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anti-national - Page 288

  • 13 novembre 2015, Bataclan : des tueurs organisés dans la fosse, désorganisés à l’étage

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    Un article E&R initialement publié le 13 novembre 2017.

    «  J’ai vu son visage, je pourrais le reconnaître. Il ressemblait à n’importe qui. Il ne nous tenait pas en joue. Il tenait sa kalachnikov tranquillement, serein, comme un militaire de Vigipirate. On aurait dit qu’il était là pour nous évacuer. Il n’avait même pas l’air menaçant.  » Son frère a vu un autre tireur, «  un grand blond aux cheveux ras  ». «  Ça avait l’air préparé, froid. Il n’y avait rien d’inorganisé. Ils étaient positionnés correctement pour être efficaces.  »

    Quand la lumière revient, «  assez rapidement  », il n’y a plus un bruit. Et là, «  ils se sont mis à tirer sur les gens un par un. Ils marchaient autour de nous. Nous les entendions recharger leurs armes. Parfois, des gens essayaient de partir en groupe et alors ils tiraient dessus en rafales. D’autres les ont insultés. J’ai entendu des “Connards”, “Bande d’enculés”. Et ils leur tiraient dessus. Ils tiraient de façon méthodique. Ils ont parlé assez fort mais de façon posée. J’ai entendu   : “C’est la faute de François Hollande et de ses frappes en Syrie. Vous avez voté pour lui.”  » Son ami Anthony, 33 ans, aperçoit des gens qui essayent de se lever. «  Ils les abattent.  » Lui ferme les yeux et fait le mort. «  Une femme crie que son copain est mort. Ils l’abattent.  » Le sol est une piscine de sang. Des lambeaux de chair se sont répandus. Un homme à côté de Cécile la soutient comme il peut  : «  Courage. Il faut faire le mort.  » (Le Monde du 16 novembre 2017)

    Sur les centaines de tweets que nous avons ramassés ce soir-là, en voici une douzaine qui rendent compte de la sidération et de la confusion qui se sont emparées des Français :

    Allisson FQSP© ‏
    Les spectateurs du stade de France sifflent sans comprendre le match a repris problème à la sortie un corps déchiqueté a été retrouvé

    Nain Portekoi
    Tu passes une bonne soirée, tu rentres chez toi, tu allumes la radio, tu vis un cauchemar.

    julien Sartre ‏
    Rue de Charonne les policiers crient "rentrez chez vous, à l’abri, ils sont encore dans la rue !!"

    Philippe Corbé
    Au moins 13 morts rue Bichat et une quinzaine de morts près du Bataclan #EditionSpecialeRTL

    Nicolas Demorand
    18 morts selon la @prefpolice plus prise d’otages au Bataclan. Mais PUTAIN DE MERDE !

    canyourepeat !? ‏
    Louis, présent au #Bataclan avec sa mère témoigne sur @franceinfo : "ils ont crié Allah Akbar et ont tiré sur la foule" #paris #fusillade

    EL ЯAFA
    Il y aurait une centaine d’otages au Bataclan #fusillade

    Stalker 
    "Selon un policier, le bilan pourrait atteindre les 100 morts ..... !"

    Mabrouk Sonia ‏
    Le plan Rouge Alpha déclenché, plan multi-attentats lors d’attaques massives. La France entre dans une nouvelle ère

    Pauline Lallement ‏
    Mehdi rescapé : "ils étaient organisés lorsque l’un tirait lautre rechargait." @ParisMatch

    Guillaume Auda
    D’après le préfet de police de Paris , 4 terroristes au #bataclan avaient des ceintures d’explosif qu’ils ont actionné lors de l’assaut

    JSSNews 
    Vidéo : #Netanyahu avait prédit des attaques musulmanes contre la #France… http://goo.gl/fb/KS7jrE #occident

    Haziza Frédéric ‏
    Plus de 100 morts à Paris : qui pourra encore dire que nous sommes pas en guerre contre les #barbares #nazislamistes ?

