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anti-national - Page 307

  • «Provocation communautariste» : malgré la polémique, Julien Odoul persiste et signe

    images.jpegInvité sur le plateau de CNEWS, Julien Odoul a une nouvelle fois dénoncé une «provocation communautariste» après l'incident de vendredi lors d'une assemblée plénière du Conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté.

    Au beau milieu de la séance plénière, le responsable du groupe Rassemblement national avait demandé à une accompagnatrice scolaire d’enlever son voile dénonçant "une atteinte scandaleuse à notre principe de laïcité".

    "Au nom de nos principes républicains et laïcs, j’ai demandé à Marie Guite Dufay de faire enlever le voile islamique d’une accompagnatrice scolaire présente dans l’hémicycle. Après l’assassinat de nos 4 policiers, nous ne pouvons pas tolérer cette provocation communautariste", avait écrit sur Twitter, Julien Odoul.

    Trois jours après le début de la polémique, Julien Odoul persiste et signe.
    Pourtant, ni le règlement du conseil régional ni la loi n'interdisent le port du voile au sein de l’hémicycle, a argumenté la présidente du conseil régional, qui envisage de porter plainte.
    Ce dimanche, Jean-Michel Blanquer a affirmé sur BFMTV que "Le voile n'est pas souhaitable dans notre société." Le ministre de l'Education estime que le port du voile "n'est pas quelque chose à encourager". "Ce que ça dit sur la condition féminine n'est pas conforme à nos valeurs."
    Le ministre a rappelé également que la loi autorisait le port du voile dans l’espace public ainsi que lors des sorties scolaires par les femmes accompagnatrices. Mais « nous n'avons pas envie d'encourager le phénomène », a-t-il ajouté.
    Le 31 août 2019, Julien Odoul s'en était violemment pris à une jeune lycéenne d’origine algérienne pour son voile islamique. Dans un tweet, l'élu du Rassemblement national avait qualifié la lycéenne de « communautariste en puissance » et l’accusait d’avoir violé « le principe de laïcité » en portant un voile islamique.
  • Pendant que les télés bavassent sur Dupont de Ligonnès et le voile, des « jeunes » attaquent violemment policiers et pompiers !

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    Pendant que toute la presse et toutes les télés vous faisaient tourner en boucle le vrai-faux retour de Dupont de Ligonnès et qu’on débattait mollement, une énième fois, sur ce voile « pas souhaitable pour notre société” (Jean-Michel Blanquer) mais qu’on laisse de fait s’imposer, samedi soir, une banlieue s’enflammait.
    Dans le quartier du Val Fourré, à Mantes-la-Jolie, des groupes de « jeunes » nombreux, et particulièrement violents, s’en sont pris sans raison à une voiture de police qui patrouillait.
    D’après Le Parisien, « une cinquantaine de jeunes, décrits comme excités et très agressifs, se mettent à agresser les fonctionnaires qui se trouvent dans leur véhicule. Des projectiles et une dizaine de mortiers de feux d’artifice sont lancés sur eux ».
    Les policiers ont été contraints d’effectuer « un tir de lanceur de 40 mm pour disperser leurs agresseurs » et ont dû quitter le quartier !
    Mais les choses n’en sont pas restées là : une heure plus tard, rebelote !
    Une nouvelle voiture de police prend en chasse une Clio ayant refusé un contrôle.
    Les policiers sont de nouveau la cible de projectiles.
    Contraints de nouveau de battre en retraite, ils endommagent leur véhicule…
    Il y a eu, malheureusement, un troisième acte.
    Le Parisien rapporte qu’« à minuit, une autre patrouille est violemment prise à partie sur le boulevard Charles-de-Gaulle qui traverse le quartier. Le pare-brise du véhicule, pourtant renforcé, est brisé par des tirs de mortiers. »
    Une voiture est incendiée.
    Les pompiers, à leur tour, ne peuvent pénétrer dans le quartier et doivent laisser la voiture brûler.
    Bilan de la soirée : pompiers et forces de l’ordre sont tenus en échec.
    Le Parisien ajoute, sans détailler, que « des violences similaires se sont produites dans la nuit aux Mureaux et à Trappes obligeant les forces de l’ordre à intervenir ».
    Et à reculer ?
    Le ministre de l’Intérieur a-t-il réagi ?
    Dominique Monthus

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/10/pendant-que-les-teles-bavassent-sur.html#more

  • La nation jacobine des programmes scolaires de 2019.

