’on résoudra les difficultés des uns et des autres.

    Une grande politique du développement, avec birth control, - par l’électrification totale du continent et l’arrivée d’eau potable dans tous les villages de brousse comme dans les mégalopoles -, couplée avec une totale étanchéité de nos côtes et de nos frontières, serait l’un des remèdes aux maux de la planète. « Mais ceci, comme aurait dit Kipling, est une autre histoire ».

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