    Nous étions en poste ce soir-là et avons appris les premiers faits sur Twitter, juste après 21h, avec les « pétards » du Stade de France. Puis, très vite, les tirs, les morts, les infos – invérifiables –, les bilans – fluctuants –, les premiers témoignages bruts de l’intérieur du Bataclan (ensuite ceux qui allumaient leur portable se faisaient abattre), les prises de position politiques, le déchaînement de soutien et de rage, et enfin le bilan officiel, le discours du président de la République, et le début de l’enquête.

    François Hollande à 23h54 (alors que l’assaut au Bataclan n’est pas terminé) : « Nous savons d’où elle vient, qui sont ces criminels, qui sont ces terroristes… Il y a effectivement de quoi avoir peur, il y a l’effroi. »

    Deux ans après, Salah Abdeslam campant sur son mutisme, les familles des 130 victimes, les 495 blessés et les Français n’en savent toujours pas plus sur cette soirée de cauchemar. Certes, il y a eu un rapport officiel de 341 pages, que nous avons lu scrupuleusement, mais que la plupart des Français n’ont pas lu. Ce texte est le résultat de l’enquête de la commission parlementaire menée par deux députés, l’un de gauche (Pietrasanta), l’autre de droite (Fenech), scellant ainsi une sorte d’union sacrée devant le danger « terroriste ». Un terrorisme aveugle, aveuglant, et toujours sans revendications...

    Voir la suite de cet article très complet en cliquant ICI

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Loi Avia : la répression va prendre de l’ampleur

    OJIM – L’Observatoire du Journalisme avait déjà consacré un article à l’analyse de la loi Avia. Intitulée « loi contre la haine sur internet », elle a été votée à l’Assemblée Nationale le mardi 9 juillet 2019 par 434 voix pour et 33 contre. Elle avait été annoncée par le président Macron lors du dîner du CRIF en février 2019. Son objet est de bannir des grandes plateformes en ligne les discours dits « haineux ». La loi doit être examinée par le Sénat en février 2020.

    ABANDON DE LA FONCTION RÉGALIENNE DE L’ÉTAT

    La loi de 1881 sur la liberté de la presse donnait au juge et au juge seul les instruments de répression contre les abus : appels au meurtre ou à la violence contre les biens ou les personnes, diffamation etc. La loi veut compléter celle de 1881 pour « réguler » internet. Pour ce faire elle donne à la fois droit et obligation aux réseaux sociaux, de supprimer tous « discours haineux, violents, racistes » sous peine d’amende pouvant atteindre 4% de leur revenu mondial. Constitutionnellement, c’est je juge judiciaire qui est le garant des libertés individuelles, nous assistons ici à une privatisation du pouvoir judiciaire.

    UNE LOI DE DÉNONCIATION

    Par un simple clic les internautes pourront signaler au réseau social un contenu « illicite ». Les opérateurs auront alors obligation de supprimer, déréférencer le contenu dans les 24h sous peine d’amende. Quand on connaît un peu l’histoire de France et le goût pour la délation d’une part significative de nos concitoyens (remontons simplement à la période de l’occupation et celle de la libération), il va y avoir du monde au portillon. Pire, des groupes organisés pourront faire supprimer tout sujet qu’ils jugeraient « contraire à la loi ». L’opinion « L’immigration est un désastre pour les Européens » pourra être assimilée à un « discours de haine » par les groupes de pression. Elle sera pourchassée, réduite au silence, éradiquée. Ce qui est sans doute l’objectif majeur de la loi.

    Un effet d’entraînement

    Les opérateurs sont menacés d’une amende de 4% de leurs revenus mondiaux. A la louche Facebook réalisera un chiffre d’affaires de 100 milliards de dollars en 2019. 4% cela fait 4 milliards, pas loin du bénéfice d’un trimestre. Devant ce risque les réseaux sociaux vont se couvrir au maximum et faire du préventif. L’Observatoire a déjà été victime par deux fois des ciseaux des censeurs de Mark Zuckerberg. Et ce, alors que la loi n’est pas encore en application. Depuis 6 mois les réseaux sociaux « s’entraînent » et suppriment les posts ou les vidéos à tour de bras. On peut imaginer ce qui se passera lorsque la loi sera en vigueur.