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    La France de l’an 2019 n’est plus celle de 1914 ni celle de 1945, ni même celle de Mai 68 : parfois, du coup, nous, Vieux Français, avons du mal à la reconnaître, bercés que nous étions par une histoire qui puisait ses racines dans une France d’Ancien Régime pas encore morte dans les tranchées de Verdun, qui trouvait sa respiration dans les paysages familiers et si divers de ce cher et vieux pays ayant survécu aux tourments des révolutions et des empires, et qui se reconnaissait dans toute une galerie de personnages, héros ou salauds, dont nous étions les héritiers parfois infidèles. Or, ce qui formait une sorte de terreau commun aux Français dans leur être propre et au-delà de leurs préférences, semble se déliter ou s’effacer devant la mondialisation et son revers, les identitarismes agressifs et exclusifs : évoquer les périodes lointaines qui ont fait l’histoire de France semble ne plus rien réveiller au cœur de nombre d’élèves ou d’étudiants, et le frisson qui pouvait nous traverser jadis au souvenir des épopées antiques ou médiévales (ah, Alexandre, Duguesclin, Jeanne…) a laissé la place à une indifférence polie ou une concentration studieuse purement scolaire devant des programmes qui manquent de ce souffle que l’on pourrait attendre de toute œuvre formatrice des intelligences et fondatrices des rêves du lendemain…

    Bien sûr, les nouveaux programmes d’histoire du lycée accordent visiblement plus de place à notre histoire nationale que les précédents, et le thème même de la nation prédomine dans l’étude de la Révolution française et de ses suites, jusqu’au grand cataclysme mondial de 14-18. Mais cela ressemble parfois plus à une autopsie qu’à la reconnaissance de la nation vivante au fil des siècles. Et la nation n’est guère évoquée autrement que sous sa définition et ses lourds oripeaux jacobins, négligeant son caractère pluriel d’avant 1789, un caractère qui a longtemps survécu à travers les langues de France, du breton au basque, et par les cultures locales qui n’étaient pas encore (dé)confites en folklores parfois bien artificiels. Cette réduction scolaire à une Nation idéologique, née des Lumières et codifiée sous la Révolution, explique alors que certains collègues enseignants se croient ainsi autorisés, excusés pourrait-on dire, à faire de 1789 la date de naissance d’une France qui ne serait plus qu’un cadre idéologique dans lequel la Nation servirait désormais de ciment mais aussi bientôt de clé de voûte en remplacement d’une dynastie violemment déposée en 1792 : l’identité nationale est née de la déconstruction de l’unité française qui, en perdant son incarnation royale, cherchait désormais à survivre en se figeant en un bloc « un et indivisible ».

    Le drame de notre société contemporaine naît sans doute dans les affres des déchirements et des illusions de la période révolutionnaire, celle qui court de la Bastille à Waterloo, et les programmes scolaires cherchent à redonner du sens à ce qui en a perdu aux yeux des jeunes générations habituées à une mondialisation intrusive et « ouverte » à tous les vents de la mode et de la « consommation de possession », sans remettre en cause (ni officiellement le permettre) la doxa « républicaine » qui, en jacobinisant la nation, en a fait un monstre idéologique, sans doute aujourd’hui apaisé mais toujours pesant. Le refus répété de la République de reconnaître l’existence d’une pluralité provinciale inscrite dans l’histoire de la « fondation française » se marque jusqu’à l’absence de l’évocation des résistances ou des particularités régionales, dans des programmes « centralistes » qui oublient que la diversité française est, d’abord, « intérieure » avant que d’être issue de « l’extérieur ».

    Que les jeunes générations actuelles connaissent quelques difficultés à saisir la richesse de l’héritage français peut ainsi aisément se comprendre quand le système éducatif officiel ne valorise que ce qui « doit être obéi » quand il faudrait que cela soit, d’abord, « la noble occasion du sentiment amoureux » : à quinze ans ou à vingt ans, une matière scolaire soumise à examen de contrôle ne suscite trop souvent que bachotage ou esprit de compétition, et non esprit de vie et, éventuellement, de sacrifice… Et la « nation enseignée et obligatoire » n’émeut guère quand la nation charnelle et sentimentale, intimement vécue, celle qui vibre sous nos pieds et nous rattache à des ancêtres lointains et si proches, parfois un peu légendaires et imaginaires, cette nation qui porte le nom de France avant que d’être une « idée », même « certaine », nous fait, par l’histoire et le rêve, ce que nous sommes, des Français issus d’une terre d’histoire, et fils d’histoires de terres et de terroirs

    Jean-Philippe CHAUVIN

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1580:la-nation-jacobine-des-programmes-scolaires-de-2019&catid=53:2019&Itemid=64

  • Mickaël Harpon : un scandale d’État, par Jean Rouxel

    Le 3 octobre, un dénommé Mickaël Harpon, agent administratif à la Préfecture de police de Paris, a assassiné au couteau 4 de ses collègues avant d’être abattu.