    Déséquilibre dénonciateur/dénoncé

    L’article 6-2 III dans sa rédaction actuelle précise qu’en cas de dénonciation abusive une peine d’un an d’emprisonnement et une amende de 15000€ peut être prononcée. Une disposition dénuée de toute force opératoire. Prenons un exemple : L’Observatoire publie un article jugé « illicite » par SOS Racisme, Conspiracy https://www.ojim.fr/conspiracy-watch-observatoire-objectif-complotisme-bras-arme-gauchisme/watch et un mouvement trotskiste. Ces derniers agitent leurs sympathisants. 200 dénonciations individuelles sont reçues et le réseau social supprime le post. Nous faisons appel, le post est rétabli. Nous voulons aller plus loin et attaquer les dénonciateurs. Le réseau social n’a aucune obligation de communiquer leurs coordonnées et même s’il le faisait on voit mal comment l’Ojim pourrait attaquer deux cents personnes. La loi est totalement déséquilibrée en ce sens et favorise/encourage les délateurs sans les dissuader de tout excès.

    L’application de la loi (car elle sera votée, droite et gauche confondues, n’en doutons pas) ne conduit pas à 1984 comme certains l’ont dit mais au Meilleur des mondes d’Huxley. Bentham rêvait du panoptique pour surveiller les prisonniers. Laetitia Avia a dû lire Bentham et s’en inspirer. Nous lui conseillons plutôt la lecture de la Fabrication du consentement de Noam Chomsky.

    OJIM

    https://www.tvlibertes.com/actus/loi-avia-la-repression-va-prendre-de-lampleur

  • Démêlés judiciaires de Jérôme Bourbon et Eric Zemmour : vive la liberté d'expression !

    913647494.4.jpgUn communiqué du Mouvement national républicain :

    Le 23 avril dernier, le directeur de RIVAROL, Jérôme Bourbon, comparaissait devant la XVIIe chambre correctionnelle du tribunal de grande instance de Paris, pour divers écrits et pour une vidéo sur Youtube, datant tous de l’année 2018. Il était poursuivi pour injures raciales, diffamation publiques raciales, contestation et apologie de crimes contre l’humanité.  Comme il le fait remarquer, comment peut-on à la fois contester l’existence d’un crime contre l’humanité et en faire l’apologie ? Il écrit dans Rivarol : Et pourtant le ministère public a réussi à trouver une injure raciale dans la considération suivante, qui était pourtant, de manière manifeste, un trait d’humour : « On me dit que si je ne me réjouis pas ce soir (le 15 juillet 2018) de la victoire (en finale de la coupe du monde de football) de l’équipe Black-Black-Black, c’est qu’il me manque une case. C’est peut-être vrai après tout : il me manque la case… de l’oncle Tom ».  La réquisition demandée est de un an de prison avec sursis, et un total de 100 000 euros d'amende... A titre de comparaison, contre le rappeur Nick Conrad avaient été requis 5 000 euros d'amende avec sursis pour son clip « pendez les blancs » !

    De manière analogue,  Eric Zemmour est définitivement reconnu coupable de provocation à la haine raciale. Mardi 17 septembre, la Cour de cassation a rejeté son pourvoi, établissant ainsi une condamnation définitive. Le polémiste avait été condamné, en mai 2018, à 3 000 euros d’amende par la cour d’appel de Paris. Il avait déclaré, entre autres choses (dans C dans l'Air du 6 septembre 2016) que "dans d'innombrables banlieues françaises où de nombreuses jeunes filles sont voilées" se jouait une "lutte pour islamiser un territoire", "un djihad". Ainsi donc, porter un jugement (et faire une constatation) sur l'islam serait de la haine raciale ? Nous ne savions pas que l'islam caractérisait une race...