    Malgré tous les cris d’orfraies sur le thème « padamalgam », il fut vite évident que l’assassin s’était converti à l’islam radical.

    Il fréquentait la mosquée de Gonesse – dont d’ailleurs l’ancien imam faisait l’objet, depuis 2015 (!) d’une obligation de quitter le territoire.

    Le plus ahurissant, dans cette histoire, est qu’un individu dangereux – dont les collègues avaient repéré d’inquiétants changements – ait pu continuer à avoir accès au cœur du renseignement policier français.

    On ignore aujourd’hui à quoi il a pu avoir accès, mais, potentiellement, il a pu connaître (et éventuellement transmettre à d’autres assassins) les données personnelles de nombreux agents des forces de l’ordre.

    Le laxisme et la peur panique d’être taxé d’« islamophobie » ont causé la mort de quatre personnes et entraîneront peut-être des conséquences encore plus graves dans l’avenir.

    Avec le dossier Harpon, nous disposons de tous les « dysfonctionnements » (comme dirait Christophe Castaner pour minimiser l’effarant scandale) possibles en matière de traitement de l’islam radical par les forces de l’ordre et de renseignement.

    Un homme connu comme dangereux a été laissé en place au cœur même du dispositif policier français.

    Le politiquement correct, l’inertie administrative, le laxisme se sont conjugués pour obtenir ce résultat effrayant.

    Le pire, c’est qu’aucune leçon ne semble jamais être tirée des catastrophes précédentes.

    Que l’on n’ait pas vu la dangerosité de l’islam radical en 1980 pouvait se comprendre. Qu’on fasse mine de l’ignorer au sommet de l’État en 2019 est proprement ahurissant. Je sais bien que l’on ne peut pas juridiquement s’en prendre à un simple suspect. Mais, précisément, il est urgent de changer la loi pour qu’il devienne impossible à un homme potentiellement dangereux d’exercer des missions régaliennes.

    Et il devient également nécessaire de préciser à quelles conditions les musulmans peuvent s’installer chez nous (on se souvient que les musulmans « modérés » ont choisi l’État islamique contre leurs voisins chrétiens en Irak et en Syrie. Pourquoi en irait-il autrement chez nous ?).

    Il n’est pas supportable que la seule réponse aux attentats, entre deux processions à la bougie et à l’ours en peluche, soit de dire sur tous les tons que « cela n’a rien à voir avec l’islam ».
    Oui, nous avons un problème – qu’il faut regarder en face – avec l’islam, idéologie totalitaire !

    Jean Rouxel

    Tribune reprise de les4verites.com

    https://fr.novopress.info/

  • Agnès Buzyn et La Poste ne savent même plus parler français…

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    Les récriminations de l’ancien instituteur socialiste du village contre le massacre du français et la théorie des retraités « privilégiés ». Très instructif.

    https://www.bvoltaire.fr/agnes-buzyn-et-la-poste-ne-savent-meme-plus-parler-francais/

  • A Londres, des militants du mouvement « Extinction Rebellion » auraient été payés 450 euros par semaine

    Selon The Mail en Sunday, certains militants britanniques du groupe écologique seraient grassement financés par de riches donateurs. En effet, selon le journal qui a eu accès à des documents financiers, le groupe Extinction Rebellion, qui mène des actions dans plusieurs capitales, dont Londres et Paris, aurait payé ses militants et ce jusqu’à 450 euros par semaine au Royaume-Uni. En quatre mois, le « défraiement » des activistes aurait atteint 80.000 euros, précise le journal, insistant sur le fait que la plupart des milliers de militants qui ont pris part au mouvement à Londres sont des bénévoles. Ce sont les organisateurs qui sont payés.