    Devant les atteintes à la liberté d'expression sur la défense de notre civilisation, pensons à soutenir les publications et les médias qui osent dire la vérité à propos des attaques que subit notre pays.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • 4 à 5 millions d’immigrés clandestins résident en Europe

    4 à 5 millions d’immigrés clandestins résident en Europe

    Les Echos reprennent des chiffres d’une enquête de Pew Research. L’originale de cette enquête est à retrouver ici.

  • Explosion de la violence en Suède, par Franck Deletraz

    9490-20191115.jpgLe Danemark se protège en rétablissant sa frontière

    Voilà une décision pleine de bon sens dont notre gouvernement, qui admire tant le modèle social nordique, ferait bien aujourd’hui de s’inspirer : excédées par l’accumulation des crimes et autres règlements de comptes entre bandes « suédoises » opérant sur leur sol, les autorités de Copenhague ont en effet décidé de rétablir temporairement mardi le contrôle de leur frontière avec la Suède et d’intensifier le travail de la police danoise le long de celle-ci.

    Prévu dans un premier temps pour une durée de six mois, et visant tout particulièrement le pont de l’Oresund, entre Copenhague et la ville suédoise en perdition de Malmö, ainsi que plusieurs ports danois, ce renforcement des contrôles, a expliqué Lene Frank, de la police danoise, se concentrera « en particulier sur la criminalité transfrontalière impliquant des explosifs, des armes et des drogues ». Il faut dire que, depuis février, les autorités danoises ont enregistré une véritable explosion de violences dans et à proximité de leur capitale (dont pas moins de treize attentats !) qui sont principalement le fait de bandes en provenance de Suède. Ainsi, le 25 juin, une confrontation entre gangs suédois rivaux donnait lieu au meurtre de deux citoyens suédois dans la banlieue de Copenhague. Le 6 août, suite à une explosion visant l’administration fiscale danoise, la police interpellait encore deux criminels suédois qui avaient franchi la frontière pour commettre leur crime. Une situation totalement inadmissible pour le ministre de la Justice, Nick Haekkerup, qui devait avertir le mois dernier : « nous n’accepterons pas cela » !

    D’autant que, côté suédois, la situation est très loin de s’arranger. Samedi encore, un mineur de 15 ans était tué par balle et un autre grièvement blessé à Malmö, lors d’une fusillade survenue après une explosion à la bombe ayant détruit plusieurs véhicules dans un autre quartier de la ville. Dernier règlement de comptes en date d’une troisième ville de Suède dont des quartiers entiers sont tombés sous la coupe des gangs et de l’immigration, comme l’a lui-même reconnu le ministre suédois de la Justice, en déclarant récemment que les immigrés étaient « surreprésentés dans les statistiques de la criminalité ». Une situation tellement catastrophique que le Premier ministre suédois, Stefan Lofven, a avoué de son côté : « nous vivons une situation grave »…

    La fermeté danoise porte ses fruits

    Un fatalisme auquel refuse pour sa part de céder le gouvernement danois. C’est ainsi qu’en annonçant le renforcement des contrôles aux frontières de son pays, Nick Haekkerup a précisé que cette mesure visait à protéger le Danemark non seulement « contre les étrangers qui pourraient avoir l’intention de commettre de graves actes de criminalité organisée ou du terrorisme au Danemark », mais aussi tous ceux « qui ne remplissent pas les critères d’entrée ». C’est que, au pays d’Andersen et de la Petite Sirène, on n’entend pas se laisser envahir sans réagir. Et l’on n’hésite pas à rétablir régulièrement les contrôles aux frontières. Comme en janvier 2016, où le Danemark, au grand désespoir de Merkel, avait rétabli pour une période de dix jours des contrôles à sa frontière avec l’Allemagne afin de faire face au déferlement migratoire de centaines de milliers de clandestins. Surtout, dans ce pays où le gouvernement (quelle que soit sa tendance) ne reste pas sourd aux avertissements du Parti du peuple danois, on n’a pas peur d’adopter des lois restrictives en matière d’immigration. Comme cette règle dite « des 24 ans », votée en 2002, qui n’autorise les Danois à se marier avec des étrangers que si les deux fiancés ont plus de 24 ans et remplissent un ensemble de conditions drastiques. Ou la loi dite de « confiscation », en vertu de laquelle les demandeurs d’asile peuvent se faire saisir leur argent liquide et leurs objets de valeur pour financer le coût de leur séjour pendant l’examen de leurs demandes. Ou, plus récemment encore, l’autorisation donnée en 2018 par le Parlement danois de transformer la petite île de Lindholm en un centre de rétention à ciel ouvert pour les étrangers non expulsables condamnés à une peine de prison. Le résultat ? En 2019, les demandes d’asile au Danemark ont atteint leur plus bas niveau depuis 2008…