    Toutefois, selon le site Checknews, si « plusieurs millionnaires ont fait d’importants dons au mouvement, qui a perçu au total 2,5 millions de livres depuis le mois de mars », cette accusation « ne peut pas être faite contre le mouvement français, qui a refusé les dons du Climate Emergency Fund et ne se finance que grâce à du crowdfunding local ».

    Un député du parti conservateur a demandé qu’une enquête fiscale soit réalisée. Le mouvement pourrait subir un important redressement fiscal s’il s’avère que les sommes versées sous forme de défraiement doivent être requalifiées en salaires.

    Atlantico

    https://www.tvlibertes.com/actus/a-londres-des-militants-du-mouvement-extinction-rebellion-auraient-ete-payes-450-euros-par-semaine

  • Un vrai résumé du 6 octobre ? Celui de CNews !

  • L' "affaire Harpon" ? Très loin d'être terminée !...

     
    "Il avait accès à tout, aux ordinateurs, aux codes d'accès, aux messageries", et aussi à la liste des policiers infiltrés dans les mosquées.

    Les policiers parlent, même - et on les comprend... - si c'est sous couvert d'anonymat : "Du fait de ses fonctions, Harpon avait accès aux fichiers protégés, notamment à celui où figure l'identité des taupes. Il nous faut savoir s'il les a partagés... S'il a pu accéder à la liste de nos sources infiltrées dans les mosquées salaf, on risque de pleurer bientôt d'autres morts".

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/index-1.html

  • Affaire ukrainienne : Destitution ou Bidengate ?

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    INTERNATIONAL (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
    Inconsolables depuis l’échec du rapport Mueller à démontrer toute collusion Russe dans l’élection en 2016, les Démocrates américains ont lancé une procédure de destitution du président Trump, ce dont ils rêvaient depuis le jour noir de son élection. L’affaire du coup de fil ukrainien vient de leur en fournir le prétexte.

    Selon le narratif propagé par les media, Trump conspire avec le président ukrainien pour ternir l’image de l’ancien vice-président d’Obama Joe Biden, son principal adversaire pour 2020. Il se fonde sur les dires d’un sonneur d’alerte anonyme selon lequel, lors d’un échange téléphonique avec son homologue ukrainien Zelensky, Trump aurait demandé à celui-ci de rechercher des éléments de nature à compromettre M. Biden en appuyant sa demande d’une menace de rétention de l’aide militaire américaine à l’Ukraine.

    Or, ce narratif médiatique repris devant le Congrès par Adam Schiff, ne cesse de prendre l’eau depuis la publication par la Maison Blanche du verbatim de l’appel dépourvu de tout élément pouvant fonder une incrimination. De plus le président ukrainien vient de déclarer qu’il n’avait subi aucune forme de chantage et même qu’il n’avait appris la rétention de l’aide américaine qu’après le fameux appel du 25 juillet.

    Pourtant, certains media comme ABC ou CNN n’ont pas hésité à publier des citations tronquées, en omettant même de citer la phrase de Trump disant « Biden s’est vanté un peu partout qu’il était parvenu à arrêter l’enquête donc si vous pouviez y jeter un œil… Cela semble horrible à mes yeux. ». Or, cette phrase renvoie à la nomination en mai 2014, sous la présidence Obama, de Hunter Biden, le propre fils de Joe Biden, au Conseil d’Administration de la société gazière Ukrainienne Burisma, pour un salaire annuel de 600.000 dollars. Le président Poroshenko avait alors nommé le procureur Shokin pour enquêter sur les soupçons pesant corruption de cette société,. Or, celui-ci fut révoqué suite à des pressions intenses exercées par Joe Biden avec l’aide de l’administration américaine. Joe Biden lui-même s’en est vanté en 2018 dans une intervention filmée où il déclare : « Je les ai regardés et je leur ai dit : Je m’en vais dans six heures. Si le procureur n’est pas viré, vous n’aurez pas l’argent. ».

    En d’autres termes, les Démocrates reprochent à Trump exactement ce qu’ils ont fait en Ukraine, mais en pire.

    https://fr.novopress.info/215782/affaire-ukrainienne-destitution-ou-bidengate/

  • L’éolien n’est pas une solution

    L’éolien n’est pas une solution

    Dans son récent livre, le militant Fabien Bouglé démonte un à un les arguments en faveur de l’éolien: imposture écologique, dangers pour la santé, gaspillage d’argent public, corruption… Il est interrogé sur RCF.

    https://www.lesalonbeige.fr/leolien-nest-pas-une-solution/