    Franck Deletraz

    Article paru dans Présent daté du 13 novembre 2019

    https://fr.novopress.info/

  • Jérôme Rivière : « Ce refus d’une minute de silence pour les victimes du Bataclan par le président du Parlement Européen : insultant, méprisant, une façon d’effacer l’Histoire ! »

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    Jérôme Rivière, député RN au Parlement européen, a pris l’initiative de demander une minute de silence en hommage aux victimes de l’attente du Bataclan. Initiative refusée par le président de l’Assemblée, David Sassoli !

    Réaction de l’intéressé au micro de Boulevard Voltaire. L’occasion de dresser avec lui un bilan de ses premiers mois de mandat.

  • Eric Zemmour : « Une partie de la gauche se soumet et crie « Allah Akbar » dans ses manifestations » (Vidéo)

    Eric Zemmour revient sur la manifestation « contre l’islamophobie » à Paris, le 10 novembre 2019. Le polémiste affirme qu’une partie de la gauche se soumet et crie ‘Allah akbar’ dans ses manifestations. « Ca fait 30 ans que cette inversion de la victimisation est jouée par les défenseurs même de la cause immigrée puis islamique. C’est pas les musulmans qui ont inventé cette contre-victimisation. C’est la gauche. »

    Le Figaro Live

  • Bilzen (Belgique) : des « réactions de haine » après l’incendie criminel d’un futur centre d’accueil pour migrants (MàJ)

    14/11/19

    Dans le Nord du pays, un torrent de haine anti immigrés est apparu après cet acte criminel.

    (…) Outre le fait que ce type d’acte criminel est une première en Belgique, ce qui frappe ce sont les réactions de certains habitants et les commentaires sur les réseaux sociaux depuis 48 heures. Sur place d’abord, au moment des faits, une personne qui appelait les secours s’est faite interpeller par d’autres habitants qui lui disaient « laisse tout ça brûler », ou bien encore « bien joué, mais ça arrive quelques semaines trop tôt ». Sous-entendu : il aurait mieux valu attendre que le centre soit réellement occupé par des migrants. Sur Twitter, certains commentaires, depuis 48h, sont encore plus violents : « Super continuez ! »« Enfin quelqu’un prend les choses en main »« Qu’on laisse ces bronzés partir en fumée », etc. Ces commentaires, pour la plupart, ont été supprimés depuis leur publication. Mais c’est quand même saisissant.

    (…) La Belgique possède 70 centres d’accueil qui regroupent près de 25 000 demandeurs d’asile, principalement des Syriens, des Palestiniens et des Afghans. Et leur nombre a augmenté de 19% l’an dernier. Ce sont ce que l’on appelle des « flux secondaires » : les migrants n’arrivent pas directement en Belgique, ils proviennent d’autres pays européens, la France, l’Allemagne, etc. Et l’asile est accordé à environ la moitié d’entre eux. Comme dans de nombreux pays européens, la population belge est très polarisée, très divisée sur le sujet.

    Franceinfo

    11/11/19

    […] Le centre d’accueil pour migrants qui devait ouvrir à la mi-décembre a été victime d’un incendie criminel, comme l’a confirmé la zone de police locale lundi. « Notre réaction est un mélange de surprise, de tristesse et de colère », regrette le porte-parole de Fedasil (le centre fédéral pour l’asile et la migration), Benoit Mansy. « Au côté de la Croix Rouge flamande, qui devait s’occuper de sa gestion pratique, nous analysons ce que l’incendie implique pour l’ouverture du centre. »

    Au cours des semaines passées, des actions de protestation ont été organisées non loin du bâtiment inoccupé. « C’est un phénomène que l’on observe parfois avant une ouverture. Une inquiétude que l’on peut comprendre, d’autant qu’il s’agit d’une décision prise au niveau fédéral. Selon notre expérience, après une communication de notre part avec les populations et autorités locales, les inquiétudes s’apaisent et tout se passe très bien », constate Benoit Mansy. Mais pas à Bilzen.

    Cet incident se déroule dans un contexte ou Fedasil a un « besoin urgent de places » cette année. Le réseau de Fedasil compte aujourd’hui 25.100 places (contre 21.000 au début de l’année).

    http://www.fdesouche.com/1294013-belgique-incendie-criminel-dun-futur-centre-daccueil-pour-migrants-a-bilzen

  • 54% des attentats islamistes revendiqués par Daech en Europe ont eu lieu en France

    Selon une étude de la Fondation pour l’innovation politique (Fondapol) parue récemment sur les attentats islamistes des quarante dernières années, la France est le pays de l’Union européenne le plus touché par le terrorisme islamiste. Ainsi, selon cette étude, 54,3 % des attentats revendiqués par Daech dans l’Union européenne ont eu lieu dans l’Hexagone.

    Dans le détail, les données de l’enquête révèlent que la France a été frappée par 71 attentats faisant au moins 317 morts, et que ces attaques se sont intensifiées de manière récente : « 42 attentats et 272 morts entre 2013 et le 31 août 2019 (plus de six attentats par an), contre 29 attentats et 45 morts entre 1979 et 2012 (soit un peu moins d’un attentat par an). Pour ne parler que de l’État islamique, 54,3 % des attentats revendiqués par Daech dans l’Union européenne ont eu lieu en France. Dans l’Hexagone, les forces de l’ordre et les militaires comptent parmi les principales cibles des terroristes islamistes. »

    Il y a quatre ans jour pour jour avaient lieu les attentats du 13 novembre 2015 à Paris. Ce soir-là, une série de fusillades et d’attaques-suicides islamistes particulièrement violentes ont été perpétrées dans la soirée à Paris et dans sa périphérie par trois commandos distincts, provoquant la mort de 131 personnes et faisant 413 blessés, dont 99 dans un état grave. Sept terroristes sont morts au cours de l’attaque.

    Le Figaro / Fondapol

    https://www.tvlibertes.com/actus/54-des-attentats-islamistes-revendiques-par-daech-en-europe-ont-eu-lieu-en-france

  • 13 novembre : assez de fleurs... Des balles !

    13-Novembre-bientot-un-jardin-du-souvenir-en-memoire-des-victimes-a-Paris.jpg

    L'avis de Jean-François Touzé
    A l'initiative de madame Hidalgo, maire socialiste de Paris, un jardin du souvenir va être bientôt inauguré en hommage aux morts du 13 novembre 2015. Après les bougies, les ours en peluches et les bouquets de roses, le gazon mémoriel...
    Nous ne voulons pas de "jardin du souvenir".
    Nous voulons des fosses profondes remplies de chaux vives pour les cadavres des terroristes islamiques que, dans un État national, nos services spéciaux auraient pour mission prioritaire d'anéantir.
    Nous ne voulons plus de bougies. Nous voulons la flamme des armes de nos soldats et de nos agents pour gagner la guerre que nous a déclarée l'islamisme hégémonique.
    Nous ne voulons plus de fleurs. Nous voulons un État en ordre de bataille, morale, politique, militaire, sécuritaire, identitaire et logistique.